Dans l’interview que Mme Lagarde a accordée au quotidien national « Le Soleil », elle a mentionné un « passé » avec lequel le Sénégal devrait « rompre » pour doubler sa croissance qui « est en moyenne de 3,5% sur les cinq dernières années ».
Mais à la surprise générale, elle a évité de spécifier ce « passé » en se contentant de répéter les recommandations passées et présentes du FMI au Sénégal que sont : les réformes du secteur de l’énergie pour diminuer voir supprimer le coût budgétaire de la subvention de l’énergie , le changement de la technologie de production de l’énergie pour la rendre moins chère pour les entreprises et les ménages, l’amélioration des performances de l’Administration, la masse salariale, et l’environnement des affaires pour une plus grande attractivité de l’Investissement privé national come étranger, le financement de la PME.
Depuis le début des ajustements structurels en 1985 jusqu’à nos jours, ce sont les mêmes recommandations que le FMI donne au Sénégal. Alors, de quel « passé » parle t elle alors ?