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Jeu, Mar
27 Nouveaux Articles

Le Franc CFA, cette devise qui plombe notre émergence !

La sortie du F CFA est-elle une nécessité pour les pays de la Zone Franc ? De l’avis de l’économiste Ndongo Samba Sylla, le défi est plutôt d’émerger du FCFA. Car les avantages qu’offre cette monnaie sont de loin inférieurs aux inconvénients.

Le 11 août 2015, dans le cadre du 55e anniversaire de l’indépendance de son pays, le Président tchadien Idriss Déby avait donné le ton. Selon lui, il y a dans le cadre de la coopération monétaire avec la France, des «clauses qui tuent les économies africaines» et qui «ne permettront jamais à l’Afrique de se développer».

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Une rupture effective avec le passé décadent, des mesures radicales et concrètes contre les pratiques inciviques, une nécessité absolue pour remettre notre administration sur la bonne voie

Actuellement au Sénégal, tout le monde s’émeut, s’inquiète, se plaint et se pose quantité de questions sans réponse, c’est-à-dire pourquoi tous ces accidents mortels et drames qui se multiplient chaque jour davantage, sans qu’on ait même  aperçu un début de solution, à plus forte raison, une solution radicale et défintive? Pourtant, leurs causes sont parfaitement connues et, ne sont rien d’autre, que de l’incivisme caractérisé à tous les niveaux de notre société. Cela, aussi bien d’une part du côté des autorités par leur comportement laxiste et laisser-faire impardonnable et d’autre part, du côté de la société par celui de certains citoyens, qui, il faut bien le dire, est synonyme de vandalisme et d’irresponsabilité. Et, s’agissant de leurs solutions, elles sont, cependant, bien simples et  à portée de main des autorités. 

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Pour un front debout pour faire échec à l’enterrement programmé des conclusions des assises nationales et de l’avant-projet de constitution de la cnri

La journée du lundi 12 mars 2012 fera date dans l’histoire de notre pays. C’est ce jour que le candidat Macky SALL, arrivé au deuxième tour de l’élection présidentielle avec le score de 26,58% des suffrages valablement exprimés, s’est retrouvé face au Comité national de pilotage des Assises nationales (AN).

Son parti, l’APR était membre de l’ICR/Benno wallu Askan wi (Initiative citoyenne pour la République) et du Front Siggil Sénégaal (FSS) qui avait lancé officiellement l’idée des Assises nationales et entrepris des démarches pour en faire une réalité.

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Tourisme, libéralisation et ouverture... en Afrique


Les mouvements touristiques vers l’Afrique ont bénéficié ces dernières années de conditions internationales favorables, comme la suppression sur le marché des transports aériens de plusieurs taxes, mais aussi une croissance des voyages de groupe et l'engouement pour les destinations africaines. Toutefois, il faut souligner que la croissance du flux touristique vers les pays africains au cours des vingt dernières années coïncide, et ce n'est pas un hasard, avec les politiques d'ouverture et de libéralisation amorcées par les dirigeants du continent.

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Le «radeau de la méduse» à TOUBA !

Les soufis appellent le président à ne pas s'intéresser au baratin des rescapés !

 

Le cercle des intellectuels soufis exhorte le chef de l'Etat  et appelle le président Sall, à une lecture lucide et attentive à la «révolution  copernicienne »  qui s'opère actuellement à TOUBA.

Ce qui lui  permettrait  de corriger  «ses maladresses politiques»  vis-à-vis de TOUBA,  mais aussi,  de couper les « folles herbes »  qui parasitent sans  «vivier politique» ou «bagage intellectuel», afin de pouvoir «briser le plafond de verre »  qui enserre depuis toujours sa «formation politique » à TOUBA.

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Ibrahima SENE - Réponse à mes détracteurs islamistes.

Les masques commencent à tomber depuis que j'ai commencé à démontrer que l'Islamisme radical qui a enfanté le djihadisme est enterré au Sénégal depuis la bataille de Somb où périt Maaba diakhou Ba, suite à la défaite de son armée conduite par Lat Dior Ngoné Latyr Diop.  Et je rappelais que le djihadisme fut définitivement enterré au Sénégal depuis que Lat Dior, de retour à son Cayor natal d'où il s'était exilé pour chercher alliance anti coloniale chez Maaba dans le Rip, avait essuyé un refus catégorique de Khadimou Rassol, de lui confier ses taalibes pour continuer le djihâd contre les Français dans leur tentative de finaliser la conquête coloniale du Sénégal. 

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Notre pays vient de rater une belle occasion de rompre avec l'option laïque et de parachever sa décolonisation !!!

Nous ne sommes pas surpris par l’issue de ce référendum, car il était évident pour un observateur quelque peu averti que ce serait, à tous les coups, une ‘’défaite morale’’ pour le Président Macky SALL, car la Constitution d’un pays véritablement démocratique - et qui de surcroît renferme des clauses d’intangibilité - ne peut être ‘’légitime’’ que si elle est consensuelle et donc plébiscitée - et tel ne pouvait pas être le cas, faute d’une concertation avec tous les leaders d’opinion - dont les religieux. Et c’est dire que le remède apporté risque d’être pire que le mal qu’il est censé traiter - Une véritable catastrophe !!!

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Au Sénégal, les stars, célébrités, transhumants et autres prédateurs bénéficient de l’impunité, jusque-là !

Mais pourquoi cela?  Pendant tout ce temps, où se trouvait notre Justice ? Aujourd’hui, on peut se demander quelle est la valeur ou la force des lois de la République, si celles-ci ne  s’y appliquent que sélectivement et de manière discriminatoire? Le président de la République, n’est-il pas le gardien de la constitution, garant aussi, de par sa Fonction, du respect des lois et de leur application stricte, de la protection et de l’inviolabilité physique des citoyens, sans aucune discrimination ni parti pris. Cependant, il observe, comme ses prédécesseurs, toutes ces injustices, inégalités sociales et autres actes délictueux graves, se produire dans la République impunément, sans qu’il ait réagi énergiquement, afin  d’y mettre un terme. Mais, dans ces conditions, quel genre de justice avons-nous réellement au Sénégal, au regard de tout ce qui s’y passe en ce moment, comme impunité ?

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Chronique du lundi : Gouverner, c’est égarer…

La métaphore du paradis est une formule à la fois heureuse et indécente pour désigner les espaces d’exception fiscale enfouis dans l’enfer de la haute finance. De façon plus générale, elle est significative de tout le paradoxe de la société de consommation. Dans tous les cas, le paradis est toujours un lieu d’exception et de consécration, où ne peuvent accéder que quelques privilégiés.

En l’occurrence, il s’agit des acteurs de la haute finance mondiale et de certains gouvernants prédateurs. Les paradis fiscaux sont pour eux des zones d’accumulation, de préservation et d’accroissement de leurs richesses, mais aussi de contournement des lois et règlements qu’ils ont contribué à mettre en place uniquement pour contrôler et, le cas échéant, réprimer les autres. 

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Il a sa constitution. Et après ?


Ils ont sauvé leurs sept ans, et c’était pour eux le plus important. Le « oui » l’a en effet remporté avec 1 357 412 voix, soit 62,70 % des suffrages exprimés. Mais la victoire est modeste, si on considère le taux d’abstention très élevé : plus de 60 %. En d’autres termes, sur un peu plus 5 500 000 inscrits, seuls 2 184 311 ont voté.

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Alternances I et II : la continuité dans la mauvaise gestion socialiste

Le 19 mars 2000, le peuple sénégalais tournait une nouvelle page de l’histoire politique du pays. Ce jour-là, les électeurs portèrent au pouvoir le candidat Abdoulaye Wade en lui accordant 58,49 % de leurs suffrages. Le candidat sortant, Abdou Diouf, était pratiquement confiné dans son score du premier tour, passant de 41,30 % à 41,51 %. Il perdait ainsi le pouvoir après 40 ans de présence au cœur de l’Etat socialiste.

D’emblée, je me démarque des compatriotes qui affirment, qu’après 40 ans de règne sans partage, les Socialistes n’ont pratiquement rien fait au Sénégal. Le dernier Premier Ministre du président Abdou Diouf, Mamadou Lamine Loum, a fait l’état du pays dans son livre « Le Sénégal au 1er avril 2000 », publié en mars 2001. 

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Pourquoi le vaste manteau, de TOUBA, tarde à couvrir MACKY?

Tout d’abord:

Touba  a voté massivement (NON).  Et, à  l'origine de ce  boycott de grande envergure,  se trouverait le quiproquo  du principe moral  (la pomme de discorde) et matrice des hostilités contre les propositions de Macky SALL.

Je ne voudrais pas être prolixe, mais je peux vous affirmer très nettement, que la frilosité du gouvernement  à mener  " un debat intellectuel" sur fond d'argumentaires  religieux  aux fins de dissiper les nuages, a  rendu les  atmosphères très délétères et  les incompréhensions figées.

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Idrissa Seck sur le referendum du 20 mars «c’est l’échec le plus retentissant de toute l’histoire référendaire du Sénégal»

  Le président de Rewmi, considéré que le référendum du 20 mars dernier est le «plus impopulaire» de l’histoire du Sénégal. Mieux, Idrissa Seck a indiqué lors d’une conférence de presse tenue dans son fief à Thiès, qu’il consacre une baisse de l’électorat de Macky Sall, élu le 25 mars 2012 avec plus de 65 %.  

«La très vieille démocratie sénégalaise, qui est le bien le plus précieux de ce pays, ne sort pas grandie de cette élection, à cause de la manière dont le Régime de Macky Sall a mené et géré ce référendum.  Malgré toutes ces manipulations et irrégularités, le Président et son clan ont connu l’échec le plus retentissant de toute l’histoire référendaire du Sénégal depuis l’indépendance. 
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