PAR PENDA MBOW : Peut-on, au nom de l’Islam, exclure les femmes des affaires de la Cité ?
J’avais dénoncé, en son temps, le vote de la loi sur la parité, surtout son caractère politicien, au moment où à travers des initiatives comme celle des Assisses nationales une bonne frange de la classe politique et la société civile luttaient pour sauver la démocratie sénégalaise et la République. Encore une fois, l’instrumentalisation de la lutte des femmes pour asseoir les bases d’un pouvoir personnel fut réel. On l’a vu à travers la création du poste de vice- président qu’on avait fait miroiter à beaucoup de personnalités féminines du pays.
DOCTEUR MOUHAMADOU BAMBA NDIAYE « Il n’y a rien de blasphématoire dans les propos du professeur Sankharé »
Au-delà de certaines erreurs de perception qu’il faut savoir relativiser, le livre du Professeur Sankharé est à saluer ; oui, il a le mérite de confirmer que l’Islam n’est pas une religion descendue ex nihilo et que le Coran qui est le rappel de tous les livres antérieurs est véritablement un patrimoine de toute l’humanité. Et je persiste à penser qu’il est de bonne foi ; en tant que musulman croyant, il n’a jamais renié l’Islam ; il n’a jamais nié l’essence divine du Coran et sa révélation au Prophète par l’intermédiaire de l’Ange Gabriel ; oui, il a explicitement déclaré qu’il croit au Prophète Mouhammad (PSL) et à tous les autres prophètes qui l’ont précédés, citant même un extrait du verset coranique suivant :
(285 Le Messager a cru en ce qu'on a fait descendre vers lui, venant de son Seigneur – les croyant de même : tous ont cru en Allah, en Ses anges, à Ses livres et en Ses messagers ; (en disant) : “Nous ne faisons aucune distinction entre Ses messagers”. Et ils ont dit : “Nous avons entendu et obéi. Seigneur, nous implorons Ton pardon. C'est à Toi que sera le retour”. (Cor. 2 : 285 – La Vache – Al-Baqarah)
Communiqué de Presse - Modèle de l’Union Africaine
« Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village ». Plus qu’un proverbe de civilisation africaine, une leçon universelle et une vérité générale. C’est donc en s’armant d’Union que le projet MUA (Modèle de l’Union Africaine) bâtit sa première Simulation en Afrique, plus précisément en Tunisie, un endroit stratégique, carrefour interculturel méditerranéen, avec plus de 28 nationalités au rendez-vous. Ce grand moment de rencontre se tiendra du 23 au 25 Mai 2014 et abritera sous son aile des dizaines de volontaires issues de différentes cultures africaines, retenus suite à une session de candidatures.
Organisant son ouverture à l’hôtel Africa le 23 mai 2014 et portant le courant de la simulation au MSB (Mediterranean School of Business) du 24 au 25 mai 2014, cet événement multiculturel portera principalement sur l’identification faite par les jeunes des enjeux posés par la mise en oeuvre de l’agenda 2063 de l’Union Africaine, adopté le 25 mai 2013 par l’assemblé générale à Addis Abeba. L’agenda 2063 est un livre de bord qui permet aux Etats africain de se projeter à travers une vision pertinente de notre Afrique dans 50 ans.
Par Mamadou Oumar ndiaye : pourquoi il faut absolument invalider la liste de Touba
Nos autorités judiciaires ne manquent décidément pas d’humour ! On pensait que seuls nos politiques avaient le don de nous faire rire ? On est prié de réviser notre jugement ! A preuve par ce qui vient de se passer avec la liste de la coalition «And Défar Thiès», de Fandène, dans la région de Thiès.
Eh bien, attaquée devant la Cour d’Appel par le mandataire de la coalition Benno Bokk Yaakar de la communauté rurale de Fandène, qui n’est autre que le ministre des Forces armées, le Dr Augustin Tine, cette liste de « And défar Thiès » dont la tête de liste est le maire sortant, M. Pape Saliou Mbaye, a tout simplement été déclarée « irrecevable » par les hauts
Contribution : Non à la promotion canapé de Mme dieynaba Ndiaye Amar
Le chef du parti APR n'avait de cesse de prôner l'accomplissement à travers le travail, qui ennoblit l'homme. L'exercice du pouvoir etant loin d'être une sinécure.
Et c'est la qu'il est important de le rappeler aux ex générations "con creux" dont l'association de membres ripoux invétérés regroupés en une mafia de fossoyeurs de la république feraient mieux d'aller amasser des preuves pour assurer la défense de leur Leader s'ils leur restent une Once de dignité. Ces hommes et femmes aux habitudes légères, ayant entraîner la dépravation des mœurs, le culte de la médiocrité et de niomborton à qui ils ont fait croire qu'il pouvait prétendre diriger le Sénégal par voix forfaitaire de d'évolution monarchique orchestrée, alors que sa propre commune de naissance le Point E n'en a pas voulu comme Maire.
LISTE DE TOUBA :Quelques réflexions sur le texte publié par BIAGUI Secrétaire Général du MFDC
Plusieurs internautes ont sauté sur le texte pour tender de fonder la « dangerosité » d’accorder un statut spécial pour Touba, prétextant les revendications indépendantistes de ce mouvement.
Pourtant, BIAGUI ne demande pas un "statut spécial" pour la Casamance, mais milite pour une "refondation de notre Etat" pour une République fédérale, basée sur les 7 régions naturelle du Pays.
Si l’on comprend bien son texte, il estime que la question du "statut spécial pour Touba" pose cette problématique qui rejoint d’ailleurs, les Conclusions des Assises nationales sur la question.
Donc, dans ce texte, BIAGUI ne répond pas directement pas à la question à savoir, que faire de la liste de Touba en direction des Locales du 29 Juin ? Mais il se projette sur l'avenir, comme le fait d'ailleurs la CENA avec ses propositions de concertations futures sur la "parité"!
Circonstance atténuante au Professeur Oumar Sankharé par Bineta BA Diouf Lambaye
Lorsque pour la première fois, vers les années 1990, mon collègue feu Issa Sankharé Professeur de Mathématiques-Politicien, me présenta son grand frère Pr Oumar Sankharé, j’ai failli tomber des nues.
J’ai failli tomber des nues tellement le contraste qui existait entre le physique et l’idée que je me faisais du grand intellectuel était flagrant.
Dès qu’il marmonna une bride de salamalecs en mon intention, j’ai décelé dans ses moindres gestes et comportements qu’Oumar Sankharé était un phénomène, un frustré malgré son savoir, malgré ses diplômes, malgré son long parcours dans sa quête de savoirs.
Oui, à cet instant précis j’aurai voulu être psychanalyste pour pouvoir décoder ce malaise moral qui bouleversait cet être, et qu’il essayait de dissimuler, j’avais tout de suite eu pitié de lui, en le voyant surtout loucher de gauche à droite, un être inoffensif au vrai sens du mot.
EUX & NOUS - PAR MOHAMED SALL SAO - DEFENSE DES VALEURS REPUBLICAINES ET PROMOTION DU CIVISME (SUITE ET FIN) : Eléments de réflexions complémentaires sur les questions relatives à la liste et au statut spécial de Touba *
Le débat sur la liste non paritaire de Touba-Mosquée a redoublé d’intensité à l’issue de la visite d’explication entreprise à Touba dimanche dernier par une délégation de la CENA. En effet, les « voix autorisées » de Touba s’étaient exprimées pour affirmer, d’une part, que « la parité ne sera jamais appliquée à Touba » et, d’autre part, en ce qui concerne le statut spécial demandé en faveur de Touba, que la capitale du mouridisme avait déjà un statut spécial « de fait » et que « c’était juste pour la formalisation qu’un document allant dans ce sens avait été rédigé et remis à qui de droit, depuis un an déjà… ».
Le Front du Refus et de la Citoyenneté dénonce l'attribution illégale du marché de 60 milliards a la société Ito
Eléments de réflexions complémentaires sur les questions relatives à la liste et au statut spécial de Touba *
Titre complet : EUX & NOUS - PAR MOHAMED SALL SAO - DEFENSE DES VALEURS REPUBLICAINES ET PROMOTION DU CIVISME (SUITE ET FIN) : Eléments de réflexions complémentaires sur les questions relatives à la liste et au statut spécial de Touba *
Le débat sur la liste non paritaire de Touba-Mosquée a redoublé d’intensité à l’issue de la visite d’explication entreprise à Touba dimanche dernier par une délégation de la CENA. En effet, les « voix autorisées » de Touba s’étaient exprimées pour affirmer, d’une part, que « la parité ne sera jamais appliquée à Touba » et, d’autre part, en ce qui concerne le statut spécial demandé en faveur de Touba, que la capitale du mouridisme avait déjà un statut spécial « de fait » et que « c’était juste pour la formalisation qu’un document allant dans ce sens avait été rédigé et remis à qui de droit, depuis un an déjà… ».
Les assertions infondées du Pr. Oumar Sankharé à propos du Saint Coran
Les assertions infondées du Pr. Oumar Sankharé à propos du Saint Coran
Loin de toute polémique, je souhaite que ce débat soit un débat dépassionné et calme d’où jaillira la vérité rien que la vérité.
Pr. Sankharé pourquoi voulez vous restreindre le débat au sein de l’Université ? Alors que ledit livre est déjà sur le marché, dans les Librairies et Bibliothèques hors Université !.. Pr. Sankharé vouloir restreindre le débat au sein de l’université, c’est peine perdue. C’est vous-mêmes Pr. Sankharé, paradoxalement qui a porté le débat à la place publique en faisant connaitre votre livre au public non universitaire par le canal de la Tv 2stv et en accordant une interview à ‘’l’As’’. Si Pr. Sankharé vous arguez que parce que dans les Universités, il y a un niveau de perception plus élevé que les autres. C’est vouloir dire que la compréhension, le savoir et la connaissance ne sont l’apanage des l’Universitaires. NO COMMENT.
'Wade, je dirai au peuple que tu livres ses enfants aux canons...' - Par Abou Abel Thiam
Pour ses déclarations séditieuses qu’il distille depuis son retour au Sénégal, Abdoulaye Wade est passible de poursuites judiciaires. Il ne fait ni plus ni moins qu’un appel à l’insurrection. Lorsque l’ancien président de la République et néo chef de l’opposition dit qu’il lui suffit d’ «un appel» pour renverser le chef de l’Etat, le Président Macky Sall, sa déclaration est une incitation au soulèvement contre un pouvoir légal et légitime.
'Wade, je dirai au peuple que tu livres ses enfants aux canons...' - Par Abou Abel Thiam
Le fait de s’abriter derrière une pirouette langagière n’enlève en rien à sa responsabilité. D’ailleurs, si cela advenait, ce ne serait pas la première fois que de telles déclarations de sa part induiraient des conséquences graves pour le pays.
Rappel. Dakar, 16 février 1994, Boulevard Général de Gaulle : six (06) agents de l’Etat, sont tués à coups de gourdins et de machettes, sanguinolents dans leurs uniformes, brûlés vifs pour certains dans leur voiture de service, où ils avaient été bloqués...