La tyrannie sécuritaire et réflexe policier d’un président paniqué !
Le cercle des soufis dénonce, une violation caractérisée des libertés individuelles et collectives, garanties par la constitution du Sénégal, et qualifie d'acte arbitraire, l'interdiction préfectorale du meeting des partisans de l'ancien président Abdoulaye Wade.
Les soufis considèrent que cette "chape de plomb" qui tourne autour d’une folie répressive et interdiction abusive des manifestations, est une violation d’un droit que des dispositions constitutionnelles consacrent parfaitement. Tout cela ne procède en réalité que le reflet d'une peur et panique généralisée du gouvernement de Macky Sall face aux manœuvres de sabotage-reconnaissances auxquelles, Wade et ses acolytes sont rompues aux tâches.