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La flexibilité de la vie humaine face aux enjeux libertaires !

 

Avec  la théorie de  déconstruction  comme fil d’Arian, tout le monde s’accorde à penser que cette crise aiguë de morale que traverse la modernité, est un symptomatique de cet « humanisme  schizophrène »  centré sur un « progrès techno-scientiste » et qui jette aux orties «l’évolution spirituelle de l’humanité ».

Un humanisme, en raison duquel, l’homme devrait se résoudre, à mettre fin à sa vie, lorsqu’il juge celle-ci indigne pour lui. Il procède ainsi par l’utilisation de moyens médicamenteux, à  travers « la sédation pour détresse en phase terminale, l’euthanasie ou le suicide assisté ». Cet humanisme traverse une  fin de cycle, puisque engendrant trop d’insatisfaction, si bien qu’il envisage un alternatif. Donc, cette option pour une « renaissance morale » a comme point d’inflexion au crash bancaire, dû par les  bulles spéculatives et immobilières de la finance internationale.

Donc, dans ce monde, l’humanité souffre de trois types de terrorisme : celui dit  « terrorisme  islamique » avec son lot de destruction massive,  marqué par  des attentats suicides et ses implications biologiques comme « la bombe suppositoire » ou l’informatique, comme « le virus stuxnet », etc. Et le « terrorisme islamophobe » marqué par la montée en puissance des activistes néo-fascistes et ultranationaliste entamé  en Angleterre par des  milices chrétiennes chauffées à blanc par Paul Golding, à travers des patrouilles dites chrétiennes et des actes injurieux et de slogans acrimonieux portant atteinte aux fondements  islamiques.

Le troisième aspect, c'est le « terrorisme démocratique », que prônent les forces néo-nazi, comme l’Aube d’orée, et les fachos de la  « jeunesse nationaliste révolutionnaire » qui, à travers leur service d'ordre, sèment  une pagaille sans précédant(…)

Et  « las but not least » le quatrième volet du terrorisme, c'est le terrorisme « contre  la moralité publique »,- considérons que  la moralité publique est déterminée par des circonstances et considérations locales-.

  Cette  forme de terrorisme est celle pratiquée  par les activistes féministes,  comme le "FEMEN" qui s'active énergiquement  - à la hauteur de dévotion - pour renverser l'ordre moral en cours « déconstruire les stéréotypes  sociaux »  et  arracher la société de ses déterminismes culturel, ethnique, social, intellectuel, et religieux.

 

Serigne fallou dieng

Cercle des soufis