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Jeu, Mar
27 Nouveaux Articles

Exploitation du gisement de gaz entre le Sénégal et la Mauritanie le réseau des parlementaires demande plus de transparence sur les contrats signés

 Le Réseau des parlementaires pour la bonne  gouvernance des ressources minérales du Sénégal (Rgm) souhaite plus de transparence sur les contrats et accords signés pour l’exploitation des gisements de gaz se trouvant au large de la frontière avec la Mauritanie. Selon Mamadou Lamine Diallo et ses collègues députés, cela est devenu une nécessité afin d’éviter la malédiction du pétrole et du gaz qu’a connu certains pays. Le réseau des parlementaires pour la bonne gouvernance des ressources minérales (Rgm) du Sénégal veut plus de transparence sur les contrats  que l’Etat du Sénégal vient de signer avec la République Islamique de Mauritanie. Mamadou Lamine Diallo et ses collègues l’ont fait savoir hier, mardi 20 février, lors d’un atelier sous régional du réseau des parlementaires pour la bonne gouvernance des ressources minérales  de l’Afrique de l’Ouest (Rgm-Ao) portant sur les déterminants de la politique pétrolière et gazinière.

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Sénégal - Système de rémunération des agents de la Fonction publique : tout remettre à plat

Dans notre précédente contribution (15 février 2018, mêmes sources), nous nous sommes appesanti sur la prolifération coûteuse des agences nationales, avec leurs contrats spéciaux qui constituent, pour notre pauvre pays, un énorme gouffre financier et un lieu de recyclage de clients politiques. Les résultats d’une étude réalisée sur plus de 50 agences par le FMI à la demande des autorités étatiques en ont administré une parfaite illustration. C’est le Représentant Résident du FMI, M. Boileau Loko, qui a rendu compte de ces résultats lors d’un point de presse donné le mercredi 8 janvier 2014 (voir contribution susmentionnée). Deux ans après, il revint à la charge pour rappeler au président-politicien sa promesse ‘’de réduire de façon drastique les agences nationales’’.

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10 millions et terrains pour les députés : Ousmane Sonko persiste et signe, mouille Niasse et défie le bureau de l'Assemblée nationale pour un débat public

Ousmane Sonko confirme encore une fois les «  10 millions qu'on veut allouer aux députés sous le pompeux motif "de ticket entrant" », en précisant même que cette question, ainsi que celle des terrains des députés, ont été abordées en conférence des présidents.

Sonko maintient aussi que le Président Moustapha Niasse avait affirmé que le montant était budgétisé et disponible, sous réserve de ne pas politiser l'affaire au risque de discréditer l'institution.
 
« Comme à chacune de mes sorties, depuis quatre ans que je suis en politique, la meute des répondeurs automatiques de BBY se déchaîne dans de ridicules tentatives de démentis auxquels eux-mêmes ne croient pas, comme des enfants pris la main dans le sac.
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Renforcement des mécanismes de contrôle des politiques publiques la société civile dégage des pistes

 Nombre de responsables de la société civile appellent à la rupture du cordon ombilical  reliant la présidence de la République aux organes de contrôle, tels que l’Inspection générale d’Etat (Ige), la Cour des comptes, l'Office National de lutte contre la Fraude et Corruption (Ofnac) et l'Autorité de régulation des marchés publics (Armp). Interpellés par Sud quotidien dans le cadre de ce dossier, «Rôle de la société civile dans le renforcement des mécanismes de contrôle des politiques», réalisé en partenariat avec Osiwa, ces activistes ont en effet suspecté l’Etat de ne pas encourager l’indépendance de ces mécanismes. Des organes de contrôle tels que  l’Inspection générale d’Etat (Ige), la Cour des comptes, l'Office National de lutte contre la Fraude et Corruption (Ofnac) et l'Autorité de régulation des marchés publics (Armp) ne jouent pas véritablement leurs rôles se contentant d’être de simples faire-valoir .

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Pétrole et gaz du Sénégal : L’illustration matérielle de la spoliation

L’examen du profil des entreprises contractantes avec l’Etat du Sénégal dans le domaine des hydrocarbures, frappe de par sa singularité. L’auteur de "Chronique d’une spoliation", Ousmane Sonko dévoile dans son livre, « Pétrole et Gaz au Sénégal », que des compagnies majors s’investissent de moins en moins dans l’activité d’exploration. Ces dernières, préfèrent que les juniors ou même, les petites compagnies indépendantes, prennent les risques importants inhérents à ce type d'activités pour ensuite, négocier leur entrée sous forme de joint-venture ou de contrat d’affermage, à défaut de racheter tout bonnement les permis. Décryptage…

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Sénégal - Assemblée nationale : Ousmane Sonko «prive» ses collègues d’une indemnité de 10 millions de FCFA

L’indemnité de rentrée à l’Assemblée nationale n’est toujours pas disponible malgré le besoin émis par des députés. En cause, le bureau de l’Assemblée nationale prendrait en compte les menaces du député non-inscrit, Ousmane Sonko, de ne pas prendre les fonds, 10 millions par parlementaire au début de la législature. Soit 1 milliards 650 millions de FCFA au total pour tous les parlementaires.

L’affaire aurait installé un climat de méfiance à l’Assemblée nationale, de peur d’essuyer les foudres de l’opinion, selon la Rfm.

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Sénégal - Autre conséquence de la folie dépensière de nos deux présidents-politiciens : le gonflement inquiétant de la masse salariale.

 En conclusion de ma précédente contribution (‘’Walfadjri’’ et ‘’ Sud quotidien’’ du mardi 6 février 2018), je mettais l’accent sur une conséquence grave de la ‘’générosité’’ politicienne et irréfléchie du vieux président-politicien et de son digne successeur : le gonflement inquiétant de la masse salariale, qui fera l’objet de cette contribution. La prolifération des agences nationales que j’avais déjà annoncée, sera passée en revue dans la toute prochaine.

Donc, nos deux politiciens ne se sont jamais souciés des conséquences désastreuses de leur folle ‘’générosité’’, notamment sur la masse salariale. Pourtant, des alertes ont été toujours données et, parfois, par les gouvernants eux-mêmes, évidemment sans conviction.

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Le front social en ébullition : la solution n’est sûrement pas pour demain (troisième partie)


Chers lecteurs, vers la fin de ma contribution précédente (mardi 23 janvier 2018), je rappelais les arguments tirés par les cheveux avec lesquels notre vieux président-politicien voulait nous convaincre de la pertinence de la double augmentation de l’indemnité de judicature des magistrats : de 150000 à 300000, et de 300000 à 800000 francs, alors qu’ils n’en demandaient ‘’que’’ 500000. Ces arguments vraiment légers de la part d’un Président de la République – même s’il s’agit du vieux président-politicien –, posent quand même problème. D’abord, ils sont rarement exacts, en tout cas pas rigoureusement. Un magistrat qui sort du Centre de Formation judiciaire (CFJ) – et non plus de l’École nationale d’Administration (ÉNA) – gagne plus que 800 000 francs. Les 800 000 francs représentent sa seule indemnité de judicature. Si on y ajoute son salaire et son indemnité de logement, le magistrat en début de carrière gagne (déjà) bien plus de 1200000 francs. Rappelons, qu’avec ce décret ‘’généreux’’ du président-politicien Jr sur lequel nous reviendrons, son indemnité de logement est passée à 400000 francs.

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Dossier en collaboration avec Osiwa - Armp, Ofnac, Ige, cour des comptes... ces obstacles qui freinent le contrôle

 Considérés à tort ou à raison par certains citoyens  comme des «faire-valoir» à la solde du président de la République, les organes de contrôle de l’Etat semblent ne pas faire l’unanimité au Sénégal, au vu du traitement de certains dossiers médiatisés. Des limites des lois organiques de certains corps de vérification à la non application des recommandations faites dans les rapports produits, en passant par le manque de moyens que rencontrent ces institutions, sans oublier le retard dans la publication de certains rapports, ou encore leur dépendance au pouvoir exécutif, la société civile, les journalistes économiques, ainsi que les hommes de droit étalent les faiblesses de ces organes chargés de veiller sur la gestion des ressources du pays.

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Me Ousmane Sèye sort le décret qui prouve que la Caisse d’avance n’est pas un Fonds politique

 Le décret exhibé par Me Ousmane Sèye devrait mettre définitivement un terme à la polémique autour de la Caisse d’avance. Signé en 2003, il réglemente la gestion de la Caisse d’avance (Régie d’avance pour être plus précis) qui, dès lors, ne peut plus fonctionner comme des Fonds politiques. Elle est désormais, et à partir de cette date, soumise au contrôle de tous les Corps de Contrôle de l’État. Son ordonnateur devant alors se conformer à l’obligation de fournir des pièces justificatives quant à l’utilisation de l’argent de la Caisse.

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Sénégal - Avis du FPDR sur le réchauffement du front social : « L'Etat est en banqueroute non déclarée » (communiqué)

La Conférence des leaders du FPDR, réunie ce lundi 29 janvier 2018, a examiné la grave situation qui prévaut sur le front social. Au Nord du pays, à Saint-Louis, de violents affrontements ont opposé les populations aux forces de police suite à la mort d'un pêcheur tué par les garde-côtes mauritaniens. Le gouvernement est accusé par les manifestants de ne pas garantir la sécurité de ses ressortissants. Une pareille dégradation aurait été à la base d’incendies de commerces appartenant à des Mauritaniens. Le FPDR exige du gouvernement des initiatives hardies pour une solution définitive de ces conflits récurrents qui pourraient conduire à des dérives préjudiciables.

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Macky Sall instaure une bourse d’apprentissage mensuelle de 40 000 f cfa

Le chef de l’Etat compte mettre en oeuvre son programme social tel que annoncé lors du vote du budget pour l’exercice 2018. En réunion du conseil des ministres hier, il a demandé au gouvernement d’accélérer la cadence pour le démarrage du projet « Formation - Ecole - Entreprise ». A travers ce projet, 10 000 jeunes vont bénéficier d’une bourse d’apprentissage mensuelle de 40 000 FCFA

Macky Sall tient vraiment à son projet social. D’aucuns soutiennent que le chef de l’Etat mise sur sa réussite pour rempiler en 2019. Quoi qu’il en soit, le président de la République « harangue » ses troupes pour une matérialisation effective et pragmatique de l’année sociale 2018.
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