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Sénégal - Escalade de la violence électorale quand les politiques attisent le feu !
Présidentielle au Sénégal: polémique autour des candidats recalés
SIAMOISES AU SÉNÉGAL: Elles racontent l’histoire de Adja et Sophie
Sénégal - Tuerie de Boffa Bayotte: Dossiers sur le massacre de 14 coupeurs de bois en Casamance
C'est La Tribune qui livre l'info. Le journal rapporte que l'assistance s'est tordue de rire lorsque Me Wade a dévoilé la liste des neuf membres de la commission des investitures. "Madické Niang président", a dit Gorgui plongeant la salle dans un fou rire général.
«Abdoulaye Wade n’a jamais été manipulé par la justice, jamais il y a eu d’entraves à la justice», a soutenu l’avocat Madické Niang, qui parle de la traque des biens mal acquis, et déclare être «le seul avocat à être sur une liste de personnes soi-disant traquées». Mais, précise-t-il, «ma dignité et mon honneur ne m’ont jamais éloigné de ce que je dois faire, à savoir exercer mon métier, faire de sorte que la vérité puisse triompher. Il est nécessaire que ceux qui sont épris de justice fassent tout pour que triomphe la vérité.
DAKARACTU.COM Me Madické Niang est certain de la victoire du Parti Démocratique Sénégalais à Touba. Après avoir effectué son devoir civique au centre de Darou Marnane/ Arrondissement, l’ex-ministre de la République qui milite à Touba, a appelé les uns et les autres à continuer de voter dans la sérénité. « Nous n’avons aucune inquiétude à nous faire. Nous allons gagner comme à notre habitude à Touba.
Une plaidoirie qui a fait verser des larmes à plus d’un à la salle 4 du Palais de Justice. Notamment cette responsable libérale, en grand boubou vert qui a quitté la salle en pleurs. «Je serai à la dernière plaidoirie dans ce dossier», sert le responsable libéral non moins conseil de Wade-fils dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis qui ne manque pas de faire l’éloge des Wade. «J’ai défendu le père, j’ai vu avec quelle dignité il a eu à affronter toutes les épreuves de la vie, son fils ne faillira pas d’abord pour son honneur, l’honneur de sa famille et tous ceux qui croient en lui et revendiquent la vérité, son innocence», clame Me Madické Niang.
iGFM (Dakar) C'est le journal L'Enquête citée par Seneweb, dans sa livraison de ce lundi 05 mai, qui donne l'information qui risque fort de secouer le landerneau libéral. En effet, selon nos confrères, Karim Wade, de la prison de Rebeuss, aurait envoyé un courrier à son pater d'ex Président pour lui demander de se méfier de certains membres de son entourage.
Dont... Me Ousmane Ngom, son ancien ministre de l'Interieur, et Me Madicke Niang, ancien ministre de la Justice et ancien ministre des Affaires étrangères sous Wade. Wade-fils soupçonnerait ces derniers, sous le coup d'une instruction de la redoutée et redoutable Cour de Répression de l'Enrichissement illicite (Crei), de négocier leur sort avec le pouvoir en place.
Issa Sall: " "Je félicite Idy et Sonko, le 2ème tour est acté"
La moisson du candidat du Parti de l'Unité et du rassemblement, n'aura pas été très fameuse durant ce scrutin présidentiel. Issa Sall semble en être conscient. Dans un court message sur les réseaux sociaux, il a tenu à lancer un message aux sénégalais: "Je remercie le peuple sénégalais et je félicite les performances d'Idrissa Seck et d'Ousmane Sonko. Le 2ème tour est acté", a-t-il écrit sur Facebook
Que l'ex ministre des Affaires Etrangères sous Wade se le tienne dit! "Ça déroule grave contre lui"! C'est en tout cas ce qui nous revient de sources concordantes le concernant. Après Karim Wade, dont le jugement est prévu en juin, les autorités « pressent le pas » dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis, On nous apprend que les dossiers Oumar Sarr, Ousmane Ngom, Madické Niang refont surface.
La traque s'accélère : Samuel Sarr, Madické Niang, Oumar Sarr, Ousmane Ngom, Sindiély Wade dans le viseur de la Crei
Sénégal - Vote de lois scélérates, caisses noires, nouvelle constitution, corruption... El Hadji Sall promet de corriger
En meeting hier, jeudi, à Rufisque, El Hadji Sall a dit ne pas approuver le passage en force de certaines lois à l’Assemblée nationale. Selon lui: «Certaines lois passent en force à l’Assemblée parce que tout simplement les députés du camp présidentiel sont majoritaires. Lorsqu’on vous présente une loi à voter et sur les 160 députés que compte l’Assemblée, seuls 2 à 3 députés de l’opposition sont contre, alors dites-vous qu’il n’y a rien à espérer…
