Dans son nouveau livre intitulé "Ces goulots qui étranglent le Sénégal", Cheikh Yérim a fait une très grave révélation. "Installé au pouvoir (…), le nouveau Président perpétue une tradition bien ancrée dans nos mœurs politiques : partager les deniers publics pour conforter son pouvoir. Chaque mois, chacun des principaux leaders de Benno Bokk Yakaar, la coalition qui l’a porté au pouvoir, reçoit 20 millions de FCfa tirés des fonds politiques de la Présidence", écrit le journaliste dans cet ouvrage. Des révélations qui ont fait sortir le Palais de ses gonds. 

Le Sénégal fait office de « citadelle » pour l'islam radical, a soutenu le journaliste et politologue français d'origine libanaise Antoine Sfeir, avant d'appeler les autorités sénégalaises à promouvoir davantage l'éducation pour barrer la route aux « extrémistes » qui se couvrent du mandant de la religion musulmane.

« Le Sénégal est comme une citadelle pour l'islam radical. Car jusqu'à présent, le Sénégal est protégé de cette forme d'islam extrémiste grâce au travail des confréries. Il en est de même pour la France qui est une citadelle pour les islamistes radicaux à cause de la laïcité », a-t-il analysé.

Le ministre de l’Energie, Mme Maïmouna Ndoye Seck, a entamé, hier, une tournée dans le delta et la vallée du fleuve Sénégal pour passer en revue les travaux d’électrification rurale effectués par la Compagnie maroco-sénégalaise d’électricité (Comasel) en étroite collaboration avec l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (l’Aser).

S’adressant aux populations de Boudiouck, Ndiol Maure, Mboltogne, Keur Sea et Ndoub Nane et autres bénéficiaires de ce programme national d’électrification rurale domiciliés dans les communautés rurales de Gandon, Diama et Fass-Ngom, Maïmouna Ndoye Seck a réaffirmé la volonté du chef de l’Etat d’électrifier, d’ici à 2016, plus de 65 % des villages du Sénégal. Elle s’est réjouie du partenariat entre Comasel et l’Aser qui a permis aujourd’hui de mettre en place, dans ces trois communautés rurales, des ouvrages qui seront raccordés incessamment au réseau de la Senelec. 

Le Conseil Constitutionnel a appliqué « une mauvaise constitution car la Crei a été supprimé par la loi de réforme de 1984 tandis que la loi sur l’enrichissement illicite existe toujours et on peut l’appliquer avec le Procureur du Tribunal Régional ». Telles sont les affirmations soutenues par Me Doudou Ndoye, lors de la conférence juridique, initiée par le Groupement des jeunes juristes du Sénégal, hier lundi, en présence des pontes de l’ancien régime et de certains juristes et « droit de l’hommistes ».

Des collaborateurs d’hier, des opposants d’aujourd’hui. C’est ce qu’on peut qualifier les liens entre le chef de l’Etat, Macky Sall et son ex collaborateur l’économiste- statisticien Moubarack Lô qui, sur les ondes de la Rfm, dit être prêt à lui faire face s’il ne fait pas des résultats en 2017. Cela directement ou indirectement.

« On ne peut pas être en campagne permanente,  recevoir des transhumants à longueur de journée,… Si Macky Sall ne fait pas des résultats, il (Macky Sall) me trouvera sur son chemin directement ou indirectement », avertit-il, avant d’ajouter : « le conseil amical que je peux lui (Macky Sall) donner, est de quitter la tête de l’Alliance pour la République (APR, son parti au pouvoir) pour se consacrer aux Sénégalais, communiquer avec le monde rural, le renforcer… » 

Un camion transportant 42 tonnes de riz défraie la chronique à Touba depuis quelques jours malgré les efforts colossaux déployés par des hommes tapis dans l’ombre pour étouffer l’affaire. 

En fait, des sources de Seneweb.com bien au fait de cette forfaiture parlent d’une cargaison de riz destinée à la mission des Nations-Unies au Mali qui a été détournée et conduite sur Touba par un chauffeur avec la complicité de plusieurs commerçants  Il s’agit pour la plupart de grands commerçants fortement craints car très puissants. Un véritable scandale qui défraie la chronique et qui implique des hommes très connus dans la ville sainte mais ‘’intouchables’’ selon certaines rumeurs. 

Le ministre de l’Aménagement du territoire et des collectivités locales, Me Omar Youm, a visité hier les services techniques des villes de Dakar, Pikine et Guédiawaye, dans le cadre de l’audit du personnel des collectivités locales. Il était en compagnie de Khassimou Wone, directeur général de l’Agence de l’informatisation de l’Etat (Adie), partenaire technique du ministère dans ces opérations d’audit.

Me Omar Youm a exprimé sa satisfaction quant au bon déroulement de l’opération. Il a remarqué un certain engouement des agents des collectivités locales pour cet audit, même s’il a noté quelques dysfonctionnements liés notamment au manque d’information. 

Une de nos sources basées à Washington vient de nous livrer une information de taille qui ne manquera pas d’animer les débats dans les salons huppés de Dakar.
Il s’agit d’une partouze à laquelle ont participé deux enfants de « yakh bou reuye « ( des enfants issus de deux grandes familles)
Cette séance de parties de jambes en l’air a mal tourné parce qu’il a abouti à une grossesse attribué au fils du Ministre. La fille du PDG d’une Société Publique qui a bien identifié le futur père de son enfant en a fait part au rejeton du Ministre qui a catégoriquement refusé de prendre ses responsabilités en déclarant :  » do mane parce que souko sama papa yégué daffa may ray  » (ce n’est pas moi parce que si mon père est au courant il va me tuer).