Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

25
Jeu, Avr
0 Nouveaux Articles

INONDATION DES PERIMETRES MARAICHERS

Les agriculteurs accusent l’Onas

La station d’épuration de Cambérène est à l’origine des inondations des cultures au niveau des Niayes de Cambérène. C’est, du moins, l’avis des maraîchers de la zone qui demandent à être dédommagés par l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas).

 

Beaucoup de périmètres maraîchers jouxtant la station d’épuration de Cambérène sont actuellement sinistrés. Ce, suite aux fortes pluies survenues au milieu du mois d’août à Dakar. Mais pour les horticulteurs, il ne fait guère de doute que c’est la station d’épuration qui est à l’origine de leur sinistre. Dans un communiqué de presse, ils accusent la station d’avoir déversé son excédent d’eau sur les parcelles maraîchères, «détruisant ainsi des investissements considérables de pauvres pères de famille». 

La ville de Dakar citée en exemple par l’ARMP, plusieurs structures épinglées

L’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) a cité jeudi en exemple la Ville de Dakar pour son excellente progression avec l’apurement de ‘’toutes les recommandations de 2009 et 2010’’, tout en épinglant certaines structures accusées de continuer à recourir à l'entente directe et d'autres qui violeraient le Code des marchés publics.

"La ville de Dakar a une excellente progression depuis les audits de 2008, car toutes les recommandations de 2009 et 2010 ont été apurées’’, a indiqué le consultant Baye Ibrahima Diagne, membre de l’ARMP, dans une communication exposée lors de la cérémonie de présentation du rapport 2011 de l’ARMP.

MEURTRES A DAKAR ET SAHM NOTAIRE Entre amis, les comptes se règlent à coups de couteaux

De banales histoires entre amis ont viré à des crimes ce week-end. L’un s’est produit à Grand Yoff et l’autre à Sahm Notaire, à Guédiawaye.

Deux meurtres dans des rixes entre amis. C’est le résultat de banales histoires notées à Grand Yoff et Sahm Notaire, le week-end dernier. Le premier crime s’est produit au marché Grand Yoff hier vers 13 heures. 

DERNIER WEEK-END AVANT LE MOIS DE RAMADAN A DAKAR ET ENVIRONS : C’était le « bégué» sous toutes ses forme

Dans la capitale sénégalaise, les veilles de Ramadan sont des moments encore plus palpitants que les veilles de réveillons. Ce samedi, le «Dakar by night» a battu tous les records d’affluence. Chacun voulant, à sa manière, dire au revoir à son partenaire ou à ses vices et se préparer pour un mois de repentance et d’abstinence. Des boîtes de nuit bondées des Almadies, au «string party» avorté de Petit Mbao, en passant par la longue queue pour s’attacher les services de prostituées qui ont doublé leurs tarifs, Dakar a vibré ce samedi entre sexe, alcool et débauche. Il n’y avait qu’un seul mot d’ordre : «bégué».

 

Dakar Dem-Dikk : Les travailleurs réclament les 15 milliards que l’Etat leur doi

Dakar Dem-Dikk : Les travailleurs réclament les 15 milliards que l’Etat leur doit
SETAL.NET-Les travailleurs de la société de transport public (Dakar Dem Dikk) réclament la dette de 15 milliards FCFA que l’Etat les doit.
C’est l’une des préoccupations majeures de la rencontre d’aujourd’hui entre les travailleurs et la direction de la dite société. En effet, ces syndicalistes qui courent des années durant derrière leur dû, veulent en finir. Et pour ce faire, ils ont décidé en prélude de la rencontre qu’ils auront aujourd’hui, jeudi 29 août à Dakar avec la direction de la société, de mettre sur la table, cette préoccupation pour redorer le blason de leur société. En plus, les syndicalistes saisiront cette occasion selon la RFM pour se pencher sur leurs conditions de travail qui ne cessent de se dégrader de plus en plus.

Le Grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop précise: “ la culture lébu n’est pas divisée”

Le grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop lève un coin du voile. Il a fait savoir ce mercredi, à l’hôtel de ville de Dakar que, “la collectivité lébu n’est pas divisée”.

Le grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop invite les uns et autres à savoir faire la différence,lorsqu’ils se prononcent sur la collectivité lébu. Il a tenu ses propos, aujourd’hui, en présidant la cérémonie de lancement de la quatrième édition du festival mémoire des Penc.

“La collectivité lébu n’est pas divisée, elle a un problème de cohésion” précise le grand Serigne de Dakar.

L’immeuble abritant le siège de l'APS doit être ''évacué d’urgence’’, selon le sous-préfet de Dakar-Plateau

Le sous-préfet de Dakar-Plateau, Seydou Bâ, a demandé que l’immeuble qui abrite les services de la direction de la Communication et de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), soit évacué ‘’dans l’urgence’’, afin d’éviter toute catastrophe encourue par les occupants de cet immeuble délabré de dix étages.M. Bâ effectuait une visite d’inspection, mercredi, dans les locaux de l'APS, en compagnie des services de la protection civile, de la brigade nationale d’hygiène, des représentants de la mairie de Dakar. Les techniciens vont déposer rapidement le rapport de la visite. ‘’Nous avons constaté que le bâtiment doit nécessairement être évacué’’, a encore dit le sous-préfet qui a déplore que ''c’est au niveau des services de l’administration que se posent ces genres de problèmes''. ‘’Il y a plusieurs prescriptions des différentes structures aujourd’hui concernant ces bâtiments. A chaque fois, on repasse pour voir mais les problèmes demeurent’’, s’est plaint le sous-préfet Seydou Bâ. Toutefois, il a assuré qu’après cette visite, ils seront ''entendus'' par les autorités.

Sénégal/Viols et abus sexuels : Plus de 200 cas enregistrés dans la banlieue de Dakar

 

SETAL.NET-La violence sexuelle faite aux femmes est en train de prendre une ampleur inquiétante. Car en deux ans, plus de 200 cas de viols et abus sexuels ont été enregistrés dans la banlieue de Dakar.

Le chiffre est simplement effarent. Plus de deux cent(200) cas, c’est le nombre de cas de viols et d’abus sexuels enregistrés pendant les deux dernières années dans la banlieue de Dakar. Le constat a été fait hier à la mairie des Parcelles Assainies, par le Centre de guidance infantile(Cegid) basé en Grand-Yoff. Une première du genre qui va se poursuivre dans les autres quartiers de Dakar. 

Lancement du " Ndogou" 2013 : la mairie de Dakar débloque 70 millions de francs pour aider les nécessiteux

Lancement ce lundi du Ndogou 2013. Plus de cinq (5) mille personnes résidant dans les dix-neuf (19) communes d’arrondissements de la ville de Dakar vont bénéficier de cette action de la mairie.
 
Cette institution municipale a dégagé un budget de soixante-dix millions de FCFA pour soutenir les populations les plus fragiles. La distribution démarre à l’instant même à la prison centrale de Rebeuss. 

Université Cheikh Anta DIOP : La pression familiale oblige des étudiants à rester à Dakar après leur échec

De nombreux jeunes en provenance des 4 coins du Sénégal viennent à Dakar pour y poursuivre leurs études supérieures. Les institutions scolaires de la capitale, l’Université Cheikh Anta-Diop en tête, reçoivent des étudiants venus chercher un diplôme, gage d’un avenir meilleur. Cependant, tous ne connaissent pas le succès tant espéré... Le passage à l’université représente souvent un défi de taille pour les jeunes sénégalais qui quittent leur région d’origine pour venir poursuivre leurs études dans la capitale. Arrivés à Dakar avec le bac en poche, les nouveaux citadins ont sur leurs épaules le poids de l’espoir de leurs familles, qui les imaginent déjà sur la route d’une grande carrière. Mais la réalité des études supérieures en rattrape plus d’un. Dans les faits, seule une fraction des nouveaux arrivants connaîtra la route ininterrompue du succès, et nombreux sont ceux qui n’arriveront pas à maintenir le rythme exigeant de l’université. Confrontés à des conditions d’étude difficiles (promiscuité dans les résidences, problèmes financiers, maladies...) et à la pression familiale, le spectre de l’échec hante même les plus studieux d’entre eux.Après deux échecs consécutifs durant les deux années préparatoires à la Licence (Diplôme universitaire d’études littéraires ou Duel), l’étudiant « cartouche ». L’expression, ajout sénégalais au lexique de la langue française, exprime une réalité qui représente le cauchemar de tout étudiant : en plus d’avoir perdu deux ans de sa vie, celui qui cartouche est renvoyé de sa faculté. Il peut néanmoins s’inscrire ailleurs ou mettre fin à ses études... ainsi qu’aux espoirs de sa famille.