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Mar, Mar
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MOR NGOM REND VISITE AUX POPULATIONS DE GOULOUMBOU Trois mesures pour sécuriser les activités de pêche

Le ministre de l’environnement et du développement durable a rendu visite ce mercredi aux populations de Gouloumbou et environs. Des longs échanges qui ont été tenus, trois mesures phares tendant à sécuriser les activités des pêcheurs ont filtré. Il s’agit du développement de la pisciculture, de la garantie pour l’acquisition de pirogues motorisées et de la diversification des activités génératrices de revenus.

 

Mor Ngom, flanqué du directeur des Eaux et Forêts et du directeur des parcs nationaux, n’a pas mis de temps à réagir à la marche des populations de Gouloumbou et environs, histoire d’inviter les pouvoirs publics à leur porter assistance par rapports aux tueries d’un hippopotame. Ils sont descendus au niveau du fleuve où des pêcheurs leur ont pointé du doigt l’endroit où la dernière victime a été capturée et tuée par le mammifère. 

Gouloumbou : Mor Ngom « attaque » l’hippopotame

mor ngom

iGFM - (Gouloumbou) Mor Ngom est préoccupé par les agissements de l’hippopotame. Cet animal depuis quelques semaines hante la conscience des populations de Gouloumbou après avoir fait jusque-là 25 victimes. Une situation qui a poussé hier, les populations de manifester leur colère dans la rue. Le ministre de l’Environnement et du Développement durable dit n’avoir jamais comparé l’être humain à un animal et je ne le ferai jamais ».

Drame à Gouloumbou : L’hippopotame «pêche» sa 23e victime

Sur le fleuve Gouloum­bou, les populations sont en zone interdite : un hippopotame sème la terreur et mord les pêcheurs laissés à eux-mêmes. 23 personnes sont déjà passées sous ses crocs.

La féroce bête a tué une 23ème personne. L’hippopotame «tueur» de Gouloumbou continue de hanter le sommeil des populations riveraines du fleuve. Il a fini de glacer l’ambiance dans cette contrée qui a longtemps vécu sur les rives de ce fleuve en toute tranquillité. Tueur à sang froid, il règne en maître dans les eaux troubles de ce cours d’eau qui offre aux populations leurs moyens de subsistance à travers la pêche et le maraîchage. Prenant sa source au niveau du fleuve Gambie, ce cours d’eau est habité par cet hippopotame qui décapite et éventre systématiquement ses victimes. 

L'imam Mbaye Niang propose le transfert de l'hippopotame de Gouloumbou à Niokolo-Koba

L'imam Mbaye Niang, secrétaire général du Mouvement pour la réforme et le développement social (MRDS), préconise le transfert au Parc national de Niokolo-Koba de l'hippopotame de Gouloumbou (Tambacounda) qui a tué, il y a de cela quelques jours, un pêcheur de la localité. ‘’Personnellement, je propose que l’animal soit transféré au Parc [Niokolo Koba] et que les conditions soient aménagées, pour l’accueillir et assurer aussi bien sa sécurité que celle des populations’’, a-t-il dit, dans un entretien avec l'APS.

''Le problème de l’hippopotame de Gouloumbou m'a été également soumis'', a dit le député Niang, au terme d'une visite entamée, vendredi, dans la région de Tambacounda.

POUR EXIGER LA NEUTRALISATION DE L'HIPPOPOTAME MEURTRIER Les populations de Gouloumbou battent le pavé

Les populations des villages riverains du fleuve Gambie ont organisé une marche hier mardi, pour dénoncer les attaques meurtrières de l'hippopotame de Gouloumbou et appelé les autorités à neutraliser l'animal. Elles dénoncent le fait de ne pouvoir fréquenter le fleuve et les champs à l'entour et réclament des vivres de soudure.

 

Les populations d'une dizaine de villages jouxtant le fleuve Gambie ont rallié Gouloumbou hier,  mardi 20 mai, pour battre le pavé, exprimant ainsi leur ras-le-bol face aux charges meurtrières de l'hippopotame qui mardi 6 mai dernier, en était à sa vingt-cinquième victime, un pêcheur malien vivant dans le village de Madina Hafia . « La coupe est pleine » ont-elles martelé,  laissant très clairement entendre qu' "il  est peu compréhensible que l'on veuille à tout prix protéger une espèce animale au détriment de celle humaine ». 

Gouloumbou- Encore un homme dévoré par l’hippopotame

Gouloumbou- Encore un homme dévoré par  l’hippopotame

iGFM (Dakar) Un hippopotame continu de semer la terreur  à Gouloumbou dans la région de Tambacounda. Selon la RFM,  il a encore fait une victime malienne  du nom de Sounkaro Diarra  la nuit du lundi 05  au mardi 06 mai 2014. Pour rappel cette bête en est à sa énième victime. Il y a de cela quelques mois il a tué un muezzin précisément le 14 janvier 2014 dans la même localité.    

Le muezzin de la mosquée de Goulombou, 21ème victime d’un hippopotame

Le muezzin de la mosquée de Goulombou, 21ème victime d’un hippopotame

L'OBS - 21ème victime d’un hippopotame qui vit dans cette partie du fleuve Gambie, le muezzin de la mosquée de Gouloumbou a été retrouvé mort le jeudi 9 janvier dernier. Il avait le ventre déchiqueté, le bras droit cassé.

Les populations de Gouloumbou, village situé dans la communauté rurale de Missirah département de Tambacounda, sont dans la tristesse et la désolation. Le jeudi 9 dernier aux environs de 18 heures, le muezzin de la mosquée dudit village, Mamoudou Bâ (55 ans), marié à deux épouses et père de 12 enfants, à bord de sa pirogue, a été attaqué par un hippopotame.

Gouloumbou : les populations dans la rue !

SENENEWS.COM-L’hippopotame du Gouloumbou sème toujours la panique dans cette localité. Les populations ne savent plus quoi faire, elles vivent le calvaire. C’est l’inquiètude totale de leur part.
Dans une grande douleur, les populations de cette localité ont étalé leur colère aujourd’hui, dans la rue.
C’était pour inviter les autorités étatiques de ce pays à trouver rapidement une solution, car la situation est devenue est plus que terrible.

Gouloumbou : un corps sans vie découvert dans les eaux

Gouloumbou : un corps sans vie découvert dans les eaux

iGFM - (Dakar) La découverte d’un corps sans vie d'un garçon de 10 ans flottant sur les eaux d’un marigot, le 30 avril dernier défraie la chronique à Missirah (30 km de Tambacounda dans le sud est du pays). Repêché par des éléments de sapeurs-pompiers, le corps a été remis aux parents de l'enfant.