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BAKEL - Un gendarme trouve la mort dans un accident de Jakarta

BAKEL - Un gendarme trouve la mort dans un accident de Jakarta iGFM (Bakel) Les populations de Bakel sont dans l’émoi et la consternation. Vers 23 heures dans la nuit de mardi dernier, un gendarme sur sa moto communément appelée « Jakarta » a terminé sa course dans le décor en voulant éviter une femme enceinte sur la chaussée. Olivier Badiane puisque c’est de lui qu’il s’agit est mort sur le coup. Sa dépouille se trouve à la morgue du district sanitaire de cette localité. Le corps du défunt devrait être acheminé en Casamance, sa localité d’origine. L’homme de tenue en question fait partie de l’escadron de gendarmerie installé à Touriyimé, village situé à une dizaine de kilomètres de la ville de Bakel. Arouna FALL

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BAKEL-DIYABOUGOU ET ENVIRONS /ACTIVITES D’ORPAILLAGE Levée de la mesure d’interdiction

 

Après sept longs mois de chômage, les orpailleurs officiant à Diyabougou et environs reprendront du service. Cette fois ci, ce sera sur la base du nouvel arrêté du ministre en charge des mines. Le chef du service régional des mines de Tambacounda et un de ses agents y sont à pied d’œuvre pour faire de ce site une référence en Afrique de l’Ouest.

 

La mesure est effective depuis dimanche dernier, les activités d’orpaillage peuvent reprendre à Diyabougou et ce, après sept longs mois d’interdiction du gouverneur de Tambacounda, suite aux incidents meurtriers entre Maliens et Burkinabés dans la nuit du 4 au 5 mars 2013. Cette fois ci, la direction des mines et de la géologie, à travers le service régional des mines de Tambacounda, met tout en œuvre pour que les activités se déroulent conformément aux dispositions de l’arrêté n° 009249 du 14 juin 2013 paraphé par le ministre des Mines, et portant sur l’organisation de l’activité d’orpaillage.

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Fermeture du site d’orpaillage de Diyabougou : La fin de l’or sonne la faim

Depuis l’interdiction de l’exploitation de l’or à Diyabougou, les populations vivent dans une détresse sociale. Elles s’en mordent les doigts avec une famine qui rôde autour des foyers : Dès la découverte du métal précieux, les villageois avaient abandonné leurs activités  agro-silvo-pastorales.

Depuis  2009, c’était la ruée à Diyabougou, bourg situé sur les rives de la Falémé (département de Bakel, arrondissement de Kénia­ba) qui brillait de toutes les espérances. Aiguillonnées par l’appât du gain, les populations se bousculaient au pied de la mine pour extraire le métal jaune qui avait réussi à changer leurs conditions sociales, faites jadis de misère et de privation. Elles se pressaient dans les trous dépassant parfois 40 m. Douche désillusion. Aujourd’hui, les ex-travailleurs de ce site d’orpaillage fermé après des échauffourées sanglantes sont exposés à la famine. Regrets éternels. 

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