Pourquoi exhumer un cadavre d’une dame régulièrement enterrée dans les cimetières de Pikine ? C’est à cette question que tentent de répondre les services de police, même si d’aucuns agitent d’ores et déjà des pratiques mystiques pour le moins cruelles.

L'information a fait le tour de la toile, hier : une femme aurait été retrouvée ligotée des mains aux pieds et assassinée au niveau des cimetières de Pikine (banlieue de Dakar). Le ou les auteurs auraient tenté de l’enterrer avant d’abandonner le corps sur place car, en creusant, ils se seraient rendus compte qu’un cadavre était déjà enterré au même endroit. Il n’en est rien! 

Après l’expiration du délai de 72 heures qu’ils avaient donné au Président de la République, les membres de la Convergence des jeunes républicains de Pikine (Cojer) de Pikine envisagent de passer à la vitesse supérieure vendredi prochain dans l’après-midi. 
Pour ce faire ils ont déposé à la Préfecture de Pikine une demande d’autorisation de marche pacifique qui partira de la station Tally Boumack à l’entrée de Pikine, communément appelée Bountou Pikine. 

  Une opération de déguerpissement,  combinée entre les communes de Pikine Ouest, la commune de Dalifort-Foiral et soutenue par l’Entente CADAK CAR, a permis aux usagers de circuler sans difficultés au carrefour Bountou Pikine sur la nationale 1 depuis hier jeudi 29 janvier 2015. La voie est ainsi bien dégagée à la suite de l’opération.  

L’OBS-People Le respect de la parole donnée c’est la marque des grands hommes. Pour aider l’AS Pikine à avoir les coudées financièrement franches pour représenter le Sénégal aux compétitions africaines des clubs,  Youssou Ndour avait fait le serment de transposer le Grand Bal, de Bercy au stade Alassane Djigo. La promesse a été tenue et avec la manière, à la grande joie des populations. L’annonce faite par Farba Ngom de la réception imminente de l’As Pikine par le Président Macky Sall, a été la cerise sur le gâteau. La baraka de You est passée par là et les Pikinois ont été unanimes à le reconnaître.

iGFM – (Dakar) C’est la déception en banlieue après une audience des responsables Apr du département de Pikine ce jeudi au palais avec la première dame. Les délégations des communes d’arrondissement de Pikine à leur grande surprise ont été reçues par des amies de la première dame, que sont Awa  Ndiaye, Me Nafisatou Diop, Moustapha Diop, Thérèse Faye et  compagnies.

Une autre partie des responsables du département frustrée n’a pas été associée à l’audience.

iGFM – (Dakar) Remontés, c’est le terme qui sied pour qualifier l’attitude des 46 propriétaires de maisons qui doivent être délocalisées, dans le cadre du projet Pïkine irrégulier Sud.

Ces derniers qui doivent quitter Fass Mbao pour aller à Tivaoune Peulh, dénoncent les modes d’indemnisation établies par l’Agence pour la promotion des investissements et des grands travaux (APIX). Cette structure leur propose 17.000 Fcfa, le mètre carré, ce qui est insuffisant à leur avis. Mais pour Mor Guèye, le coordonateur du groupe opérationnel de l’Apix de Dakar, les prix établis ne peuvent être revus à la baisse car étant déjà validé par le comité ad hoc.

  Au cœur d’un système d’élevage bien sophistiqué, Saliou Seck, l’enfant de Pikine devenu éleveur de poulet de race sait de quoi il parle. Il aime ce métier. C’est sa passion. Du rêve, il est passé à la réalité. A sa réalité. Avec lui, l’appellation enfant de la banlieue ne veut rien dire, s’il ne lui permet pas mettre en valeur cet esprit malin qui a façonné la vie des sociétés humaines depuis la nuit des temps. De son petit enclos de Pikine, à l’intérieur de son stand à la dernière Fiara où il a exposé ses races de poulets, d’oies et de cailles en tout genre, il a pu exposer même aux enfants qui s’arrêtaient un moment pour regarder ses poules de races, la qualité de sa production. Connaisseur, Saliou, scrute l’horizon avec beaucoup d’autres questions cependant liées au développement d’un métier qu’il avait choisi par défaut au départ et qui est entrain de lui offrir un réel bonheur.  

  Le secrétaire général du Syndicat des travailleurs des transports routiers du Sénégal, Gora Khouma, a profité de la journée de sensibilisation des chauffeurs sur les risques d’accident, pour lancer son cri de cœur. Selon M. Khouma, les transporteurs n’arrivent toujours pas à comprendre les raisons pour lesquelles la gare routière interurbaine de Pikine porte le nom de «Baux Maraichers». «Ce nom est inapproprié pour un espace dont la principale activité est le transport. Ici, ce n’est pas destiné à la culture ou autre activité, donc le nom qu’on lui a donné n’a rien à voir avec une gare. Et, c’est insensé à notre avis», déclare-t-il.     

  Aussitôt installé le conseil municipal de la Ville de  Pikine a reçu la délégation d’une mission de la commune de Nanterre avec à sa tête le maire Patrick JARRY .La mission a séjourné à Pikine du 19 au 22 Aout dans le cadre de la coopération avec la ville de Pikine que dirige Abdoulaye TIMBO, lit-on dans le communiqué conjoint qui nous est parvenu.