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Sam, Avr
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Couverture maladie universelle : Les populations satisfaites, mais souhaitent la baisse des prix des médicaments

Une aubaine pour les couches vulnérables
Lancée par le chef de l’Etat, Macky Sall, qui s’est inspiré de ce qui se passe dans d’autres pays comme le Rwanda, la Tunisie, la Couverture médicale universelle (Cmu) vise à assurer à la population sénégalaise, un plus grand accès à des soins de qualité. En effet, la couverture sanitaire universelle n’est rien d’autre qu’une volonté de permettre aux populations d’accéder à des prestations de qualité, tout en travaillant à lever les entraves financières qui en limiteraient la portée. Or, la santé est le premier facteur de compétitivité et donc de développement. Car, un peuple malade ne peut rien réaliser. Pourtant, au Sénégal, 80 % de la population ne bénéficient d’aucune couverture maladie. 

Hôpital militaire de Ouakam: La Banque islamique du Sénégal offre du matériel médical

Don BIS OuakamLa Banque islamique du Sénégal (Bis) a offert un don de matériel médical d’une valeur de 18 millions de FCfa à l’Hôpital militaire de Ouakam (Hmo). Cette action contribue au relèvement du plateau technique de cette structure sanitaire.

La Banque islamique du Sénégal (Bis) apporte  son appui à la politique sociale des armées. L’institution financière a fait un don de matériel Orl et de chirurgie cervicale à l’Hôpital militaire de Ouakam (Hmo) par le biais de la Mutuelle des armées. Au-delà de cette action qui constitue un exemple de partenariat public-privé, la Mutuelle des armées a toujours bénéficié de l’appui de la Bis. Aujourd’hui, l’ensemble des financements, qui datent de 2006 à nos jours, s’élèvent à 1.518.000.000 de FCfa.

ET AU-DELA DU CHOLESTEROL !!! [UN PRELUDE A L’INCONTOURNABLE DIALOGUE INTERRELIGIEUX !!!].

Nous persistons à croire, comme de plus en plus de confrères, que Dieu a sa place dans la Science –la médecine, en particulier. Il est d’ailleurs inconcevable de nier son existence, si on considère l’homme dans tous ses aspects, tant anatomique, physiologique, biochimique que psychologique. On ne peut alors s’empêcher d’y contempler sa sophistication et de n’y voir que des Signes divins, confirmant ainsi, la véracité des Textes Sacrés. L’homme est à la fois corps et âme et dans cette perspective, la dimension spirituelle est de loin la plus importante ; en vérité, c’est elle qui conditionne le pronostic et l’évolution de toutes les affections ; oui, Dieu délivre presque toujours les « bienfaisants » de l’affliction, comme en témoigne de façon éloquente le récit des messagers ; oui, la « bienfaisance » (al ihsâne) est une station spirituelle élevée qui permet le plus souvent de sortir même de certaines situations désespérées. Voilà donc un axe de recherche très prometteur ; une perspective qui permettra peut-être de faire des avancées notables en thérapeutique et contribuer ainsi à une amélioration de la santé dans le monde entier – C’est là un défi biblique et coranique.

Lutte contre le VIH/SIDA : Le district sanitaire de Popenguine et l’Aibd unissent leurs forces

Avec un taux de prévalence de 0,1 %, le district sanitaire de Popenguine a engagé, avec l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) de Diass, une bataille contre le Vih/Sida. Les deux structures ont signé, hier, un protocole d’accord pour prendre en charge cette question dans le cadre de la responsabilité sociétale de l’entreprise.

Pour lutter efficacement contre le Vih et réduire considérablement son impact, le district sanitaire de Popenguine et l’Aéroport international Blaise Diagne  (Aibd) ont décidé de prendre en charge cette question. 

Fièvre Ebola : La menace du virus au menu d’un Crd à Louga

Contre la fièvre Ebola, il n'existe aucun vaccin ni traitement. Le Comité régional de développement (Crd) tenu, hier, à Louga est pertinent, parce qu’il a mis l’accent sur la prévention, seul moyen de lutte contre la propagation de l’épidémie.

Très contagieuse et mortelle dans 90 % des cas, la fièvre hémorragique à virus Ebola a déjà fait 101 décès sur 157 cas suspects en Guinée. Six cas suspects au Liberia, deux en Sierra Leone et récemment six autres cas non confirmés au Mali.  Alors, le Sénégal est-il menacé par le foudroyant virus ? Oui, a répondu, hier, le colonel Mame Demba Sy, médecin-chef de la région de Louga. « Nous ne sommes pas à l’abri avec la mobilité des populations favorisée par la porosité de nos frontières », a expliqué le médecin-chef de région qui prenait part au Crd spécialement consacré à la menace de la fièvre Ebola. 

RÉOUVERTURE DE CONCOURS, RÉVISION DU CODE DE L’HYGIÈNE, RÈGLEMENT DE LITIGE, FIÈVRE ÉBOLA… Le Sutsas, déboule contre Eva Marie Col Seck

Lors de leur rencontre avec la presse  hier, vendredi 11 avril, le Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l'action sociale (Sutsas) a versé sa bile sur le ministre de la santé et de l'action sociale Eva Marie Col Seck. Mballo Dia Thiam et ses collègues accusent le ministre de la santé de plusieurs irrégularités au compte de la gestion de ce département.

La réouverture du concours  aux diplômes du BFEM constitue pour les syndicalistes, une mesure qui viole le protocole d’accords du 17 février 2014 et qui stipule en ses articles 2-1,2-3 et 2-4 le relèvement du niveau de recrutement au Bac pour les filières de préparateurs en pharmacie et de technicien de laboratoire en prothèse dentaire ainsi que l’arrêt de la formation des aides sociaux et la réactualisation des dits corps en extinction. 
 
Cette situation que les protestataires assimilent à une remise en cause des acquis syndicaux est inexplicable à leurs yeux car, laissent-ils entendre, « on s’entendait à la convocation du conseil de perfectionnement des écoles dont le ministère a la charge ». Il s’agit notamment de l’école nationale de développement sanitaire et social (Endss) et l’Ecole nationale des travailleurs spécialisés (Entss). 

Le Sénégal «paré» pour la traque contre le virus Ebola

Le Sénégal «paré» pour la traque contre le virus Ebola

L'OBS - L’épidémie Ébola rôde dans nos murs. Alors, pour organiser la riposte, le ministre de la Santé Eva Marie Coll Seck, en compagnie de ses collaborateurs, a entrepris, hier mardi, une visite d’inspection au Port et à l’aéroport. Une journée passée à organiser le plan riposte contre le virus Ebola. Récit !

AEROPORT DE DAKAR. A bord d’un avion en provenance d’un pays tiers, un cas suspect de virus Ebola est détecté. «Le malade a une température élevée, il vomit…» Aussitôt, la procédure de prise en charge du cas  se met en branle. A la coupée de l’avion, une équipe vêtue de combinaison de protection inspecte l’appareil et s’occupe du cas suspect. Sous une tente blanche, située à droite de la grande piste de stationnement des avions, des chaises sont installées, une table de consultation, une moquette rouge constituent le mobilier sommaire. «C’est la surface d’isolement pour faire l’évaluation des cas», souffle Alioune Fall, le médecin-chef de contrôle aux frontières aériennes.

Prévention des accidents de travail : Les entreprises sensibilisées sur les produits ionisants

La section sénégalaise des Préventeurs Sans Frontières a célébré hier la 18ème édition du Mois africain de la prévention. L’occasion a été saisie pour revenir sur la prévention des risques auxquels sont exposés les travailleurs et les populations de façon générale, ceux liés aux effets des rayonnements ionisants et des matières radioactives en particulier.
Un rayonnement ionisant se distingue des autres radiations fréquentes qui émanent de la radio, de la micro-onde ou du téléphone portable.

Afrique - Exposition au mercure et au plomb des déchets électroniques et informatiques : Des chercheurs tirent la sonnette d’alarme

Face aux risques environnementaux et sanitaires que représentent les déchets électroniques et informatiques, des chercheurs ont plaidé, dans un ouvrage, pour la mise en place d’un cadre institutionnel et réglementaire, et la valorisation de ces déchets 
Depuis quelques années, les pays africains sont inondés d’appareils électroniques et informatiques de seconde main et souvent obsolètes. Ces équipements comportent des composants dangereux pour la santé des populations. Aussi, étant non biodégradables, ils constituent un danger pour l’environnement. Pis, contrairement aux pays avancés, ces Etats africains accordent très peu d’attention à ces équipements et à leurs impacts sur la santé et l’environnement.