Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

18
Jeu, Avr
0 Nouveaux Articles

Traque des biens supposés mal acquis -convoqué à la CREI hier; lundi Abdoulaye balde prie de repasser le 26 aout

  Le président de l’Union centriste du Sénégal(Ucs) et maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé est sorti libre  hier, lundi 18 août, des locaux de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Convoqué par le procureur spécial de la Crei quelques jours seulement après avoir donné les justificatifs de la licéité de ses biens, Baldé est cependant prié, à l’issue d’un face-à-face de près de deux tours d’horloge, de se présenter de nouveau devant la juridiction le mardi 26 août prochain.  

Recherché depuis jeudi dernier par les éléments de la Gendarmerie nationale, soit quatre jours après avoir présenté les preuves de la licéité de ses biens, c’est finalement hier, lundi 18 août, que le chef de file de l’Union centriste du Sénégal(Ucs) s’est présenté aux autorités de la Cour de répression de  l’enrichissement illicite (Crei). Abdoulaye Baldé était accompagné de ses avocats, Me Demba Ciré Bathily et Clédor Ly. A l’issue d’un face-à-face de près de deux tours d’horloge, le président de l’Union centriste du Sénégal est ressorti libre comme le vent. 

Traque des biens mal acquis de la réactivation de la CREI à l’inculpation de Karim Wade

 

Premier sur la liste des dignitaires de l’ancien régime libéral d’Abdoulaye Wade à faire l’objet de poursuites dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis par la cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), Karim Wade est également parti pour être le premier des mises en cause dans cette affaire à comparaitre devant un tribunal. Convoqué aujourd’hui, jeudi 31 juillet, le fils de l’ancien devra justifier l’origine licite de son patrimoine finalement évalué à 117 milliards FCfa, contrairement aux 691 milliards de départ.

Prévu pour aujourd‘hui, jeudi 31 juillet au Palais de justice Lat Dior de Dakar, le procès de Karim Wade qui, selon nos sources, doit se dérouler dans la salle d’audiences n°4 dudit tribunal de Dakar où près de 70 témoins cités dans cette affaire sont attendus, est parti pour être l’attraction du jour. En effet, très attendue par l’opinion publique sénégalaise, cette confrontation mettra non seulement fin à près de deux ans de débats et de tractations autour de cette traque des biens dits mal acquis. Mais aussi environs deux ans de détention préventive à la maison d’arrêt de Rebeuss de l’ancien puissant ministre du régime du Président Wade. 

TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS-SELON LES LIBERAUX Une «chasse aux sorcières» de nature politico-politicienne

 

Même si la traque des biens supposés mal acquis se justifie par une volonté de recouvrer des avoirs publics détournés de leurs réels objectifs, les hommes politiques et surtout les libéraux se sont saisis de l'affaire pour en indexer particulièrement la pseudo connotation politico-politicienne.

Les responsables du défunt régime libéral n’ont jamais perçu la traque des biens supposés mal acquis comme une affaire ayant pour objet de restituer au contribuable sénégalais, des biens détournés à des d’autres fins, mais plutôt comme la «traque d’adversaires politiques». Face aux injonctions de l’Etat et de la Crei d’ailleurs concernant leur liberté de mouvement, certains d’entre eux ont opté pour une sorte de «désobéissance civile». L’interdiction de sortie du territoire faite à quelques leaders du Parti démocratique sénégalais (Pds) a été ainsi violé par Oumar Sarr, le maire de Dagana et coordonnateur de la formation libérale, lequel a profité, d’une visite dans son fief, pour faire un  crochet en Mauritanie voisine.  

Traque des biens mal acquis - après le classement sans suite du dossier par la France Dakar rouvre le dossier Karim

L’affaire Karim Wade est loin de connaître son épilogue. Dakar, qui semblait avoir reçu un coup de Jarnac, après le classement sans suite du dossier par le parquet de Paris, mardi dernier suite à une plainte de l’Etat du Sénégal, a déclenché une autre procédure judiciaire contre l’ancien ministre d’Etat. C’est ce qu’a révélé dans son site, le Quai d’Orsay, la voix officielle de la diplomatie française.

 

 

«Une autre procédure judiciaire est par ailleurs en cours. Le juge sénégalais a adressé une commission rogatoire internationale au ministère des affaires étrangères et du développement international, qui l’a immédiatement transmise aux autorités judiciaires compétentes. Elle est actuellement en cours d’exécution», Cette réponse est du porte-parole du Quai d’Orsay, parue dans son site «diplomatie.gouv.fr», que nous avons visité hier, lundi 23 juin 2014. 

BIENS MAL ACQUIS - « La traque une affaire dont le Sénégal pouvait se passer » selon innocence Ntap Ndiaye

iGFM – (Dakar) L’ancien ministre innocence Ntap Ndiaye  trouve l’arrestation du fils de l’ancien président de la République injuste. Elle était l’invitée de Mamadou Ibra Kane dans le grand jury.

«Cela me restreint infiniment. Cela a été très dur. Mais je sors de ce côté affectif pour aller sur le côté pur du droit. Nous attendons comme tous les Sénégalais, le procès.

Mais je pense que la traque a été une affaire de plus dont le Sénégal pouvait se passer» a-t-elle confié.

Traque des biens mal acquis: Après la France, le Luxembourg blanchit Karim Wade

Encore un rebondissement dans l’affaire Karim Wade qui risque de frustrer de nouveau le Palais comme cela a été le cas quand le parquet financier de Paris avait blanchi le fils de Wade. L’Etat du Sénégal avait demandé des investigations concernant l’assurance vie souscrite le 13 décembre 2002 par Wade fils, auprès de la compagnie d’assurance Sogelife Sa dont le siège social est basé à Luxembourg ville, pour un montant de 405,2 millions de FCfa.

Traque des biens mal acquis : Le lobbying des avocats de Karim Wade au Quai d'Orsay

Nous vous parlions dernièrement de l'étoffe du pool d'avocats en charge de la défense de l'ancien ministre d’État Karim Wade. Désormais, ces robes noires mènent l'offensive depuis le classement sans suite de la plainte de l'Etat du Sénégal contre le fils de l'ancien président Abdoulaye Wade pour enrichissement illicite. Et, après leur conférence de presse du mardi 17 juin, c'est le magazine ''Jeune Afrique'' qui nous révèle l'état de la manœuvre. Selon JA, ''les avocats de ce dernier (Karim Wade) plaident discrètement sa cause auprès des hauts responsables français''.

Sénégal - Impasse dans la traque des biens mal acquis : silence, on négocie avec Karim!

 A beau faire des démentis dans la presse, le pouvoir ne pourra jamais cacher aussi longtemps qu’il le voudra ses manœuvres dans l’affaire Karim Wade. Il y a aujourd’hui bel et bien négociation dans le dossier du fils de l’ancien président, emprisonné depuis avril 2013 pour enrichissement illicite. Face à l’impasse dans la traque des biens mal acquis, certains caciques du pouvoir ont travaillé l’oreille du président Macky Sall. Selon eux ce n’est pas dans son intérêt de garder Karim Wade en prison. Donc, il va falloir le lâcher, disent-ils. 

Fin de la traque des biens mal acquis : Karim en route vers la liberté provisoire

Le procès de Karim Wade prévu le 31 juillet prochain sera la porte de sortie du régime en place pour enterrer le dossier de la traque des biens mal acquis. Des sources proches du dossier renseignent que le procès sera reporté et Karim Wade bénéficiera d'une liberté provisoire, assortie d'une interdiction de sortie du territoire. Selon L'Observateur qui file la Der, les mêmes interlocuteurs de préciser que le Président Macky Sall veut en finir avec cette procédure qui n'a que trop duré avec de maigres résultats sans oublier les différentes interventions de marabouts, diplomates et autres chefs d'Etat de la sous-région.

BIENS MAL ACQUIS - La justice française classe sans suite la plainte de l’Etat : Karim lavé sur Seine

Selon les avocats de Karim Wade, qui organisaient hier une conférence de presse à Paris, la plainte déposée contre celui-ci par l’Etat du Sénégal pour «enrichissement illicite», le 30 novembre 2012, a été classée sans suite le 19 mai dernier par la justice française. Comme le précise le document officiel signé par le greffe du procureur du Parquet financier de Paris, que Jeune Afrique a pu consulter, cette décision judiciaire est motivée par une «infraction insuffisamment caractérisée».