Dans son numéro de mercredi, le journal Enquête qui a consacré un dossier à la manipulation de l'appareil judiciaire pour casser les ailes de leurs adversaires politiques, commence par poser la question de savoir: Jusqu'où sont-ils prêts à aller pour conserver leur pouvoir ?
Diourbel : Le procès de "Boy Djinné" renvoyé au 6 février
Le procès de Boy Djinné a été renvoyé au 6 février prochain selon la Rfm de ce mardi, 16 février 2018. Baye Modou Fall, alias « Boy Djinné » devait comparaître ce mardi matin devant le tribunal de Grande instance de Diourbel, pour être impliqué dans des faits de cambriolage de magasin à Touba en 2016.
Sénégal - Indépendance de la justice l’impossible consensus entre acteurs judiciaires
L’indépendance de la justice, tant agitée au Sénégal, continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. La question continue d’être soulevée dans le milieu judiciaire. Hier, jeudi 28 décembre, lors du colloque organisé par l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) et qui avait pour thème «L’indépendance de la justice, état des lieux, et perspectives de réformes», les acteurs de la justice sont restés mitigés sur la question. Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, le président de l’Ums, Souleymane Teliko, le Premier président de la Cour suprême, Mamadou Badio Camara, le Bâtonnier de l’Ordre des avocats, Me Mbaye Gueye et sont collègue Doudou Ndoye, porte-parole du barreau pour le colloque, ont tous eu des avis divergents sur la question. ISMAÏLA MADIOR FALL, GARDE DES SCEAUX, MINISTRE DE LA JUSTICE : «On ne peut pas dire que la justice est beaucoup plus indépendante dans les pays voisins qu’au Sénégal, même si…»
Renforcement de capacité des acteurs de la justice en politique du genre pour aider et inciter les femmes victimes de violence à saisir la justice
La Cellule genre du ministère de la Justice, en collaboration avec l’Ambassade du Canada, a ouvert hier, mardi 12 décembre, une session de renforcement de capacité en politique du genre, ce pour 3 jours. L’objectif de cette rencontre c’est d’«amener les cadres de la justice à s’imprégner d’avantage et échanger d’expérience sur les principes et textes de base relatifs à la mise en œuvre de la politique de l’accès au droit et à la justice de proximité pour les femmes et les filles».