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Jeu, Mar
27 Nouveaux Articles

Mali: les concessions de Bamako au FMI

Au Mali, le bras de fer engagé par le Fonds monétaire international avec les autorités maliennes se poursuit. Le FMI demande depuis le mois de mai des explications sur l’achat d’un nouvel avion présidentiel à 30 millions d’euros, et sur un contrat d’équipements passé par le ministère malien de la Défense pour 105 millions d’euros. En attendant, le versement de ses crédits est gelé. La ministre malienne de l’Economie et des Finances, Bouaré Fily Sissoko, s’est rendue à Washington en début de semaine. A la demande du FMI, elle a accepté de prendre certaines dispositions.

Mali - IBK dit tout à ses alliés * Pourquoi il a limogé Boubèye * Pourquoi il a gardé Mara * Qui a ordonné l’attaque de Kidal

Tous les partis et leaders de la mouvance présidentielle ont répondu à l’appel du président IBK, les transhumants politiques comme les sédentaires, les plus populaires comme les moins connus. Gêné de n’avoir pas rencontré, depuis son élection, certains leaders politiques qui l’avaient rejoint au second tour du scrutin présidentiel de 2013, le chef de l’Etat tente, tant bien que mal, de décontracter l’atmosphère. Sur le ton de la plaisanterie et avec force accolades et tapes amicales dans le dos, il leur répète : « Cela fait un bail qu’on ne s’est pas vus ! ». Après que chacun s’est installé dans la salle de réunion, IBK constate qu’Oumar Mariko, secrétaire général de SADI, se cache dans un coin de la salle. D’un ton amical, l’hôte de Koulouba lui lance: « Hé, toi, Mariko! Qu’est que tu fais dans ce trou ? Viens par-devant ! ». Après quoi, IBK annonce l’ordre du jour de la rencontre : sa déclaration liminaire du président et une séance de questions-réponses.

Mali - Rebondissement dans la « tentative de déstabilisation des institutions et atteinte à la sureté de l’Etat » : Le sergent-chef Sylla, un des membres de la conspiration, passe aux aveux

Interpellé en même temps que le lieutenant Mohamed Ouattara et d’autres sous-officiers, le sergent-chef Sylla est vite passé aux aveux. Devant l’équipe des enquêteurs qui l’ont cuisiné pendant plusieurs heures, il a déclaré que le palais de Koulouba ne constituait pas la cible, mais plutôt le domicile privé du président de la République sis à Sébénikoro. Le plan consistait à attaquer   l’endroit une fois que le chef de l’Etat se trouvait à l’intérieur afin de porter atteinte à son intégrité physique et l’empêcher d’exercer sa fonction à la tête de l’Etat et au service de la nation.

Tentative de coup de force au Mali: Un officier arrêté pour atteinte à la sûreté de l’Etat

Un officier malien, dont la famille avait affirmé avant hier jeudi qu'il avait été enlevé à Bamako, a en réalité été arrêté pour « tentative de coup de force » et « atteinte à la sûreté de l'Etat », a déclaré hier un responsable du gouvernement malien.

« Le lieutenant Mohamed Ouattara a été arrêté - t non enlevé- pour tentative de coup de force, tentative de déstabilisation des institutions de la République et pour atteinte à la sûreté de l'Etat », selon le haut responsable malien. Un document officiel affirme que son objectif et celui d'autres officiers « et de leurs complices » était de renverser « le régime » du président Ibrahim Boubacar Keïta.

Le responsable malien a précisé qu'il y avait eu plusieurs arrestations et que d'autres auront lieu. Avant hier ,Jeudi, des membres de la famille de Mohamed Ouattara, dont son père Yaya Ouattara, un colonel à la retraite, avaient affirmé qu'il avait été enlevé dans la nuit de mercredi à jeudi « par des individus armés » à Bamako. 

Mali : Le Ministre De La Défense Démissionne Après Une Défaite De L’armée À Kidal

Au Mali, le ministre de la défense, Soumeylou Boubèye Maïga, a démissionné mardi 27 mai, une semaine après la défaite de l'armée malienne à Kidal (nord-est) face à des groupes armés rebelles. « Le ministre malien de la défense a présenté sa démission qui a été acceptée », indique la présidence malienne.

Rébellion à Kidal : Macky Sall renouvelle son soutien au Mali

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iGFM (Dakar) Le président sénégalais Macky Sall a réitéré son soutien aux autorités du Mali, confrontées à la dégradation de la sécurité dans la partie nord du pays où des insurgés touareg ont étendu leur contrôle, a appris l’APS de source officielle, jeudi à Dakar.

« Le chef de l’Etat a évoqué la situation en cours au Nord Mali, en réitérant le soutien total de notre pays à l’Etat malien, dans l’intérêt de la paix dans la région sahélienne et pour la préservation de nos nations contre le terrorisme et l’obscurantisme », rapporte le communiqué du Conseil des ministres du Sénégal.

Mali : le MNLA reprend le sentier de la guerre, 36 morts à Kidal

Le mouvement National de Liberation de l’Azawad a annoncé dans un communiqué qu’il y a eu une dizaine de militaires maliens tués dans les combat et une trentaine de prisonniers dont deux blessés remis au CICR. Le même communiqué précise que le directeur régional de Kidal, un préfet, le conseiller du gouverneur et 24 Soldats dont des officiers, des hommes de rang et des cadres d’administration.


Le MNLA ne désarme pas. Depuis sameid il a repris le chemin des hostilités avec le pouvoir central de Bamako. Selon un bilan établi par l'AFP, il y aurait eu trente-six morts, dont huit militaires, ainsi qu'une trentaine de fonctionnaires retenus en otage : c'est le bilan des affrontements qui ont opposé, samedi 17 mai, l'armée malienne et des hommes armés à Kidal, ville de l'extrême nord-est du Mali. Le gouvernement a accusé la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), et «des groupes terroristes».

Moussa ag Assarid : « Notre but, contrôler l’ensemble de notre territoire » au nord-Mali

Après les sanglants combats à Kidal, qui ont opposé les rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) à l’armée malienne, le Mali replonge dans une nouvelle crise. D’après Moussa ag Assarid, l’un des porte-parole du MNLA, son groupe a pris possession de Kidal, Ménaka mais aussi d’Aguelhoc, Tessalit et Anefis. Selon lui, son organisation se rapproche de la ville de Gao où sont stationnés des soldats français de la force Serval. Actuellement à Kidal, il revient pour Afrik.com sur les revendications du MNLA. Entretien.

Le Mali s'offre un avion présidentiel, le FMI furieux

Le timing semblait mal choisi pour se permettre un achat de cette envergure. Celui du nouvel avion présidentiel du Mali, d'une valeur de 40 millions de dollars (29,5 millions d'euros), a provoqué la colère du Fonds monétaire international (FMI), ce lundi 19 mai. Le tout alors que le pays reste sous perfusion de la communauté internationale.

Cette transaction, qui fait également des vagues à Bamako, témoigne de "faiblesses" dans la gestion des finances publiques du pays, a indiqué un porte-parole, affirmant que le prochain prêt du FMI au pays serait en conséquence "retardé". Il n'a par ailleurs pas exclu que cet achat ait été, en partie, financé par des précédents prêts du Fonds.

Contactée par l'AFP, la Banque mondiale a, elle, indiqué suivre la situation "avec inquiétude".
Selon une source proche du dossier, l'achat du jet présidentiel n'a en outre pas fait l'objet d'un appel d'offres en bonne et due forme.

Christine Lagarde personnellement engagée dans le dossier malien

Nord Mali : 5 soldats sénégalais blessés par une mine à Kidal

Minusma VehiculeCinq casques bleus sénégalais de la Mission multidimensionnelle intégrée pour la stabilisation des Nations unies au Mali (MINUSMA) ont été blessés hier à Kidal (Nord) et évacués à Gao pour des soins, après que leur véhicule a sauté sur un engin, annonce la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA).

Les soldats sénégalais effectuaient une patrouille lorsque le véhicule à bord duquel ils circulaient a sauté sur un engin explosif, précise la DIRPA, dans un communiqué reçu à l'APS.

Nord du Mali : L’armée chassée de Kidal par les rebelles Touareg

Chassée de Kidal par les rebelles touaregs, l'armée malienne a subi une cinglante défaite qui a contraint les autorités de Bamako à un humiliant « cessez-le-feu immédiat », alors que Paris a appelé hier à une reprise urgente du dialogue.

Ce nouveau revers militaire dans un pays qui commençait à peine à goûter aux fruits d'une relative stabilité, a provoqué une onde de choc au Mali. « Il est essentiel que les hostilités cessent et que des pourparlers inclusifs démarrent » entre rebelles touaregs et Bamako, a appelé de son côté le ministère français des Affaires étrangères. Les combats ont éclaté depuis le 17 mai à Kidal entre forces maliennes et groupes armés touaregs à Kidal, à l'occasion d'une visite du Premier ministre Moussa Mara, et ont fait des dizaines de morts, se soldant par la déroute des forces régulières.

Mali: Une trentaine d'otages des rebelles touareg libérés à Kidal

Mali - Ils avaient été pris en otages samedi dernier...

Une trentaine de fonctionnaires, retenus en otages depuis samedi par des rebelles touaregs dans leur fief à Kidal (extrême nord-est du Mali), ont été libérés ce lundi dans cette ville, ont indiqué une source aux Nations Unies et une source humanitaire.

«Nous venons de récupérer une trentaine d'otages, ils se portent pas mal. Deux sont très fatigués», a déclaré un responsable de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) à Kidal.

L'information a été confirmée par un humanitaire qui a participé à la remise des otages à la Minusma. Il y a «entre 28 et 30» ex-otages, «ils sont entre les mains de la Minusma», a-t-il dit.

Libération des «prisonniers de guerre»

MALI: CONTRE L'ENLEVEMENT DES JEUNES FILLES AU NIGERIA La MISAHEL se joint à la série des condamnations

Avec l'enlèvement de plus de 200 lycéennes nigérianes, âgées de 12 à 18 ans, le 14 avril dernier, le groupe «Boko Haram» a réussi à se mettre à dos les communautés africaine, internationale, le monde musulman, bref toute l'humanité respectueuse des droits de l'homme, éprise de paix et de justice. L'une des dernières organisations à se joindre à la vague d'indignation et de condamnation de cet acte «ignoble» c'est la Mission de l'Union africaine pour le Mali et le Sahel (MISAHEL) dont le Chef de l'unité politique, M. Ntolé Kazadi, recevait, à Bamako, une «Déclaration» des organisations féminines du Mali prohibant la prise d'otage.