Parmi les principaux enjeux actuels pour les programmes de voyage, on note le reporting, la flexibilité, la technologie mobile en facilitant les applications destinées aux voyageurs, des exigences avec lesquelles les entreprises africaines du secteur du voyage doivent dorénavant composer.
L’Afrique est en mouvement, et le monde du voyage avec lui. Dans un secteur qui doit faire face aux grands groupes occidentaux qui s’intéressent de plus en plus au continent, les « voyagistes » africains n’ont d’autres choix que de se projeter vers les technologies qui occupent désormais une place importante dans l’activité du voyage, exemple marquant d’un continent connecté au XXIe siècle, et qui fait face aux défis de son développement en mettant le cap sur les nouvelles technologies. Dans des pays comme le Kenya, le Nigéria, le Maroc ou encore le Sénégal, pour be citer que ceux-là, des outils comme internet sont de plus en plus présent et les agences de voyage ont vite digéré les diverses déconvenues technologiques qu’ils ont connues pour s’adapter à la demande avec de nouvelles consignes : souplesse de solutions, personnalisation des offres et développements des solutions. « Nous avons la volonté d'encourager les débats sur les grandes tendances du secteur susceptibles de déterminer l’avenir du voyage en Afrique. C’est un impératif si les acteurs du voyage africains veulent être compétitifs. Le client veut désormais de la souplesse avec des contenus et des outils simples » explique Guillaume PEPIN, Directeur Afrique de l’Ouest de la plateforme jovago.com.Que ce soit pour les réservations d’hôtels, les achats de billets d’avion ou simplement s’informer les voyageurs africains savent qu’ils peuvent désormais avoir accès à de nombreux services via internet ou une simple application mobile installée sur un téléphone portable, preuve de cette avancée les billets d’avion électroniques.
L’évolution de la technologie de l’information a eu un impact considérable sur le marché du voyage et du tourisme, même si on ne peut pas encore faire des comparaisons avec les pays occidentaux, le secteur est néanmoins dans de bonne voies.
Ismaël Kambell