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Voilà presque 60 ans, ou 59 ans plus précisément, qu’un Président de la République Française lance un défi dédaigneux aux peuples d’Afrique occidentale française, à la face de sa jeunesse qui exige la fin de la domination coloniale pour  l’Indépendance nationale.

 Face à cette jeunesse mobilisée,  le 26 Août  1958 à Dakar, porteuse de pancartes, le cri  exaspéré de De gaule de « si vous voulez l’Indépendance, prenez – la,  le 28 Septembre  1958 »,  est devenu ;  ce 28 Novembre 2017 à Ouaga, avec Macro, «  si vous voulez quittez le CFA, faites – le dès demain ! La  décision appartient à vos Chefs d’Etat » !

La date du 17 décembre 1962 demeure une tache sombre dans l’histoire politique du Sénégal. Le lundi 17 décembre 1962, Mamadou Dia fait évacuer l’Assemblée et déploie un cordon de gendarmerie autour du bâtiment. Quatre députés sont arrêtés. Mais la motion est tout de même votée dans l’après-midi du 17 au domicile du président de l’Assemblée, maître Lamine Guèye. Le 18, Mamadou Dia et ses compagnons dont arrêtés par un détachement de paras-commandos. 

«Une campagne prématurée qui creuse le retard dans la construction du pays et la correcte prise en charge des préoccupations des populations». C'est le sentiment des «rewmistes» par rapport à la tournée économique que le président de la République, Macky Sall, a effectuée dans le Nord.


Le Secrétariat national (Sn) de «Rewmi» - qui s'est réuni, avant-hier, sous la présidence de Déthie Fall, Vice-président dudit parti – condamne «la campagne électorale déguisée du président de la République». 

Khalifa Sall s'est rendu avant-hier chez le Khalife général des Layennes, Seydina El Hadji Abdoulaye Thiaw Laye. Il est allé solliciter ses prières, afin que sa liste sorte vainqueur dans toutes les communes de Dakar au terme des élections législatives... Quand au vœu formulé par Khalifa Sall, le Khalife a donné ses assurances. "Mais c'est Dieu qui désigne celui qui sera élu. Et je sais reconnaître ceux-là qui seront élus. Ce qui est cependant sûr, c'est que jamais les perdants de ces élections ne viendront à nous" dira le Khalife. Non 

Le président de la République, Macky Sall séjourne depuis jeudi dernier, 15 mai 2014, en Arabie Saoudite. Et chaque jour que Dieu fait, la télévision nous le montre effectuant des pèlerinages aux lieux saints de l’Islam. Et chaque soir, notre télévision nationale s’invite dans nos salons pour diffuser des images d’un Chef d’Etat montrant sa foi, sa religiosité, sa «musulmanité».

Les affaires privées ne sont pas les affaires d’Etat, il y a là la perpétuation de manières de faire sur lesquelles on était en droit d’attendre une rupture. Si le séjour du chef de l’Etat entre dans ce cadre, il n’y a donc aucun intérêt à mobiliser la télévision nationale, en l’occurrence l’argent du contribuable pour étaler sa ferveur religieuse à la face d‘un Sénégal multiconfessionnel et laïc.

Après les sorties du leader de Rewmi contre Macky Sall et son régi­me, Abdou Mbow porte la réplique. Pour lui, répondre à Idrissa Seck par le mépris, serait «laisser un ancien Premier ministre, qui n’a aucun niveau, continuer à exceller dans la démagogie, le mensonge, la calomnie, les attaques personnelles et la diversion».
La tête de liste majoritaire de Benno bokk yaakaar (Bby) à Thiès-Est estime que le maire de la capitale du rail «par la force des choses, est devenu un leader local car, étant tête de liste majoritaire d’une commune de la capitale du rail au même titre que (lui)». 

DAKARACTU.COM Me Ousmane Ngom a été visiblement comblé de recevoir Abdoulaye Wade à son domicile. Celui là, qui fut son maitre, son école comme il a signalé,  pour l’avoir appris à faire la politique, mais surtout  après avoir payer ses études universitaires à Paris au même tire qu’Idrissa Seck, est venu témoigner de sa reconnaissance et de  son attachement à sa famille. Suffisant pour que Me Ngom retrace les qualités d’hommes multidimensionnels de Wade.  

Au total 27.600 militants issus des 138 coordinations éliront le secrétaire général du Parti socialiste (Ps) lors du prochain congrès du parti, de manière à donner plus de légitimité au futur premier responsable de cette formation politique, a déclaré vendredi, son secrétaire national chargé des élections et des affaires juridiques, Serigne Mbaye Thiam. 

« Avec nos 138 coordinations ayant 200 membres chacune, nous aurons un corps électoral de 27 600 membres qui sont appelés à élire le secrétaire général du Parti socialiste (…) tout militant du Parti socialiste peut se porter candidat », a déclaré M. Thiam, qui donnait un point de presse sur l’organisation du prochain congrès du Parti socialiste, les 6 et 7 juin prochains. L'appel à candidatures pour le poste de Sg sera ouvert dans la période du 9 au 17 mai courant, annonçait mercredi le porte-parole adjoint du Ps, Abdoulaye Wilane.