Par Anthony Nugan le lundi 25 juillet 2016
Catégorie: Web NEWS

Les médias sociaux prennent plus de pouvoir au Cameroun

Que ce soit Facebook, Twitter, Youtube ou encore Instagram et Google +, les médias sociaux sont des outils de communication qui montent en puissance dans les grandes métropoles du pays.

 

Il y a 10 ans voir un peu plus, internet en général était encore à ses véritables débuts et personne n’envisageait cette transformation impressionnante qu’il est devenu aujourd’hui. 

Grâce à une forte avancée technologique et surtout cette mondialisation qui oblige les Etats à s’arrimer à des standards dits internationaux, le web commence à prendre une place importante sur le trône. Plus qu’un simple outil de communication et d’opinion, ce media est devenu une plateforme universelle avec en pole position les réseaux sociaux, une véritable machine de guerre. L’opinion nationale qualifie d’ailleurs ces derniers en terme “d’open space” c’est-à-dire l’endroit où chacun peut s’exprimer librement sans aucune inquiétude, un espace où il n’y a pas d’arbitre ni de gendarme.

 

 

Mis à part cette démocratisation qui permet à chacun de faire entendre ses opinions, les réseaux sociaux sont rapidement devenus un outil de promotion pour les entreprises, qui n’hésitent pas à déborder d’ingéniosité pour conquérir de nouveaux fans. Jumia Travel est l’exemple parfais qui illustre cette place capitale accordée aujourd’hui aux médias sociaux. Avec plus de 200 000 followers sur twitter et 900 000 fans sur facebook, cette plateforme panafricaine de réservation d’hôtels se mobilise au quotidien afin d’attirer le maximum d’admirateurs possible. Les gouvernements ne sont pas reste dans l’utilisation de ces plateformes. Tous les ministères, les délégations et même la présidence de la république ont des comptes inscrits sur ces différents espaces.

 

Les médias sociaux, une machine qui peut nuir !!!!!!

 

Ces plateformes peuvent aider à construire une image de marque, mais peuvent également donner des sueurs froides. Les récentes affaires qui ont secoué le pays peuvent illustrer à suffisance ce dernier propos. L’on se souvient encore de l’affaire Koumatekel qui est parti de Facebook et twitter pour devenir un sujet de société. Des cas comme celui de Koumatekel, il y en a des dizaines. La question c’est de savoir quel peut être l’impact d’une mauvaise utilisation de ces nouveaux médias dans une société en développement comme la nôtre.

 

Les médias sociaux constituent un facteur important si on tient compte du contexte actuel qui nécessite d’accentuer la promotion de notre territoire ; cependant, il nécessite une organisation afin que les masses sachent ce qui est recommandé de faire dessus.

 

Simon Mbelek Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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