Par Anthony Nugan le samedi 1 avril 2017
Catégorie: Web NEWS

Dr Mariella Villasante Cervello, voila une « anthropologue » qui ment.

 

 
Dr Mariella Villasante Cervello, le mensonge a beau être répété ou se faire circuler, il ne se transformera jamais en vérité. Vous avez foutu la honte aux anthropologues du monde entier en exhibant des mensonges publics.  La morale intellectuelle n’était pas au rendez vous, ce n’est pas des articles pompeux, vides de sens ne changeront d’un iota la triste réalité palpable, visible  de loin la continuité de l’esclavage en Mauritanie.
 Décidément, celle qui n’est guère choquée par un crime horrible, décide  de faire sa publicité mensongère de ses recherches chimériques au Sahara.  Le Sahara n’est pas la Mauritanie et vous avez intérêt à parler aux Sahraouis.  Elle veut vendre son livre datant les années 1986, alors elle aurait eu peur qu’on le découvre alors elle prend le devant pour se dénoncer.
 
 
Je cite les grossiers mensonges  Mariella Villasante Cervello: « Je conduis des recherches en anthropologie sociale en Mauritanie depuis 1986, et j’ai eu l’honneur de diriger le premier livre collectif sur le thème des Groupes serviles au Sahara. Approche comparative à partir du cas des arabophones de Mauritanie (CNRS-Éditions, 2000). Depuis lors, je suis de près l’évolution sociale du pays. Dans la Chronique politique 2016, j’ai apporté des précisions sur les « formes extrêmes de dépendance » et sur les faux discours de Biram. Un portrait de Biram Dah Abeid a été publié par le journal Libération le 23 janvier 2017[2], par Célian Macé. Il rapporte une déclaration mensongère de Biram selon laquelle il est « encore courant en Mauritanie d’offrir un homme ou une femme pour une naissance ou un mariage »
 
Cette femme n’a pas honte, elle se prend pour qui ? A-t-elle des preuves d’arrestations d’esclavagistes qui ont fait cesser la vente  ou l’héritage d’esclaves par les esclavagistes sur le territoire Mauritanien ? Je pense qu’elle a plutôt conduit des recherches pour camoufler le crime de l’esclavage, chose qui a conduit la communauté internationale et leurs états à ignorer la vérité. Ceci peut être qualifié de complicité d’un crime contre l’humanité et elle nous le cache plus en décidant de faire l’apologie nihiliste
 
 
Vidéo : Dr Mariella Villasante Cervello, voila une « anthropologue » qui ment.
 
Auteur : Diko Hanoune
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