Appel à éviter toute forme d’instrumentalisation politique ou médiatique de l’affaire Chourabi et Ktari
Tunis, le 16 janvier 2015
Des médias locaux ont diffusé, durant les dernières heures, les déclarations d’un activiste tunisien relatives à «la présence, actuellement, de Sofiène Chourabi et Nadhir Ktari, dans la ville de Benghazi, entre les mains de ravisseurs dépendant des forces du général libyen Hafter, parmi un groupe de détenus… ». La propagation de cette information surgit à un moment délicat, caractérisé par des versions contradictoires sur le devenir des deux confrères et par l’acharnement de l’exploitation de cet événement médiatique et politique.