SENETOILE NEWS
média citoyen libre du Sénégal
Sénégal - Escalade de la violence électorale quand les politiques attisent le feu !
Présidentielle au Sénégal: polémique autour des candidats recalés
SIAMOISES AU SÉNÉGAL: Elles racontent l’histoire de Adja et Sophie
Sénégal - Tuerie de Boffa Bayotte: Dossiers sur le massacre de 14 coupeurs de bois en Casamance
iGFM (Dakar) Macky-Mimi: the end ? (la fin ?) C'est la question que se posent les observateurs de la scène politique nationale. Cela d'autant plus que les rumeurs de l’imminence d’un remaniement ministériel vont à une vitesse "V". Cette fois-ci ce sont nos confrères de l’Observateur qui donnent un avant goût.
La Ligue démocratique (Ld) hausse le ton en direction des Locales. Dans un communiqué, Mamadou Ndoye et ses camarades s’insurgent contre les «comportements hégémoniques» des responsables de l’Alliance pour la République (Apr). Ils jugent, en effet, les «propositions de quota» faites par le parti présidentiel «au niveau local» «déraisonnables et inacceptables pour des partenaires politiques sérieux».
Le Secrétariat permanent (Sep) de la Ld «constate pour le regretter» la «tendance de division» de la majorité présidentielle «au moment où, pour l’essentiel, l’opposition cherche à s’unir». La Ld plaide pour des «listes consensuelles qui tiennent compte des réalités locales et non d’élections nationales qui, dans tous les cas, ne peuvent servir de référence aux élections locales», rappelant que «toutes ces élections ont vu la participation de larges coalitions politiques et ne peuvent, par conséquent, refléter la représentativité locale des partis les constituant».
«Je suis candidat à la victoire de la liste que l’Apr va porter ; je l’ai toujours dit et je le répèterai toujours.» Ce sont les propos qui ont été tenus, le week-end dernier, par Cheikh Tidiane Gadio, président du Conseil surveillance de l’Agence de développement local, coordonnateur de l’Apr Yeumbeul Sud et par ailleurs membre du directoire national de l’Apr.
Ainsi, au cours d’un rassemblement dans la commune d’arrondissement de Yeumbeul Sud en présence de tous les responsables et militants du département, M. Gadio a fait le bilan des deux années de gouvernance du chef de l’Etat.
L'OBS - L’homme est sorti de son cabinet, en publiant une tribune dans certains journaux, intitulée : «Il nous l’avait promis, il ne l’a pas fait». Une façon de parodier et de clasher le document de Mimi Touré : «On l’avait promis, on l’a fait.» Lansana Gagny Sakho, professeur associé au Centre africain d’études supérieures en gestion (Cesag), directeur du cabinet de conseil Expert-visions, l’homme, qui a fait des piges dans des multinationales comme Coca-Cola, Philip Moris…) touche du doigt à travers son métier ce qui se fait de mieux dans le monde en matière de développement en Afrique. Il va plus loin que sa tribune, en démontant le Pse,…sans concession.
Pour ‘’l’Observateur’’, la durée de vie de la relation entre Macky Sall et son Premier ministre, Mimi Touré, ne se compte que par les doigts de la main. Et qu’il ne serait qu’une question de jours, de semaines pour que cela éclate.
Rien ne va plus entre le président de la République, Macky Sall, et son Premier ministre, Mimi Touré, aujourd’hui, le malaise est tellement profond entre les deux que les ministres ne savent plus de quoi demain sera fait.
Mes chers compatriotes, Demain, 4 avril 2014, notre pays célèbre le 54e
anniversaire de son indépendance.
J'adresse à chacun de vous mes chaleureuses félicitations en ces moments de joie et de fierté pour notre liberté retrouvée.
Cette année, la fête nationale renoue avec le défilé civil et militaire, que je présiderai à la Place de l'Obélisque.
La Namibie, à travers le Président IFIKEPUNUYE POHAMBA que j'ai accueilli cet après midi, est notre invitée d'honneur.
Nous raffermissons ainsi une solidarité historique qui lie nos deux peuples.
La régulation, celle des moyens audiovisuels en particulier, est un exercice relativement nouveau en Afrique et elle est souvent incomprise, quand elle ne prête pas à de nombreuses critiques plus ou moins justifiées. Pour certains, et notamment pour les producteurs audiovisuels, elle est, par son essence même, une ingérence dans la liberté d’expression. Pour d’autres, elle parait dépassée à l’heure du numérique. D’autres, enfin, et c’est classique lorsqu’il s’agit d’innovations institutionnelles, invoquent le gaspillage que représenterait la prise en charge de ses agents…
DAKARACTU.COM Cette révélation est du quotidien ‘’l'Observateur’’. Selon nos confrères, rien ne va plus entre le président de la République, Macky Sall, et son Premier ministre, Mimi Touré. Le journal indique qu’aujourd'hui, le malaise est tellement profond entre les deux que les ministres ne savent plus de quoi demain sera fait. On fait gaffe de ne pas se montrer, de rester droit dans ses bottes pour ne pas plaire trop à l’un au risque de déplaire à l’autre. Pendant ce temps-là, en haut lieu, l’on s’épie, l’on calcule ses sorties, on avance des pions comme sur une table d’échecs espérant que « l’adversaire » d’en face joue de malchance pour le mater.
L'OBS - Le président de la République a promis une gouvernance «sobre et vertueuse» aux Sénégalais, mais il y a une différence entre son discours et les actes qu’il pose. La preuve, Macky Sall a béni beaucoup de pratiques pourtant bannies durant le règne de Me Abdoulaye Wade.
Dans le discours, on sent un véritable homme d’Etat. Un président de la République qui est soucieux de la préservation de certaines valeurs qui font un Etat.
Mais, entre le discours et les actes, il y a un grand fossé. Macky Sall fait souvent le contraire de ce qu’il prône. Candidat à la Présidentielle de 2012, Macky Sall avait promis aux Sénégalais une gouvernance «sobre et vertueuse». Aussi, le candidat Macky Sall avait promis une «rupture» dans la façon de gérer le pays. Un discours qu’il continue d’ailleurs de chanter à tout bout de champ. Seulement, le discours de Macky Sall diffère des actes qu’il pose au quotidien depuis qu’il est à la tête du pays.
L’Alliance pour la République (Apr) s’offre l’ancien ministre de la Famille et de la Solidarité nationale. Jointe hier, Awa Ndiaye dit, au bout du fil : «Je confirme.» Ce, «après une audience» avec le chef de l’Etat, précise-t-elle. Le président de la République recrute ainsi celle qui avait affiché son appartenance à la Génération du concret de Karim Wade. Mais aussi celle qui avait déclaré à Washington qu’une fois réélu, Wade passerait le témoin à son fils. Macky Sall offre donc un «refuge» à Awa Ndiaye dont le dossier est le plus célèbre de tous ceux qui ont été publiés par l’Armp, de part ses casseroles pour ne pas dire ses cuillères sous l’ère Abdoulaye Wade.
Retour aux reproches de l’Armp
