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Ven, Mai
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 En conférence de presse hier, mercredi 23 janvier, les femmes khalifistes ont exigé la libération sans délais des jeunes partisans de Khalifa Ababacar Sall arrêtés dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 janvier dernier par la Division des investigations criminelles (Dic)

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Le Conseil constitutionnel a arrêté la liste définitive des candidats retenus pour la présidentielle du 24 février 2019 sans Khalifa Sall et Karim Wade, respectivement de "Taxawu Senegaal" et du Parti démocratique sénégalais (Pds). Toutefois, selon des analystes politiques, ces leaders gardent leur chance de pouvoir briguer les suffrages des Sénégalais lors des joutes électorales de 2024.

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Khalifa Sall n'abdique pas! Le candidat de la coalition "Taxawu Sénégal", recalé de la course pour la présidentielle du 24 février 2019, a porté plainte contre l'État du Sénégal à la Cour de justice de la CEDEAO. C'est Me Ciré Clédor Ly, membre de son pool d'avocats, qui l'a fait savoir à Seneweb.

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Malgré la confirmation de sa condamnation par la Cour suprême, Khalifa Sall reste électeur et éligible à la présidentielle de février 2019. C’est la conviction de Moussa Tine, leader de l’Alliance Penco et allié de la « Taxawu Senegaal » qui porte la candidature de Khalifa Sall. 

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Rejetant la requête formulée par Khalifa Sall, qui a axé sa ligne de défense sur le caractère suspensif du rabat d'arrêt, le Conseil constitutionnel a brandi des arguments quant à l'interprétation faite sur la définition de cette notion.

"S'il est avéré que le rabat d'arrêt peut être formé contre l'arrêt de la Cour suprême, il ne peut pas être assimilable à un deuxième pourvoi en cassation qui aurait pour objet d'amener les chambres réunies, compétentes pour en connaitre, à exercer un contrôle normatif ou disciplinaire sur l'arrêt rendu par l'une des chambres de la Cour suprême, qu'il suffit, pour s'en convaincre, de se référer aux dispositions de la loi organique n°2017-09 précitée, qu'il résulte des articles 52 et suivants de cette loi que le rabat d'arrêt ne peut être introduit que si le requérant fait état d'une erreur de procédure qui ne lui est pas imputable et qui a une incidence sur la solution du litige", rétorquent, d'emblée, le Conseil constitutionnel à Khalifa Sall.

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 L’ancien maire de Dakar et candidat à la présidentielle de « Taxawu Senegaal ak Khalifa Sall » a officiellement déposé auprès du Conseil Constitutionnel hier, mardi 15 janvier, une requête contre l’invalidation de sa candidature. Dans un document de plusieurs pages portant réclamation auprès des juges constitutionnels et déposé par son mandataire Babacar Thioye Bâ, au niveau du greffe de l’institution dirigée par Pape Abdou Sakho, Khalifa Sall a battu en brèche les différents arguments brandis pour rejeter sa candidature.

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 Année pré-présidentielle dans ses moindres contours, devant consacrer la dernière pige septennat de Macky Sall, 2018 a été marquée par deux faits majeurs qui ont cristallisé la scène politique, en suscitant passion et opposition frontale entre acteurs. Il s’agit notamment de la loi sur le parrainage et du procès de Khalifa Sall, expédié en deux temps-trois mouvements entre la Chambre correctionnelle et la Cour d’appel.

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Cheikh Bamba Dièye, le leader de Fsd/Bj, est formel : l’opposition fera face en cas d’invalidation de la candidature de Khalifa Sall par le Conseil constitutionnel. Invité de l’émission Grand jury de la Rfm hier, dimanche 20 janvier 2019, l’ancien ministre de la Communication a relevé en outre que le Président Macky Sall e

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Macky Sall se prépare aussi à la bataille. Candidat à sa propre succession, le président de la République a commis un pool d’avocats pour récuser, éventuellement, les candidatures de Khalifa Sall et de Karim Wade si jamais elles sont validées par le Conseil constitutionnel. 

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Le président de la Cour d’appel de Dakar a suspendu hier, mercredi 11 juillet, les audiences du procès en appel dans le cadre de l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire Khalifa Sall pour une semaine, le temps d’une réflexion avant de donner sa décision sur la demande de libération immédiate du maire de Dakar.

 Le président de la Cour d’appel de Dakar a finalement fléchi. Après avoir refusé depuis le début de ce procès en appel, la demande de suspension des débats le temps de permettre aux avocats de la défense de produire à la Cour l’arrêt rendu par la Cour de justice de la Cedeao en faveur de leurs clients et au détriment de l’Etat du Sénégal le 29 juin dernier, le président Demba Kandji a décrété une semaine de suspension des audiences.

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