Usage de stupéfiants et fausses monnaies sont les infractions les répandues parmi les migrants. Les faux billets de banque sont l’apanage des Nigérians et Maliens ; tandis que la fabrication d’alcool frelaté, dit soum-soum ressort des Ghanéens.
Les autres communautés ne sont pas épargnées par la délinquance, elle y est seulement plus diversifiée. Quarante-trois sénégalais sont ainsi détenus à la prison civile de Nouakchott, pour vol, viol ou drogue. Les peines varient de trois à cinq ans.