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Sam, Avr
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Défense de la démocratie : Les intellectuels d’Afrique invités à s’impliquer davantage dans la politique

L’avocat sénégalais Ousmane Sèye, leader d’un mouvement politique, a appelé samedi à une massive implication des intellectuels africains dans la politique. Me Sèye se prononçait à l’occasion de la conférence de lancement du Réseau pour la Défense de la Démocratie en Afrique (Raddp).

Me Ousmane Sèye qui faisait samedi une intervention axée sur « une Afrique démocratique dans laquelle les citoyens ont un réel pouvoir » en appelle à une implication plus conséquente des intellectuels africains dans la gestion des affaires de la cité. Selon lui,  « il est nécessaire que les intellectuels militent dans des partis politiques et prennent l’initiative de descendre sur le terrain, d’aller au fin fond des contrées afin d’identifier les réelles préoccupations des populations ».

Le préfet de Dakar autorise puis annule leur marche : 3 «karimistes» arrêtés

<p style=16 heures à la place de l’Obélisque. Le très redouté «Dragon noir» à la carrosserie criblée d’impacts de pierres dicte sa loi sur une place morne. Pas de manifestants en vue ! Les hommes aux uniformes bleus et aux bérets rouges ont assiégé les lieux où les «Karimistes» s’étaient donnés rendez-vous pour exprimer leur colère et réclamer la libération «sans condition» du leader de la «Génération du concret», qui croupit en prison depuis bientôt un an pour enrichissement illicite présumé à hauteur de 700 milliards de francs Cfa. 
En ce moment où l’arrêt rendu par la Cour suprême sur le recours des avocats de M. Wade et relatif à la constitutionnalité ou non de la Crei donne un brin d’espoir aux partisans de Karim Wade qui cherchent à durcir le ton sur le terrain, l’Etat ne fléchit pas. 

Amadou Bâ, ministre de l’Economie et des Finances : « Transformer nos atouts démocratiques en force économique »

Dans un contexte marqué par une raréfaction des ressources et un faible taux d’employabilité, l’accroissement rapide de la population constitue un défi majeur pour le Sénégal par rapport à l’amélioration du capital humain et du relèvement du niveau de vie.

L’Etat face au défi de l’accroissement démographique

Le taux de croissance démographique est actuellement évalué à 2,7 % ; près de deux Sénégalais sur trois sont âgés de moins de 25 ans et l’espérance de vie à la naissance est de 59 ans. A ce rythme, la population double quasiment à chaque quart de siècle. Certes, une augmentation des investissements est susceptible de générer une croissance économique, mais cette dernière ne peut se pérenniser que grâce à la promotion significative du capital humain et à une réduction du nombre de personnes à charge pour un individu actif.

Résultats CNRI: entre Macky Sall et le peuple Sénégalais qui doit choisir ce qu'il faut prendre?

Il est inadmissible qu' à chaque fois que des réflexions se fassent pour une meilleure orientation des politiques publiques, nos gouvernants s'arrangent toujours pour mettre les résultats dans des tiroirs. Par conséquent nous assistons à une perte de temps, d'énergie et de l'argent du contribuable Sénégalais d'une part et d'autre part c'est une tricherie de nos gouvernants envers les bailleurs de fonds car les séminaires, les fora et ateliers qui sont organisés, produisent des documents qui finissent toujours par dormir dans les tiroirs de l'Etat. Nous pouvons citer plusieurs exemples:

- Les Etats généraux de l´éducation

- Le Forum mondial sur l'éducation tenu à Dakar sous Wade

- Les différents Rapports du DSRP(Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté)

- Le Rapport général et la charte de bonne gouvernance des ASSISES NATIONALES

Sénégal le pouvoir du vagin  - Marème Faye Sall, la vraie Présidente de la République

Sénégal le pouvoir du vagin - Marème Faye Sall, la vraie Présidente de la République

Sénégal : Marème Faye Sall, la vraie Présidente de la République

 Lu pour vous sur dakaractu

Qui est plus influent que le Président de la République au Sénégal ? Cette question mérite d’être posée, tant l’influence de la première dame, Marème Faye Sall est devenue inquiétante au point que les chancelleries étrangères font régulièrement des notes sur son implication dans les affaires de la République. Il semble même que derrière les attaques contre le Premier ministre, il faut voir la main de Marème Faye Sall.

RÉUNIFICATION DE L’APR A LOUGA - Injures, coups de poing, bombe asphyxiante animent la réunion

REUNIFICATION DE L’APR A LOUGA - Injures, coups de poing, bombe asphyxiante… animent la réunion

L'OBS - Les responsables «apéristes» de Louga ont démontré, samedi, qu’ils peuvent bien se battre sur tous les terrains. Marième Badiane, la  mandataire de l’Apr qui était dans le département pour réunifier un parti en lambeaux, a assisté à un concert d’injures et de coups de poing.

Mérième Badiane, la commissaire politique de l’Alliance pour la République (Apr) mandatée à Louga pour réunifier le parti présidentiel, n’oubliera pas de sitôt la folle journée qu’elle a passée samedi dernier dans la capitale du Ndiambour. La responsable des femmes de l’Apr, accompagnée d’une forte délégation, a convié tous les responsables du département de Louga à cette rencontre, qui s’est tenue dans l’enceinte du Palais Djily Mbaye. La mandataire, comme pour sensibiliser ses camarades de parti, a d’emblée annoncé que «c’est (elle-même) qui a choisi de venir à Louga, la ville où est née (sa) mère».

Evaluation des avoirs de l’ancien directeur du cadastre Les rapports des experts déposés sur la table de la CI de la CREI

DAKARACTU.COM Le doute qui persistait sur les avoirs de Tahibou Ndiaye est maintenant écarté. La Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) qui avait décidé d’arbitrer entre le Procureur prés la CREAI et l’ancien Directeur du cadastre sur les biens de ce dernier dispose maintenant des résultats. Selon « l’As », les rapports d’expertise sont désormais déposés sur la table du Président de la CI. Sauf contestation de part et d’autre, ajoute le journal, chacun est maintenant édifié. Pour rappel le parquet spécial, sur la première mise en demeure, avait évalué les avoirs de l’ancien patron du cadastre à 7,5 milliards de nos francs. 

MACKY SALL AUX INVESTISSEURS « Refusez de payer des pots de vin »

En montant au front dans la mobilisation des ressources pour financer le Pse, le Président Macky Sall n’y est pas allé de main morte. S’adressant aux nombreux investisseurs qui se sont donnés rendez-vous ce mardi dans les salons de la prestigieuse Chambre de Commerce de Paris, dans le cadre du Groupe consultatif pour le Sénégal qui s’est achevé la veille avec succès dans la capitale française, il leur a demandé tout de go de « refuser de payer quelque pot de vin que ce soit pour obtenir quelque avantage » au niveau de l’administration sénégalaise.

DAKAR-OPÉRATION DE SÉCURISATION DES PERSONNES EST DE LEURS BIENS Le Commissaire principal Abdoulaye Diop marque son territoire

Le Commissaire principal Abdoulaye Diop, nouvellement installé est en train de marquer son territoire. Avec l'appui du Service régional de sécurité publique de Dakar, une opération de sécurisation  des personnes est de leurs biens menée le week-end dans la capitale sénégalaise a permis de mettre la mains sur 341 individus parmi lesquels 14 étrangers pour divers délits pour divers délits. Aussi, 104 voitures ont été mises en fourrière dont 44 scooters et 60 véhicules. L'opération a permis, une entrée de fonds évalués à 404 500 F CFA (d'amendes forfaitaires) dans les caisses du trésor public.

Affaire Oumar Sankharé Moustapha Niasse s’engage à prendre en charge une partie de la créance

DAKARACTU.COM- La correspondance du député du peuple Iba Der Thiam pour aider le Professeur Oumar Sangaré à éponger une créance de 21 950,55 euros qu'il doit à l’Hôpital de Marseille, a trouvé un écho favorable auprès de Moustapha Niasse. Le leader de l'AFP s’est engagé à prendre en charge une partie de la somme due. Dans une correspondance datée du 12 février 2014, Niasse s’est dit disposé à apporter son soutien au premier Sénégalais, agrégé en Lettres et en Grammaire, en prenant en charge une partie du montant qui lui est réclamé. 

Révision du Code électoral : La mouvance présidentielle demande à l’opposition de reprendre les travaux

En conférence de presse hier, les représentants du pôle de la majorité à la Commission technique de revue du Code électoral ont appelé l’opposition et ses alliés à réintégrer ladite commission. Ces derniers ont boudé les travaux suite à un désaccord sur la clé de répartition des conseillers aux élections locales

Depuis trois semaines, les travaux de la Commission technique chargée de la revue du Code électoral sont bloqués suite à l’impossibilité pour les pôles de la majorité, de l’opposition et des non-affiliés et non-coalisés de s’entendre sur la clé de répartition des conseillers aux élections locales. 

DIFFICULTÉS DE STRUCTURATION DE L’APR : Ces chapes qui «plombent» la case de Macky

Les difficultés de structuration de l’Apr sont liées à sa « macrocéphalie ». Telle est la conviction du docteur Alioune Diop, membre des cadres républicains et responsable à la commune  de Rufisque-Est. Pour lui, le parti s’est massifié en sens inverse du fonctionnement  des formations  politiques avec une pléthore de responsables au sommet alors que la structuration à la base n’est pas achevée.

 

En marge d’une  réunion de contact dans la commune  d’arrondissement  de Rufisque-Est, le docteur Alioune Diop, membre de la Convergence des cadres républicains du département  et responsable dans la dite localité est revenu sur les soubresauts qui traversent  sa formation politique  dans le département et à l’échelle nationale. Le responsable y voit l’expression d’une inversion de la démarche d’organisation normale, avec un escalier de la base au sommet. Pour lui, l’Apr s’est massifiée par le sommet alors que la base reste peu structurée, comme à l’image d’une « pyramide inversée ». 

Régime simplifié pour les petits contribuables : La protection sociale étendue aux acteurs du milieu informel

Le ministre de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles, Man­sour Sy, et les représentants des travailleurs  et des employés du Sénégal ont longuement réfléchi sur le régime simplifié du petit contribuable. En compagnie du Bureau international du travail (Bit) et du Comité national du dialogue social (Cnds), ces acteurs pensent que ce projet de régime simplifié pour les petits contribuables apparaît comme une initiative phare pour l’extension de la protection sociale aux acteurs de l’économie informelle.

« Les droits-de-l’hommistes n’ont pas à apprécié le travail de la justice »: Alioune Tine répondra-t-il à la gifle de Macky?

Alioune-Tine

 

La Rencontre africaine de défense des droits de l’homme (Raddho) d’Alioune Tine (il s’agit toujours de son organisation même s’il n’est plus à sa tête) se braque depuis quelque temps contre le régime de Macky et réclame la sortie de prison du fils de Wade. Cette organisation va plus loin et parle d’acharnement contre un challenger politique puisque la justice n’arrive toujours pas à trouver quelque chose contre lui, toutes les accusations du Procureur spécial à son encontre étant tombées comme un château de cartes.

Plan Sénégal émergent : Un objectif de 17 tonnes d’or à l’horizon 2020

Mayacine cCmara, coordonnateur de l’unité de suivi et de coordination de la politique économique : « Les acteurs de la mise en œuvre du Pse doivent être aux aguets et réagir face aux contraintes »
Coordonnateur de l’Unité de suivi et de coordination de la politique économique, Mayacine Camara assure que la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent se fera avec un suivi régulier. Le déroulement de cette stratégie de développement doit être conforme à ce qui a été planifié, de même que ses acteurs devront réagir à temps face aux contraintes éventuelles.
Comment se fera le suivi régulier de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent ?

Détournement présumé à l’Adie : Khassimou Wone en appelle à l’Ofnac

Gérer l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie) n’est manifestement pas un long fleuve tranquille et ce n’est pas son actuel directeur général qui dira le contraire. Khassoum Wone, qui est accusé d’entretenir un compte bancaire, riche de 2 milliards de francs Cfa à Dubaï et d’avoir «offert» un marché de 250 millions de francs à un de ses amis, dans le cadre de l’audit physique et biométrique de la Fonction publique, s’en offusque, mais a décidé de porter plainte via ses avocats. Seulement, ces affaires qui, selon lui, sont une cabale, lui ont permis de révéler qu’en réalité, ses tiroirs sont remplis de dossiers lourds à milliards, de l’œuvre de «forces obscures» tapies dans l’ombre et qui, à défaut de lui faire «signer» des documents, le «mettent en mal» avec les Sénégalais. 

SCANDALE DIPLOMATIE : Mankeur Ndiaye offre la tête d’un diplomate à un ami

DAKARACTU.COM - Mankeur Ndiaye refait encore parler de lui en France. Visiblement sa nomination comme Ministre des affaires étrangères ne l’empêche pas de gérer personnellement l’ambassade du Sénégal à Paris. 

Après avoir relevé il y a quelques mois Mme Genevieve Manel de son poste de Chef de la Division des ressources humaines lors de la fronde des diplomates de carrière. Une autre tête vient d’être coupée par le sieur Ndiaye. Cette fois en France.

Mais si l’on en croit nos sources bien introduites au sein du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, il s’agit d’un scandale qui concerne encore notre diplomatie et dont Mankeur est au cœur.

M. Papa Omar Diatta, Diplomate de carrière, Premier secrétaire à l’ambassade du Sénégal à Paris et chef du Protocole de la Chancellerie vient d’être relevé par le Ministre des Affaires étrangères. Il a été muté à Abidjan.  

S’il est normal qu’un fonctionnaire puisse être muté par nécessité de service par son autorité de tutelle, le cas de M. Diatta ressemble à  un scandale d’Etat.

Défense de l’Avant-projet de la Constitution : Me Aïssata Tall Sall enfile sa robe pour Mbow, le peuple des Assises aphone

En marge d’une cérémonie de remise d’une enveloppe d’aide financière aux étudiants de Podor à l’Ucad, Me Aïssata Tall Sall a enfilé sa robe d’avocate pour défendre la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) qui a essuyé une flopée de critiques depuis qu’elle a déposé son rapport.

Assaillie par une vague de critiques, la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) a maintenant une avocate pour plaider sa cause. Me Aïssata Tall Sall a enfilé sa «robe noire» pour voler à son secours et mettre fin à «un procès en sorcellerie contre Amadou Makhtar Mbow et les membres de la Cnri». 

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