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04
Sam, Mai
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La forme de la République du Sénégal a toujours été laïque, démocratique et sociale de 1959 à nos jours

Cette forme de République n’a jamais gêné aucun vrai croyant dans sa pratique religieuse, ou entaché sa foi en Dieu, en quoi que ce soit. Et pourtant, nos grands érudits et marabouts incontestés, qui ont répandu largement l’islam et l’ont consolidé  dans notre pays, avaient bien vécu dans cette forme de République, sans aucun problème. Mais, eux, justement, ne s’occupaient alors, que de leur foi en Dieu, d’attirer le plus possible un grand nombre de fidèles vers l’islam, en un mot ils se consacraient entièrement à porter plus haut l’islam. Ils ne se préoccupaient point de politique, des luxes de ce bas monde, comme  le font actuellement certains religieux, très portés vers l’argent et le luxe. 

Entretien avec l’ancien ministre : Abdou Aziz Mbaye à la culture de la Provoc' - Sur Abdoul Mbaye : «Purux dou guerem niamou daaw!» - «Idrissa Seck diangoul, amoul métier»

élaissant ses fonctions à la Commission européenne le temps de la campagne électorale référendaire pour soutenir le camp du Oui, l’ancien homme politique sénégalais revient dans cet entretien avec Le Quotidien sur ce qui l’a frappé depuis son départ du gouvernement et du Sénégal. Et donne quelques coups en passant.

M. Abdou Aziz Mbaye, on ne vous a plus entendu depuis votre sortie du gouvernement. Que devenez-vous ?

Pour son « Non » au référendum, Gadio perd le Forum Paix et Sécurité

Jusque-là cheville ouvrière du Forum Paix et Sécurité, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, s’est vu arracher le « maroquin ». En français facile, Gadio est écarté de l’organisation de la 3ème édition du Forum. Le pouvoir semble lui faire payer au prix fort « son ingratitude ». Le patron Mpcl/Luy jot jotna s’est, en effet, positionné avec fracas pour le « Non » au référendum du 20 mars prochain. 

GRAVES ACCUSATIONS CONTRE ALIOU SALL : Birahim Seck a-t-il enclenché sa parade ?

A la suite de ses graves accusations contre le maire de Guédiawaye tenues dans la salle de conférence de la mairie de Touba le 13 février dernier, soupçonnant ce dernier  de préparer des blanchiments d'argent avec notamment la mise en place de la banque en Dakar qui coïncide curieusement avec la découverte au Sénégal de gisements de gaz et de pétrole, Birahim Seck semble se trouver une parade.  
Le membre du Forum Civil qui a reçu une interpellation sommaire datée du 19 février 2016, amortit le degré de sa responsabilité. Il aurait juste repris la presse, s'est-il empressé de dire non sans mentionner ( courageusement ) qu'il maintenait  la totalité de ses déclarations. 

Aliou Sall attaque Malick Gackou : "Que les populations sachent que l'argent du Grand parti est sale, ça provient de pratiques amorales"

En meeting, ce week-end, dans son fief, Aliou Sall n'a pas manqué de répondre aux accusations d'achat de consciences qui auraient amené certains responsables de parti, comme le Pds et Rewmi, à adhérer au Oui. Des allégations qui ont eu le don de sortir le maire de la ville de Guédiawaye de ses gonds. "Une bouche sanguinolente ne saurait dire de bien. Les achats de consciences sont l'oeuvre du leader d'un parti aux couleurs qui prêtent à équivoque et qui, avec des mallettes bourrées d'argent, essaie de réduire les potentiels électeurs à leur plus simple expression.

Le reniement de Saint Macky ( El Hadji Malick Sall)

Pauvres sénégalais. Encore et toujours bernés. Hier Wade, aujourd’hui Macky. D’une forfaiture, l’autre. A la fourberie de l’un succède celle de l’autre. La continuité y gagne, non la rupture. 
Quelques idéalistes, ceux qui n’ont pas le sens tragique de l’Histoire, s’étaient, en 2012, réjouis de l’engagement de Macky Sall à réduire son mandat. Ils saluaient alors la promesse de l’aube et l’émergence d’un printemps démocratique. Mais les récents évènements leur donnent tort : le président ne respectera finalement pas son engagement et son mandat ne sera donc pas réduit. 
L’aube est une nuit ; le printemps une ère glacière… 

Bras de fer avec la Direction Générale - Le rédacteur en chef de Walfquotidien et son adjoint affectés

Sidy Lamine Niass, le Président directeur général de Wal Fadjri, a décidé d’utiliser la manière forte dans le bras de fer qui l’oppose aux journalistes Ibrahima Anne et Mbagnick Ngom, respectivement Rédacteur en chef et Rédacteur en chef adjoint du quotidien précité. Les deux responsables de la rédaction de Walf Quotidien ont été retirés de la rédaction centrale avant d’être affectés dans les régions. 

EXCLUSIF / MOR N’GOM OUVRE LE FEU : « Que toute l’Europe accepte la plainte de Karim… Idrissa Seck pense qu’il est le plus beau… Il y a des homosexuels dans l’opposition! »

Monsieur le ministre, le référendum est là, quel est votre plan ? 

Je ne vous le dévoilerai pas. Mais sachez que chez nous, à l’image du Président Macky Sall, c’est la politique de développement qui est optée au détriment de la politique politicienne. Je crois que le référendum est quelque chose d’extraordinaire. Il faut que les Sénégalais sachent que ce n’est pas une élection qui met aux prises deux adversaires politiques. C’est un rendez-vous d’un homme avec son peuple, mais aussi le rendez-vous d’un peuple avec lui-même ou mieux d’un peuple avec sa constitution. Déjà, en 2013 ou même avant, dans le Yoonu Yokkuté, le Président de la République avait donné l’amorce de certains points contenus dans cette réforme constitutionnelle. 

Sénégal - Controverse autour de l’interprétation de l’avis du Conseil constitutionnel : Les juristes recadrent Macky Sall et les 5 sages

Controverse autour de l’interprétation de l’avis du Conseil constitutionnel : Les juristes recadrent Macky Sall et les 5 sages

Depuis que le Conseil constitutionnel a rendu son avis au chef de l’Etat sur la réduction de son mandat en cours de 7 à 5 ans, le débat juridique ne s’estompe pas. Les avis des professionnels du Droit diffèrent essentiellement, laissant s’installer un malaise au sein de la grande famille judiciaire. Aujourd’hui, un groupe de 45 professeurs de Droit et de Science politique s’invite dans le débat et produit un manifeste pour dire « son » Droit sur la question.

D'un crash politico-judiciaire vers un référendum piégé !!!

Le Conseil Constitutionnel a rendu un avis (décision ?) vraiment problématique qui, très vraisemblablement, entamera la crédibilité morale du Président Macky SALL - et dont les conséquences politiques sont incalculables. Ce que l’on ne peut pas ne pas reprocher au Président, c’est d’avoir longé le pays dans des débats stériles ; son erreur tient au fait d’avoir fait de cette réduction du mandat une affaire personnelle, alors qu’elle concerne toute la classe politique et la société civile dans toutes ses composantes (intellectuels, religieux, etc.) ; oui, il devait dès le début de son magistère, entamer les concertations sur tous les points. Malheureusement, il a toujours voulu être le maître absolu du jeu, usant et abusant de son pouvoir, tant dans son parti que dans la coalition qui le soutient, et rusant pour réduire l’opposition à sa plus simple expression (traque sélective des biens supposés mal acquis, apologie de la transhumance, etc.). Indéniablement, il y’a eu une manoeuvre politicienne perfide et tout laisse croire que la rançon sera payée à plus ou moins long terme (effet boomerang) - Il ne pourrait pas en être autrement, car ‘’la manoeuvre perfide n’enveloppe que ses propres auteurs’’ (Cor. 35 : 43 - Le Créateur - Fâthir), comme le dit aussi un adage Wolof.