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Dim, Avr
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D'un crash politico-judiciaire vers un référendum piégé !!!

Le Conseil Constitutionnel a rendu un avis (décision ?) vraiment problématique qui, très vraisemblablement, entamera la crédibilité morale du Président Macky SALL - et dont les conséquences politiques sont incalculables. Ce que l’on ne peut pas ne pas reprocher au Président, c’est d’avoir longé le pays dans des débats stériles ; son erreur tient au fait d’avoir fait de cette réduction du mandat une affaire personnelle, alors qu’elle concerne toute la classe politique et la société civile dans toutes ses composantes (intellectuels, religieux, etc.) ; oui, il devait dès le début de son magistère, entamer les concertations sur tous les points. Malheureusement, il a toujours voulu être le maître absolu du jeu, usant et abusant de son pouvoir, tant dans son parti que dans la coalition qui le soutient, et rusant pour réduire l’opposition à sa plus simple expression (traque sélective des biens supposés mal acquis, apologie de la transhumance, etc.). Indéniablement, il y’a eu une manoeuvre politicienne perfide et tout laisse croire que la rançon sera payée à plus ou moins long terme (effet boomerang) - Il ne pourrait pas en être autrement, car ‘’la manoeuvre perfide n’enveloppe que ses propres auteurs’’ (Cor. 35 : 43 - Le Créateur - Fâthir), comme le dit aussi un adage Wolof.

MOUSSA TINE : « Le Conseil avait décliné sa saisine pour une question similaire en 2004... Pour Ismaïla Madior, l’avis des 5 Sages ne lie pas le Président »

Moussa Tine ne sait pas s’il va voter Oui ou Non à l’occasion du prochain référendum. En fait, il n’est pas encore convaincu de la pertinence des points contenus dans le projet de révision constitutionnelle, mais reste certain que le Chef de l’Etat aurait mieux fait de passer par la voie parlementaire pour apporter les modifications souhaitées. « On pouvait passer par la voie parlementaire. Il y a un article qui est spécialement dédié à la révision de la Constitution. C’est l’article 103. Dans cet article, il n'y a pas un avis à demander au Conseil Constitutionnel… »  
L’invité du Grand Jury de regretter la reculade du Président Sall. « Je suis pour la réduction du mandat » non sans oublier de marteler son scepticisme quant à la pertinence du référendum. « Je ne suis pas sûr de l’opportunité d’aller vers un référendum. Je suis pas convaincu de la pertinence des points contenus dans le projet de révision constitutionnelle », dira notamment le Président de l’Alliance Démocratique PENCOO. 

L'ancien ministre Thierno Lo écrit à Macky Sall : "Avant votre déclaration de ce soir, merci de noter ma position Monsieur le Président"

17 Heures, heure de Dakar je me permets de donner mon avis à mon ami et Président Monsieur Maky Sall avec qui, mon parti l'Alliance pour la Paix et le Développement est en alliance. 
Monsieur le Président, je ne sais pas ce que vous allez dire à nos compatriotes à 20 h,mais je voudrais si ce n'est trop tard, vous demander de respecter scrupuleusement la décision du Conseil Constitutionnel quelle qu'elle soit car c'est ce qui est conforme à votre serment qui renferme en son sein le respect des Institutions qui sont le socle sur lequel repose notre République. 
Je me sens à l'aise pour vous notifier cette position car conforme à mes positions de 2012 quand je demandais à l'opposition en 2012 de respecter la décision des 5 sages à qui il revenait le droit de validation des candidatures à l'élection Présidentielle. 

Présidentielle-L’État se Localise - Dakar, maire des batailles capitales

KHALIFA SALL et Diène Farba Sarr ont fini leurs plaidoiries par presse interposée après une conférence de presse (mercredi) et un regroupement populaire dans l'enceinte même de la mairie, jeudi. Tous deux ont réaffirmé leur volonté de réaménager la Place de l'Indépendance, l'un à 300 millions pour lutter contre l'encombrement humain et la réfection du tapis herbacé (ministère), l'autre pour réaliser enfin, avec cinq milliards, le vieux rêve nourri par la quasi-totalité des édiles de Dakar d'aménager un parking sur l'ex-place Protêt. "Place" maintenant aux négociations en coulisses quand l'État, craignant un débordement, avait bunkérisé l'endroit aux premières heures de la matinée de jeudi.

Référendum du 20 mars 2016 : Cheikh Tidiane Gadio corrige Macky Sall et exige le report ( Vidéo)

Au terme d’une rencontre de concertation de deux jours des cadres du MPCL à Saint-Louis, la formation du Dr Cheikh Tidjane GADIO a réagit sur la situation du pays. Dans « la déclaration de Saint-Louis », produite au terme du conclave, GADIO et ses camarades se désolent du reniement du président Macky SALL sur sa volonté première de faire un mandat de 5 ans. 

Youssou Touré s’interroge sur l’origine de la fortune de Malick Gackou

Youssou Touré s’interroge sur l’origine de la fortune de Malick Gackou
Youssou Touré s’est interrogé sur la fortune de Malick Gackou. Sans le citer, le secrétaire d’État en charge de l’Alphabétisation souhaite qu’une enquête soit faite sur l’origine de la richesse du président du Grand Parti. Pour M. Touré, il est très facile de se targuer de "consultant" pour dire qu’on travaille. 

Sénégal - Absence de dialogue au plan politique et social la raddho se propose d’organiser un débat national

  La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) peint un tableau sombre du climat politique et social au Sénégal. Dans un communiqué parvenu à Sud Quotidien hier, vendredi 29 janvier, Aboubacry Mbodj, coordonnateur de la Raddho et compagnie attribuent la détérioration du climat à l’absence de dialogue. Par conséquent, les droits de l’hommistes se proposent d’organiser «un débat national pour la promotion d’un dialogue politique et social à la fois fécond et sincère». Qui plus est, les «droits de l’hommistes» pensent créer ainsi «les conditions d’une large concertation», qui regroupera, selon eux, toutes les franges de la société. Le but est, selon les initiateurs de la rencontre, «de contribuer au renforcement des acquis de la démocratie par la création de mécanismes de dialogue permanent et conjoncturel de tous les acteurs».  

Ndiouga Ndiaye, ancien ambassadeur du Sénégal en Gambie «je suis abasourdi par cette absence de réplique aux provocations de Yahya Jammeh»

  Ancien ambassadeur du Sénégal à Banjul entre 2001 et 2006, Ndiouga Ndiaye trouve qu’en réponse aux attaques de Yahya Jammeh, le Sénégal devra bloquer l’entrée des produits qui transitent par son terroir à destination de la Gambie. Mieux, joint au téléphone par la rédaction de Sud quotidien hier, lundi 15 février, le diplomate est d’avis que, pour corser la dose, les automobilistes sénégalais devront aussi boycotter la traversée du bac de Farafenni.  

Macky Sall: « Pourquoi le carburant est cher au Sénégal »

La récurrente demande des transporteurs pour une baisse conséquente du prix du carburant a-telle trouvé un écho favorable auprès du président de la République ? En tout cas, samedi lors du lancement du projet de renouvellement du parc des gros porteurs, Macky Sall a promis d’étudier plus largement la question avec le ministre du Budget.

Vers l'émergence d'une nouvelle opposition (confessionnelle, démocratique et républicaine) pour faire face à la ''dictature laïque'' !!!

Quoique non convaincus de la vision de nos dirigeants, encore moins de la pertinence de leurs programmes, les religieux qui sont les incontournables régulateurs sociaux se sont contentés, jusque-là, de prêcher la paix et le dialogue politique, en vue d’une réconciliation nationale - car c’est là, en vérité, la seule alternative pour sortir notre pays d’une campagne électorale perpétuelle, lourde de menaces et qui compromettra irrémédiablement toutes nos velléités d’émergence. Mais actuellement, la radicalisation de nos ‘’républicains’’ dans leur option laïque, exige une nouvelle démarche, afin de sauver la République d’une sécularisation définitive (constitutionnalisée) ; oui, il faut que les convictions religieuses et culturelles de l’immense majorité des sénégalais (musulmans à plus de 95%) soient réellement prises en compte dans les prochaines réformes constitutionnelles ; ce combat idéologique est un devoir pour tout croyant (toutes obédiences confondues) - et une exigence démocratique !!!