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Mar, Mai
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Attaque du cortège présidentiel à l’ucad Anna Semou Faye exclut toute défaillance policière

  L’attaque du cortège présidentiel à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar n’émane pas d’une défaillance dans le système de renseignement de la police. Penser ainsi est une méconnaissance de la profession. C’est l’avis de la directrice générale de la police nationale, Anna Sémou Faye, qui présidait hier, mercredi 5 août, les rencontres hebdomadaires de l’Ecole nationale de police.  

Souleymane Jules Diop : « Je n’ai pas connaissance du limogeage de Tamsir Faye »

Dans l’affaire du consul général du Sénégal à Marseille, Tamsir Faye, le Secrétaire d'Etat en charge des Sénégalais de l’Extérieur, Souleymane Jules Diop, persiste et signe qu’il n’a pas connaissance d’un quelconque limogeage du jeune diplomate de 38 ans. « Je ne suis pas au courant de son éviction; il es toujours à son poste; c’est le chef de l’Etat qui a la prérogative de le démettre et il n’a jusque la pris aucune décision en ce sens », a d’abord dit M. Diop révélant que Tamsir est toujours à Marseille. 

Madiambal Diagne, le patron du "Avenir Communication", parmi les propriétaires des constructions en face l'Aéroport Léopold Sédar Senghor

Le patron du groupe "Avenir Communication", Madiambal Diagne, qui s'est attaqué aux autorités lors de la destruction des constructions jouxtant le mur de l'Aéroport Léopold Sédar Senghor a un secret bien caché. 
Selon une source,  Madiambal Diagne est propriétaire d'un chantier en construction de 250 m 2 à côté du hangar des pèlerins. Mieux notre source, pour être précise, nous dit que le chantier qui continue malgré l'interdiction de construction, se situe en face du radar de l'aéroport de Dakar. 

Why Africa should leave the International Criminal Court

 

Dr David Hoile

 

 

It has taken Africa just over a decade to conclude that the International Criminal Court (ICC), established in 2002 by the Rome Statute, is simply unfit for purpose. That certainly is the conclusion of the South African government following the recent African Union summit in Johannesburg in June 2015. The institution many African countries signed up for post 1998, a court that promised to pursue injustice without fear or favour, is not the one they see before them today. They were sold a false bill of goods. The ICC’s claims to international jurisdiction and judicial independence are institutionally flawed and the Court’s reputation has been irretrievably damaged by its racism, blatant double-standards, hypocrisy, corruption and serious judicial irregularities.

 

Le gouvernement tchadien dément toute implication de Deby dans l’affaire Habré

La comparution du président Hissein Habré seul à la barre est une chose que plus d’uns n’ont pas compris. Conscientes de cette situation, les autorités tchadiennes ont initié ce mercredi une conférence de presse pour décliner leur responsabilité dans la décision des juges de la Cae de faire comparaître seul le prédécesseur de Idriss Deby, l’actuel homme fort de Ndjaména. Hassan Sylla Bakari, le porte-parole du gouvernement tchadien, par ailleurs ministre de la Communication, en a fait la précision, lors de la rencontre. 

Jugement de Hissein Habre au Sénégal une alerte aux dirigeants africains

  Le procès de l’ancien président tchadien dont l’ouverture est prévue le 20 juillet prochain à Dakar sonne comme une alerte aux présidents africains, adeptes de mauvaises pratiques sous leurs magistères. La mise en garde est du Procureur spécial du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie à la Haye, Serge Brammertz. Il a pris part hier, mercredi 8 juillet, à la conférence sur la «Justice pénale internationale et le droit international des droits de l’homme», organisée par le bureau du Haut commissariat des Nations unies pour les droits de l’homme à Dakar.    

es religieux ont un devoir d'orientation et de veille sur la Constitution de la République !!! (Halte à la dictature laïque !!!)

Le Président Macky SALL tarde à matérialiser  son engagement solennel de réduire son mandat et de mettre en oeuvre, au moins, certaines recommandations  de la CNRI (Commission nationale de réforme des institutions) qu’il jugera pertinentes. Et tout cela interpelle forcément les religieux ; en effet, les oulémas, toutes obédiences et toutes générations confondues, sont, au même titre que tous les autres citoyens, astreints à la législation en vigueur qui, du reste, a la primauté sur le droit islamique académique (théorique) ; oui, ils sont tous des citoyens ordinaires, comme le leur avait rappelé le Chef de l’État ; dès lors, ils doivent connaître la constitution et tout l’arsenal juridique mieux que quiconque, afin de pouvoir proposer des amendements opportuns et pertinents qui, à terme, les rendront plus conformes avec les convictions religieuses de la très grande majorité de la population, sans priver les minorités confessionnelles de leurs droits fondamentaux – Oui, la démocratie, c’est une affaire de rapports de forces ! Ainsi, les religieux doivent particulièrement veiller à ce que ces préoccupations fondamentales soient prises en compte par le pouvoir législatif (Assemblée nationale).

Polygamie en France : barbarie africaine ou prétexte xénophobe ?

La polygamie n’est pas l’apanage des sociétés musulmanes ou africaines. C’est une réalité humaine qui remonte aux sociétés primitives, organisée ici, tolérée là, bannie ailleurs en fonction des coutumes. En France la chasse aux polygames africains, légiférée et promue par des politiques de tous bords, relève plus d’une hypocrisie sociale et d’un populisme xénophobe, que d’une réelle opposition à cette forme d’union.

                    

Sénégal - Les fonctionnaires tirent sur l’Etat : « Les élus locaux sont des prédateurs (…), un boucher a été pistonné au sein de l’administration fiscale (…) »

Frustrés à cause du statut péjoratif de « bouffe-le-budget » que leur colle le gouvernement, l’union syndicale des fonctionnaires, qui a d’emblée précisé qu’elle ne reculera pour rien au monde devant cette posture de défense adoptée, de décrier toute la nébuleuse qui entoure le fonctionnement de l’administration sénégalaise. 

En effet, Mansour Fall et ses camarades n’ont pas hésité à dévoiler tout ce que cache le semblant de rigueur dans lequel se cache la fonction publique de notre pays, affirmant que les recrutements se font non sur la base des compétences, mais sur fond de « clientèle politique ».