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Lun, Avr
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Mamadou Lamine Dianté, secrétaire général du Saems-Cusems : «Il y a des risques de perturbations des évaluations et des examens de fin d’année»

Le pacte de stabilité, le cas des professeurs de philosophie, l’application du mirador sont les problèmes qui nourrissent les appréhensions du Saems-Cusems par rapport à la fin de l’année scolaire. Ces questions risquent d’engendrer, selon Mamadou Dianté, de réelles perturbations dans le système scolaire les prochaines semaines. A propos du Pacte de stabilité sociale et d’émergence économique, il y a eu, selon le syndicaliste, «une mise en procédure dans la mesure où la démarche empruntée» par le ministère de la Fonction publique «n’a pas été inclusive».

Pour Mamadou Dianté, l’idéal était de commencer par des concertations sectorielles, faire l’état des lieux des secteurs d’activités avant d’aller vers la concertation avec les centrales syndicales. «Et pour ces raisons, nous avons dit que ce pacte de stabilité sociale ne nous engage pas», martèle Mamadou Dianté.

Wade à Jeune afrique : « Je peux renverser Macky Sall à tout moment! »

Abdoulaye  Wade dans une interview accordée à «Jeune Afrique», indique, pince sans rire, qu’il peut renverser Macky Sall à tout moment. «Il me suffit de lancer les populations sur le Palais. Mais ce n’est pas mon intention. Moi, ce que je veux c’est que Macky comprenne qu’il fait fausse route (…)».  Gorgui a aussi confirmé dans l’interview que son objectif est de faire sortir son fils de prison.

Le juge du deuxième cabinet appuie sur l’accélérateur- Aida Ndiongue programmée en mi juin, Mariéme Bousso le 12 mai, les autres co-inculpés et 11 témoins …

iGFM (Dakar) Le juge du deuxième cabinet Samba Sall va appuyer sur l’accélérateur dé la semaine prochaine dans le dossier d’Aida Ndiongue et Cie. Abdoul Aziz Diop et Maréme Bousso les 12 courant, Médoune Ndiaye et Madou Sarr sont programmés pour une audition dans le fond. Les onze témoins aussi. Quant à Aida Ndiongue, elle passe dans la semaine de juin.

Regard : Macky Sall décidé à nettoyer la présidence

Le président Macky Sall a démontré depuis son exercice du pouvoir qu’il est du genre à aller jusqu’au bout quand il prend une décision. La traque des biens mal acquis en est une illustration. Suite à la décision de certains de ses alliés à faire cavalier à part pour les prochaines élections locales, il a pris l’option de nettoyer le palais de la République. 

Violences dans les universités : Pourquoi l’ Etat peine à prendre ses responsabilités

Au tout début de son mandat, le président Macky Sall avait réussi à ramener l’accalmie dans les campus universitaires. Mais le dépôt des armes des étudiants n’a duré que le temps d’une rose. Depuis l’Etat peine à prendre ses responsabilités, pour que la « lumière » soit l’unique « loi » des apprenants. 

Les raisons de cette déroute sont multiples. Parmi les causes, il y a l’existence de toutes les sensibilités politiques dans l’espace universitaire. Et de ce point de vue, « la traque » contre les « biens mal acquis » n’est pas pour favoriser les choses au régime du président Macky Sall. Il s’y ajoute que son prédécesseur au pouvoir, Me Abdoulaye Wade, et celui à la Primature, Idrissa Seck, sont revenus au bercail ; avec la ferme intention de ne pas lui faciliter son magistère.

Réponse du Porte-parole du Gouvernement aux allégations de la Présidente de Amnesty Sénégal : Mauvaise foi ou ignorance ?

La question des droits humains fait partie des sujets de débat inépuisables par nature. Par ce fait, le « secteur » d’intervention a capturé les énergies intellectuelles d’une grande partie des acteurs de la société. 

 

Ce dynamisme remarqué semble n’être pas assorti toujours, d’interventions objectives, utiles et responsables, de la part de certains acteurs engagés sur la question.

Filature et harcèlement : Qui en veut à Farba Senghor ?

Le tonitruant Farba Senghor a fait part à nos confrères de La Tribune de faits graves, s'ils sont avérés. En effet, selon le forban de Me Abdoulaye Wade, des " étrangers ", qui ne parleraient que l'anglais, seraient postés depuis plusieurs jours aux alentours et sur les voies menant à son domicile de la cité Biagui. Parmi ceux-ci, un individu qui porterait des rastas et un chauve, qui auraient même tenté de s'introduire chez lui. Certains d'entre ces étrangers ne cessent, selon Farba Senghor, d'interroger les membres de sa famille pour connaître les positions de l'ancien ministre. Ces individus, " armés ", pourraient être, selon Farba, des policiers en civil ou des détectives privés. Il a décidé de porter plainte contre X devant le procureur de la République.

«Le procès de Karim Wade aura forcément des incidences sur les Locales du 29 Juin»

«Le procès de Karim Wade aura forcément des incidences sur les Locales du 29 Juin»

L'OBS - Le mois de juin prochain s’annonce très palpitant pour les Sénégalais. En plus des élections locales prévues le 29 juin, se tiendra  le même  mois, à une date encore inconnue, le procès de Karim Meïssa Wade. Une coïncidence pour le moins troublante qui suscite diverses interprétations.

«La tenue du procès de Karim Wade prévu au mois de juin prochain aura forcément des incidences sur le déroulement des Locales du 29 juin.»

CONSOLIDATION DÉMOCRATIQUE ET RESPECT DES LIBERTES PUBLIQUES Macky Sall «retrace » sa ligne de conduite

Le président de la République, Macky Sall, en sa qualité de Gardien de la Constitution, a hier, en conseil des ministres, «réitéré sa ligne de conduite qui consistera toujours à veiller scrupuleusement à la consolidation de la renommée de notre démocratie et au respect des libertés publiques, conformément aux lois et règlements en vigueur ». Il se prononçait sur ce que le Chef de l’Etat a appelé « l’impératif républicain de respect des libertés publiques  en rappelant «le statut d’Etat de droit et de démocratie confirmée du Sénégal».