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CANICULE, ABSENCE DE BALCONS ET DE BRISE-SOLEIL, PAS DE VENTILATION ARTÉRIELLE Le building administratif, la poudrière qui loge le gouvernement

Dans le cadre de ses séances académiques, l’Académie nationale des sciences et technique du Sénégal (Ansts), a organisé une rencontre sur, entre autres, «bâtir des établissements humains durables en Afrique (urbanisme, architecture, construction) grâce à la synergie de l’habitat bioclimatique, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables». Occasion pour Mbacké Niang, ancien Vice-président de l’Ordre nationale des architectes du Sénégal de déplorer la structure du building administratif qui non seulement ne permet pas une bonne aération, mais favorise une grande consommation d’énergie.

RESTRUCTURATION DES ZONES INONDABLES La réticence des populations bloque les travaux

Le refus des populations des zones inondables de la banlieue de quitter leurs lieux d’habitation a eu des répercussions négatives sur la bonne conduite des travaux de la phase d’urgence du Programme décennal de la gestion des inondations. L’annonce est du ministre de la Restructuration et de l’aménagement des zones d’inondations, Khadim Diop, qui prenait part au conseil interministériel consacrée à l’état d’avancement des travaux de la phase d’urgence dans les zones inondables tenue hier, jeudi 27 février 2014.

Faut-il fermer l´Aéroport International Léopold Sédar Senghor de Dakar Yoff après l´ouverture de l´Aéroport de Diass?

En lisant il y a quelques jours sur le Net qu´une commission allait se réunir pour préparer le déménagement des Services de l´aéroport LSS (ALSS) à Diass (AIBD)  je n´ai pu m´empêcher de me poser un certain nombre de questions. 
Est-il vraiment impératif de faire déménager tous les services présents à ALSS de Dakar à Diass? 
N´était-il pas prévu de réhabiliter le site de Yoff, de le désencombrer des construc tions près de la piste et d´enterrer le projet mort-né de transformation de notre premier et seul aéroport international en cité des affaires? 

RELANCE DES ACTIVITÉS DE L'ENTREPRISE Les « K » fatals aux ICS

Avec l'injonction de démantèlement  de ses installations faite aux ICS (Industries chimiques du Sénégal), la direction du port est  entrain d'achever une entreprise mise à genou depuis l'affaire Jérôme Godard. Mais cela ne sera pas aussi simple que le veulent les autorités du port, car les responsables des Ics ont décidé  de mener la bataille avec des arguments juridiques et des concessions en bonne et due forme signée par le port.

 

En prenant  la décision de faire partir les Ics  du mole  8 du port autonome  de Dakar, la direction commerciale  du port ne signe t-elle pas l’arrêt de mort d’une  grande entreprise installée sur le  site depuis 1959 ? On peut le croire car au-delà des 56 travailleurs des ICS affectés sur le mole  8 du port qui seront victimes de cette décision, c’est plutôt  la fermeture  de l’entreprise et la perte plus de 2500 emplois permanents qui vont en découler, sans parler des 10.000 emplois temporaires avec les 380 PME/PMI, compte non tenu  des avantages sociaux offerts aux populations de Mboro en termes de gratuité de l’eau et de l’électricité et de prise en charge des enseignants au niveau du lycée de la communauté.  

Transfert d’activités aéroportuaires, Les travailleurs de "Senghor" refusent la tutelle de "Blaise Diagne"

Transfert d’activités aéroportuaires, Les travailleurs de "Senghor" refusent la tutelle de "Blaise Diagne"

iGFM (Dakar) C’est un imposant cordon de la gendarmerie qui a été déployé à Dakar-Yoff, principale plate-forme aéroportuaire de la capitale sénégalaise pour calmer les ardeurs des syndicalistes qui étaient prêts tous à exprimer leur refus de tomber dans l’aumônière d’AIBD (Aéroport international Blaise Diagne de Diass), mais également leur peur de perdre leurs emplois. 

Application de la baisse du loyer : Le Cabl sensibilise pour prévenir les heurts

Les problèmes ne manquent pas avec l’application de la baisse du loyer occasionnant des tensions entre bailleurs et locataires. Se basant sur sa propre mésaventure, le coordonnateur du Collectif pour l’application de la baisse du loyer (Cabl) veut servir de médiateur. Alpha Ousmane Ndiaye, qui au lendemain de l’application de cette loi s’est vu fendre la lèvre par son bailleur, veut prévenir les conflits.

Il s’en est sorti avec une interruption temporaire de travail de cinq jours. En conférence de presse, hier, au siège de la Rencontre africaine des droits de l’Homme (Raddho), il a annoncé une campagne de sensibilisation. «Le Cabl est un mouvement citoyen qui a pour objectif d’accompagner l’Etat du Sénégal pour que la loi sur la baisse du loyer soit appliquée dans toute sa rigueur sans discrimination», explique M. Ndiaye. 

MARCHE DE LA FRIPERIE EN CETTE PÉRIODE DE FROID Se «tirer à quatre épingles» avec 300 F Cfa

En cette période de froid, des vendeurs de friperie spécialement orientés vers la commercialisation de vestes, «pulls over», «par terre» constituent la grande attraction. Echangés entre 1000 et 300 F Cfa ou parfois moins, c'est selon, les prix sont à la portée de toutes les bourses. Aussi bien les vendeurs qui se frottent les mains que les clients, chacun y trouve son compte. Un tour au rond-point de Petersen, un marché très fréquenté par des Dakarois permet d'apprécier.

 

 

Il est 16h30mn à la commune de Dakar Plateau. En  cet après midi très glacial, le rond-point Petersen est noir de monde. Marchands ambulants, tabliers, clients, et voitures se disputent l’espace. Difficile  de se frayer un chemin en ce moment. L’ambiance  qui y règne, impose à tous, y compris les piétons, la conduite à tenir, comment se déplacer. Klaxons de voitures, grondements de moteurs, mêlés aux cris des commerçants amplifiés par des mégaphones, constituent, entre autres concerts qui polluent l’atmosphère.

Communauté rurale de Mérina Dakhar: Les populations appellent de tous leurs voeux l’électrification de leurs villages

electrification rurale

 

La communauté rurale de Mérina Dakhar polarise plus d’une centaine de villages et se situe à 120 km au Nord Est de Dakar. Ce chef lieu d’arrondissement est presque le seul village électrifié de cette localité qui englobe les villages comme Thiombogne, Ndawene, Baity, Gadiaga, Couré Gateigne totalement dans le noir. En effet, dans cette localité, le plus grand problème qui hante le sommeil des populations, est l’absence d’électricité. Et pourtant des fils dans la zone ont adressé plusieurs correspondances aux autorités mais jusque là aucune réaction.

PROTOCOLE D’ACCORD AVEC LES SYNDICATS D’ENSEIGNANTS Le gouvernement face aux contraintes de délais

Pour ne pas  revenir aux grèves répétitives des syndicats d’enseignants qui exigeaient depuis presque 2 ans la signature du Protocole d’Accord, le gouvernement  devra mettre les bouchées doubles pour que pareille situation ne se reproduise. Après les assurances de Mansour Sy, ministre de la Fonction publique, qui soutient que les accords sont réalistes et réalisables, la partie gouvernementale a alors l’obligation de respecter les points essentiels, notamment la validation au 2/3 et la question de l’habitat  social dans les  délai compris entre 2014 et 2015.

SIGNATURE DU PROTOCOLE D’ACCORD GOUVERNEMENT-SYNDICATS D’ENSEIGNANTS Place désormais à l’application

 

Le Gouvernement du Sénégal et le Grand Cadre des syndicats d’enseignants ont enfin signé hier, lundi 17 février 2014, le Protocole d’Accord au terme d’âpres et de longues négociations. Les deux parties ont ensuite mis sur pied un Comité de suivi de l’exécution du Protocole d’accord portant sur 34 points. L’échéancier est compris entre fin 2014 et le mois de décembre de l’année 2015. Ainsi, l’Ecole sénégalaise, longtemps paralysée par des grèves récurrentes, est partie pour connaitre, si les deux parties respectent leurs engagements,  quelques moments de répit voir de pacification.