DAKARACTU.COM C'est une grande préoccupation pour certaines franges de la population, et à des niveaux insoupçonnés. En effet, la présente édition de ce rituel annuel tant suivi, débute ce samedi à Fatick, fief du Président Macky Sall, plus précisément au Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles (Cemetra). 

Vous avez dit tentative d'influence? 

Au garage pompier, la construction des 28 tours annoncée samedi par le président Macky Sall lors de la pose de la première pierre du pôle urbain de Diamniadio est diversement appréciée par les occupants.


A l'entrée de la gare routière de Pompier, les voitures garées dans un désordre indescriptible bloquent la circulation. Dès qu'un client arrive, les ''coxeurs'' vont à sa rencontre en lui demandant sa destination. Des plaques sont visibles partout indiquant les localités où vont les voitures garées. Les vendeurs de cartes, écouteurs, bonbons, fruits... se faufilent à la recherchent de clients. En plus d'être une gare routière, Pompier est un vrai lieu du commerce.

Olivier Djiba est chauffeur de taxi. La fatigue se lit sur son visage, il vient juste de garer son véhicule en provenance de Saint-Louis. Ce trentenaire est tout à fait d'accord sur la construction des 28 tours. ''Je n'y vois aucun inconvénient. Il est vraiment temps que nous allions à la gare des Baux Maraîchers de Pikine. Il y a plus de sécurité là-bas. L'hivernage approche et quant il pleut, nous travaillons difficilement parce qu'il n'y a pas d'enclos où garer nos véhicules'', soutient M Djiba.

Les émeutes de Thiaroye sont loin de connaître leur épilogue. Malgré l’appel au calme, les autorités ont décidé de tirer cette affaire au clair pour situer les responsabilités. Le Cetud et 3 D ont décidé de porter plainte pour destruction de biens appartenant à autrui. Le ministre de la Pêche et des affaires halieutiques, Aly Haïdar, est aussi sorti de sa réserve pour remettre les choses à l’endroit et annoncer des sanctions judiciaires à la hauteur des fautes commises.

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De sources concordantes proches du dossier de Wade fils, nous sommes en mesure de révéler que Karim sera finalement jugé le 31 juillet 2014. Quid du format de l'audience, à savoir publique ou à huis clos? Mystère et boule de gomme, du moins pour le moment. Mais quoi qu'il en soit, Dakaractu vous promet d'y revenir plus en détail. 

Pour rappel, Karim Wade a été inculpé depuis le 17 avril 2013 pour enrichissement illicite, au même titre qu'un certain nombre de présumés complices...

Karim wade

C’est un vrai recul pour les féministes. Au Sénégal, pays majoritairement musulman, la polygamie est en vogue. Le célibat prolongé, fréquent chez les étudiantes, les rend suspectes. Si on n’est pas mariée à 30 ans, on a forcément un problème «inavouable». Alors, de plus en plus de femmes, pour rentrer dans la «norme sociale», acceptent la polygamie. Mais pas seulement.

Polygamie du nouveau riche au Sénégal : Désirées, elles refusent d’être de « vieilles filles »

C’est un vrai regain de popularité pour la polygamie au Sénégal. Fait étonnant, voire déroutant pour les Occidentales, de nombreuses jeunes femmes instruites en quête d’indépendance déclarent la plébisciter.

Selon une enquête du magazine Elle, «environ 40% des ménages sénégalais sont officiellement polygames, un chiffre qui serait en dessous de la réalité, selon Moustapha Wone, sociologue à Dakar, qui ajoute : «curieusement, il y a une recrudescence de la polygamie dans les milieux aisés, et c’est ce qui est extraordinaire.» 

Les actes de violence notés la semaine dernière à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) ont remis au goût du jour la problématique des franchises universitaires. Très souvent invoqués, ces textes régis par la Loi n°94 du 24 novembre 1994 font l’objet de diverses interprétations 
Le mercredi 21 mai dernier, l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) a été le théâtre d’affrontements d’une rare violence entre étudiants et forces de l’ordre. Des blessés graves ont été enregistrés des deux côtés. Si ces heurts ont été aussi sanglants, c’est parce que les forces de l’ordre ont investi le campus social et pédagogique alors que, d’habitude, le face-à-face entre policiers et étudiants se limitait juste à l’avenue Cheikh Anta Diop. Les grenades lacrymogènes donnaient la réplique aux jets de pierres.