Ces dernières semaines, des cas de meurtres de Sénégalais établis en terres étrangères sont devenus de plus en plus récurrents. L’ampleur du phénomène relance le débat sur la sécurité de nos compatriotes établis à l’étranger, les lois sur la migration mais également les conséquences de ces pertes «cruelles» sur les proches des victimes.  

iGFM- (Dakar) La ville de Tanger (Maroc) a vécu une soirée chaude ce vendredi selon un témoin d’IGFM sur place. Le quartier Boukhalef  a été, selon ce témoin, le théâtre d’une bagarre sanglante entre sub-sahariens et des « jeunes voyous marocains armés de machettes, de couteaux, de gourdins et de pierres ».

L’affrontement  a causé la mort de trois noirs dont un sénégalais et une dizaine de blessés grave. La victime sénégalaise nommée Charles a été « affreusement égorgée par les voyous ».

« Curieusement, pendant les sept tours d’horloge  qu’a duré la bataille, aucune force militaire, policière ni la gendarmerie n’a été aperçue. Et pourtant, non loin de là, se logent les services de la police » regrette le témoin d’IGFM.

Alors qu'il était sur le point d'être arrêté par la Police, Ndiambé Guèye a tenté de prendre la poudre d'escampette et est mortellement tombé.

Suite à une enquête portant sur une grosse affaire d'escroquerie et de multiplication de faux billets de banque estimée à près de trente-six millions de francs (36.000.000) CFA ayant abouti à l'identification de l'auteur présumé des faits, des éléments du Groupe de recherches et d'interpellation (GRI) de la Division des investigations criminelles (DIC), suite se sont transportés ce mardi au domicile de M. Guèye sis à la Cité Fadia des Parcelles assainies aux fins de procéder à son interpellation.

L’OBS – Interrogé par le site marocain Médias 24, Hassane, un jeune Sénégalais arrivé à Tanger de Casablanca vers le 10 août et qui partageait le même appartement que Charles à la cité Al Irfane 2, soutient que «Charles a été tué à l’arme blanche dans l’appartement et son corps traîné sur le sol».

Ce samedi midi, des traces de son sang étaient encore visibles au pied de l’immeuble et au bord du trottoir où le jeune Charles s’est éteint .

iGFM – (Dakar) Les jeunes de Ourossogui étaient dans la rue ce vendredi pour exiger la libération de 11 de leurs camarades, arrêtés hier à la suite d’une manifestation.  Les dirigeants de ce mouvement de protestation se sont rendus en masse auprès de Thierno Alioune Thiam, guide religieux pour solliciter son intervention.

« J’ai eu des relations sexuelles avec 5 chiens » : Le nigérian de 18 ans passe aux aveux après son arrestation



Vous souvenez-vous de l’article récent au sujet d’un Jeune homme de 18 ans surpris en plein rapport sexuel avec un chien ? Eh bien, il est enfin passé aux aveux dans les locaux de la police. Il déclare qu’il n’est pas à son premier acte. Il affirme qu’il a déjà couché avec 5 chiens. A l’en croire, il accomplirait cet acte jugé honteux par sa communauté à cause de « l’incapacité de ses parents à payer ses études ».

Je ne sais pas ce qui m’arrive. C’est le cinquième chien avec lequel je couche. Certains de ces chiens m’ont mordu. J’ai été mordu deux fois et à chaque fois qu’un chien me mord mon grand-père me soigne … » a-t-il confié aux forces de l’ordre.

Odionwere chef de la communauté, a exprimé son désarroi

Nous n’avons jamais vu ce genre de chose avant dans cette communauté. C’est un acte abominable et nous ne voulons pas que le suspect vienne corrompre les gens d’ici. C’est pourquoi, nous allons appeler ses parents à venir faire des rites afin que les dieux lui pardonne, mais le garçon doit s’en aller, parce que nous ne pouvons pas le tuer. 

L’OBS – Le talibé de 18 ans, Maguèye Wade, sera jugé ce mardi 26 août 2014 par le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour vol et tentative de viol. Le jeune s’est introduit nuitamment dans une chambre ouverte, a volé deux téléphones portables, avant de vouloir abuser de la maîtresse de maison qui dormait sur son lit, avec ses deux enfants, dans une tenue affriolante.
Maguèye Wade, 18 ans et élève à l’école coranique, n’a apparemment rien maîtrisé des bonnes manières apprises au daara. Le garçon, qui sort à peine de la puberté, s’en moque presque des interdits et bannis de la religion islamique, pourtant si importants dans la régulation sociale. Sinon, comment comprendre son comportement ? Comment qualifier son impardonnable geste ?