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Sam, Mai
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Afficher les éléments par tag : Macky Sall

VAIDEHI Décidément, la guerre des mots entre Idrissa Seck et le pouvoir en place, en perspective de la présidentielle de 2019, ne cesse de rebondir. Cette fois, c’est en visite à Saint-Louis, dans le cadre de sa tournée nationale, que le patron de Rewmi s’est vivement attaqué à la gestion de Macky Sall, en critiquant ouvertement les nouveaux accords de pêche devant être entérinés d’ici le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie. En réplique, le ministre de l’Economie maritime Oumar Guèye a tout simplement parlé de la « première bourde diplomatique » de l’ancien Premier ministre et opposant déclaré de Macky Sall à la présidentielle de 2019.  Idrissa Seck est revenu à l’attaque avant-hier, samedi 17 mars, contre le pouvoir de Macky Sall qu’il compte affronter à la présidentielle du 24 février prochain. Cette fois, c’est de Saint-Louis où il poursuivait sa tournée nationale, après l’étape de Touba, que l’ancien Premier ministre du Sénégal a contesté de nouveau la gouvernance Macky Sall. Après avoir dénoncé en son temps le contrat gazier conclu entre Dakar et Nouakchott, le patron de Rewmi s’est porté-en-faux contre les nouveaux accords de pêche devant être entérinés, le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie.

Publié dans La Une de la Presse

En marge de la grande interview qu’il a accordée à Leral.net, Cheikh Bamba Dièye qui est un Ingénieur des Travaux publics, spécialiste en développement local accuse et dénonce au micro de Leral.net la pénombre, voire le manque d’éclairage qui prévaut dans le service public de l’Autoroute à péage Dakar – Diamniadio. Ce projet, rappelons-le, est la résultante du Partenariat Public-Privé avec le concessionnaire privé, le Groupe EIFFAGE. Le leader de la FSDBJ n’a pas aussi été tendre à la fois avec l’Etat et les populations en ce qui les accidents répétés sur les routes sénégalaises notamment à Porokhane ces deux jours.

Publié dans POLITIQUE

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Publié dans La Une de la Presse

L’opposition sénégalaise travaille à mettre en œuvre une pluralité de candidats, lors de la présidentielle de 2019, pour bouter hors du pouvoir le régime du président Macky Sall. C’est le moins que l’on puisse dire, au vu des positions toutes tranchées des uns et des autres sur la question de la candidature plurielle de l’opposition. Que ce soit le président du parti Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef/Les Patriotes), Ousmane Sonko, le chargé des élections du parti les Libéraux démocrates réformateurs (Lrd/Yessal), Mouhamadou Faye, le député du Parti pour l’unité et le rassemblement (Pur), El Hadj Issa Sall, le porte-parole du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/B), Ndongo Diaw, ou encore Mamadou Diop Decroix, le patron d’And-Jef/Pads, tous s’accordent sur la nécessité pour l’opposition de présenter des candidatures plurielles.

Publié dans La Une de la Presse

Les partis de l’opposition dite «significative» et les membres du Front “Initiative pour des élections démocratiques“ (Ied) ont battu le macadam hier, vendredi 9 février, à Dakar. A tour de rôle, devant des militants et sympathisants venus nombreux à la marche de protestation, les leaders des différents partis présents ont réclamé des élections démocratiques et transparentes, non sans tirer à boulets rouges sur le régime en place. Après avoir refusé de participer au dialogue politique initié par le gouvernement, à cause d’un «manque de confiance» envers le chef de l’Etat, Macky Sall et son régime, l’opposition dite «radicale» s’est exprimée sur l’essentiel des sujets débattus lors desdites concertations.

Publié dans La Une de la Presse

Contribution

 Informé de l’attaque armée contre des civiles dans la forêt de Brofaye, le Chef de l'Etat, Macky Sall, Chef suprême des Armées, a immédiatement convoqué le Conseil national de sécurité qui s’est réuni avant-hier, samedi 6 janvier 2018, au Palais de la République, informe un communiqué du gouvernement. Selon la source, «le Chef de l'Etat a déjà instruit les Forces de défense et de sécurité, activement engagées dans cette partie de la Basse Casamance, pour que force reste à la Loi. Il a également ordonné que les auteurs de cet acte criminel soient recherchés et traduits en justice.»

Publié dans News

 En appelant au dialogue politique, le chef de l’État, Macky Sall, serait dans une stratégie de communication, mais rien d’autre. C’est ce que se semble dire, en substance, l’ex-porte-parole du parti Rewmi, non moins patron du mouvement politique Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (Agir), nouvellement porté sur les fonds baptismaux. Dans cet entretien accordé à Sud Quotidien, Thierno Bocoum pense que le président Macky Sall veut juste donner l’impression d’un président d’ouverture mais il n’y a «rien de sérieux» dans le dialogue lancé. Cela, même s’il estime qu’il y a lieu de se mettre autour d’une table pour discuter du processus électoral. Il n’a pas manqué d’afficher ses ambitions politiques non sans indiquer clairement que, pour rien au monde, il ne soutiendra le régime actuel en cas de second tours à la présidentielle de 2019.  Lors du lancement de votre mouvement politique, Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (Agir), vous avez dénoncé la mise sous écoute des opposants par le régime de Macky Sall. Sur quoi vous fondez-vous pour faire de telles révélations?

Publié dans POLITIQUE

Sénégal

 Pour le choix du président du Cadre de concertation sur le processus électoral, le régime en place a accepté la proposition faite par l’opposition et les non-alignés. Il a accepté la proposition d’une personnalité jugée «neutre», l’ambassadeur Seydou Nourou Ba. C’est ce qu’a dit, en substance, le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, venu procéder à l’installation de ce dernier et au lancement des travaux dudit cadre hier, mardi 12 décembre. Il a, par ailleurs, réitéré son appel à l’opposition dite «significative» qui n’a jusque-là pas rejoint la table des concertations. Le régime en place est-il en train de lâcher du leste face à une opposition qui réclame toujours une personnalité «neutre» pour l’organisation des élections prochaines ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que le président de la République, Macky Sall, et son gouvernement ont concédé à la demande de l’opposition, présente aux concertations, et des non-alignés, concernant la présidence du Cadre de concertation par une personnalité distante de toute coloration politique. C’est ce semble dire le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, qui a procédé à l’installation dudit Cadre et au lancement des travaux hier, mardi 12 décembre.

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

    Les Sénégalais iront aux urnes le 02 juillet 2017 pour élire leurs représentants à l’Assemblée nationale. C’est l’un des principaux points d’accord entre le Président Macky Sall et la délégation de Mankoo Wattu Senegal, à l’issue de la rencontre d’hier, jeudi 1er décembre, au palais de la République. Les deux parties ont aussi retenu le principe de l’audit du fichier électoral à la fin des opérations d’inscription ; et de l’augmentation du nombre de commissions administratives «pour l’inscription massive des Sénégalais ». L’information est contenue dans un communiqué de la présidence de la République en date du 1er décembre 2016. 

Publié dans La Une de la Presse

Justice

    La rencontre initiée par le chef de l’Etat, Macky Sall et le Front pour la défense de la République/ Manko Wattu Sénégal présente des enjeux déterminants dans un contexte marqué par la refonte partielle du fichier électoral. C’est l’avis du Docteur en Science politique, Maurice Soudieck Dione. L’enseignant-chercheur à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis estime que, compte tenu des sujets d’intérêt général qui vont être discutés, l’opposition a tout intérêt à se réunir pour construire des complicités objectives et des compromis dynamiques. Maurice Soudieck Dione pense tout de même que le régime de Macky Sall risque de tout perdre, si toutefois la rencontre avec l’opposition a pour objet de déstabiliser ses adversaires politiques, même si les résultats peuvent être probants dans l’immédiat. Entretien. 

Publié dans La Une de la Presse