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Inspirée par le programme Yonnou Yokkuté du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Mme Aminata Touré, a dégagé hier, lundi 28 octobre 2013, à l’occasion de la Déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale les grands chantiers du gouvernement. Du programme d’urgence d’infrastructures sociales à la Couverture médicale universelle en passant par le secteur de l’Education et la production de semences certifiées, le Premier ministre a fixé un chronogramme étalé sur  la période 2013-2017.

Publié dans La Une de la Presse

Après le Yoonu Yokkuté version Abdoul Mbaye présenté devant la représentation parlementaire, le 10 septembre 2012, voilà le Yoonu Yokkuté , version Mimi Touré pour ce jour, lundi 28 octobre 2013. Treize mois et deux semaines après la première déclination, devant la douzième législature, de la vision de redressement économique et social du Sénégal dictée par l'actuel homme fort du Sénégal, Macky Sall,  l'Assemblée nationale est conviée à un autre exercice d'examen et de débats autour d'une stratégie qualifiée de « voie du progrès » mais qui semble bien effritée au contact de la réalité du terrain. A la différence par ailleurs que cette fois-ci, le pilote n'est point un banquier  sans ancrage politique mais un pur produit du mouvement de gauche, membre du parti au pouvoir,co- rédactrice par surcroît du fameux Yoonu Yokkuté.

Publié dans La Une de la Presse

C’est un Moustapha Diakhaté très détendu que nous avons trouvé hier à l’Assemblée nationale. Le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar veut dépasser la crise qui vient de secouer son groupe notamment avec la rébellion de Cheikh Diop Dione et Mame Khary Mbacké. «L’homme du Président» évoque ses relations avec ses alliés, l’Acte 3 de la décentralisation et la vie parlementaire. S’il estime que ses alliés ne mouillent pas assez le maillot d’une part, le député Diakhaté pense que Macky Sall devrait prendre une année pour terminer les réformes avant d’organiser des élections.

Les partis de la majorité parlementaire ont été invités aux concertations sur l’Acte 3 de la décentralisation initiées par le chef de l’Etat et qui doivent aboutir au report des élections locales. Comment appréciez-vous cela ?

Publié dans La Une de la Presse

La Déclaration de politique générale que le Premier ministre, Mme Aminata Touré doit faire dans une semaine, lundi 28 octobre 2013, ne sera pas une promenade de santé. Le contexte n’est pas celui des lendemains de la victoire du 25 mars 2012. La coalition Bennoo Bokk Yakaar qui a soutenu la candidature du Président Macky Sall au second tour commence à se fissurer avec le départ de Rewmi d’Idrissa Seck.  Le contexte est aussi celui de la bataille du leadership au sein de l’opposition entre le Parti démocratique sénégalais (Pds) et le parti Rewmi. Et cette Déclaration de politique générale constituera, pour ces partis de l’opposition, un test grandeur nature pour rallier l’opinion. En plus, une bonne frange de la population commence à manifester quelques signes d’essoufflement, avec ce sentiment que «rien ne marche».

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Le groupe parlementaire de la Coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) a dans un communiqué dont nous avons reçu copie fait savoir la suspension  du député Cheikh Diop Dione du groupe de la majorité parlementaire ainsi que le remplacement de la députée Mame Khary Mbacké par Khady Gaye.*

Publié dans La Une de la Presse

À l’épreuve de la « rupture », la 12ème législature qui focalisait toutes les attentes de Sénégalais en quête d’un nouveau dynamisme dans le travail parlementaire a montré un visage « énigmatique » hier, vendredi 11 octobre 2013, à l’ouverture de la session ordinaire unique de l’année 2013-2014. Face à un président de l’Assemblée nationale qui a royalement « zappé » les attentes criardes de ses concitoyens, figeant son discours d’installation sur le bien-être des députés, en termes de bourses d’études et/ou d’hôtel pour les parlementaires, au retour de la politique politicienne pour débaucher des membres de l’autre camp (Rewmi) et l’empêcher d’avoir son propre groupe parlementaire, l’hémicycle a renoué avec la posture des législatures longtemps décriées au Sénégal. Comme si, après une année seulement d’exercice parlementaire, d’ailleurs parsemée de zones d’ombres, la majorité reléguait la « rupture »…aux calendes grecques !

Publié dans La Une de la Presse

C’est aujourd’hui que l’Assemblée nationale renouvelle son bureau. Il n’y aura certainement pas de changement à la tête de l’hémicycle. Le président Macky Sall a opté pour la continuité de son allié, de l’Alliance des forces de progrès (AFP), Moustapha Niass malgré les péripéties des derniers mois qui faisait douter de cette nouvelle issue.

Renouvellements à l’Assemblée nationale : Macky Sall soutient Niass contre le député "apériste", Cheikh Diop Dione
Macky Sall lui a annoncé sa confiance jeudi lors d’une rencontre qu’il a accordée aux députés de son groupe parlementaire, Benno bokk yaakaar. Toutefois, le président sortant de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse devra faire face au parlementaire Cheikh Diop Dione. 

Publié dans POLITIQUE
 
« on ne comprendrait pas que l’Assemblée puisse continuer à se soustraire du Code des marchés »
 

Modou Diagne Fada, président du groupe parlementaire Démocrates et libéraux approuve le contrôle des passations de marchés de l’Assemblée nationale par l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) .

«C’est une bonne chose que l’Assemblée respecte les procédures d’autant plus qu’elle gère des deniers publics. Et c’est nous députés qui votons les lois qui contrôlent et sanctionnent les autres structures. 
Publié dans La Une de la Presse
 
« nous sommes mal traités, c’était 200.000 F CFA sous Wade »
 

 

Réagissant par rapport aux 100.000 F CFA remis comme « sukëru koor » aux députés pas plus tard que ce lundi à l’Assemblée nationale où certains décrient l’absence de rupture et la sobriété promises par le président Sall, le tonitruant Me El Hadj Diouf avec la virulence qu’on lui connait ne manque d’asséner que « 100.000 F CFA, c’est trop peu, c’était 200.000 F CFA sous Wade ». Pis, « les représentants du peuple sénégalais ne sont pas mis dans des conditions satisfaisantes de travail, ils sont lésés » selon l’avocat qui assure qu’ils perçoivent même moins que les députés des pays les plus pauvres de la sous-région " avant de lâcher, "les députés sénégalais sont mal traités". 
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