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Sénégal

 L’avant dernier jour du procès relatif à la caisse d’avance de la mairie de Dakar a eu lieu hier, jeudi 22 février, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Dans cette ultime phase de la procédure, les avocats de la défense, Borso Pouye et Me Doudou Ndoye, ont apporté les «preuves» qui disculpent leurs clients. Reprenant la parole pour la réplique, l’agent judiciaire de l’Etat, Antoine Félix Diome, et les avocats de l’Etat sont revenus à la charge pour étayer toutes les accusations portées contre les prévenus. 

Publié dans La Une de la Presse

Celui qui œuvre a droit à un salaire et le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye veut mériter son salaire à la fin du mois. Le travail qu'il accomplit dans le cadre du procès de Khalifa Sall n'est, dit-il, pas un service rendu, mais une obligation, un devoir. Et "quel que soit le verdict", les cartes sont déjà servies et le maître des poursuites affirme qu'il "recevra son salaire sans un centime de moins".

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Publié dans La Une de la Presse

Les avocats de la défense ont encore plaidé ce mercredi après-midi au tribunal correctionnel, devant lequel Khalifa Sall et ses co-prévenus comparaissent depuis 19 jours. La prestation de Me Khassimou Touré a éclipsé toutes les autres. En moins d’une heure et demie, le conseil a passé le dossier au peigne fin, réuni les éléments et balayé les précédentes objections de la partie civile.
Me Khassimou Touré a plaidé pour son petit frère Mbaye Touré, directeur administratif et financier (DAF) de la Mairie de Dakar.

Publié dans JUSTICE

 Dans la matinée du 17ième jour d’audience dans l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, les avocats de la défense se sont tant soit peu entredéchirés. En effet, les conseils des co-prévenus, Mamadou Oumar Bocoum et Ibrahima Touré, tous receveurs-percepteurs à la municipalité de Dakar, se sont investis à démonter les griefs portés contre leurs clients par le gestionnaire de la caisse d’avance, Mbaye Touré. De leurs côtés, les avocats de la défense du député-maire, Khalifa Sall, de Mbaye Touré, etc, se sont évertués à leur tour à démontrer que les percepteurs-receveurs ont tous agi en connaissance de l’existence des fonds politiques et qu’il n’était pas question qu’ils bénéficient de la relaxe au détriment de leurs clients, comme le souhaite le procureur de la République, lors de son réquisitoire.

Publié dans La Une de la Presse

Le procès de Khalifa Sall et des sept co-accusés au Palais de justice, à Dakar, entre dans sa cinquième semaine ce lundi 19 février. L’heure est aux plaidoiries de la défense. Vendredi, le procureur a requis sept années de prison et 5,5 milliards de francs CFA d’amende à l’encontre du député, maire de la capitale, soupçonné notamment de détournement de deniers publics. Les nombreux avocats de Khalifa Sall auront jusqu’à mercredi pour tenter de convaincre le tribunal que leur client n’a rien détourné. A la barre lundi après-midi, ils se sont montrés très offensifs.

Affûtée, la défense a décortiqué crescendo tous les chefs d’inculpation. « Comment pouvez-vous parler de détournement de fonds à hauteur de 1,8 milliard ? Mon client travaille avec le maire Khalifa Sall. Il est locataire, paie 75 000 francs CFA de loyer, n’a pas de voiture et on me dit qu’il s’est enrichi », engage l’un des avocats.

Publié dans JUSTICE

10 ANS DE L'ALTERNANCE

 Le député-maire de Dakar, Khalifa Sall a introduit hier, vendredi, sa énième demande de mise en liberté provisoire dans le cadre de l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar pour laquelle il est en détention préventive, depuis le 7 mars dernier. La requête de la demande de mise en liberté provisoire a été formulée par Me Ciré Clédor Ly alors qu’il faisait sa plaidoirie sur les exceptions de nullité de la procédure et surtout sur la détention qualifiée d’arbitraire du maire de Dakar. Devant le tribunal, la robe noire rappelant plusieurs violations des droits de ses clients et de la défense depuis les enquêtes préliminaires jusqu’à la prise par le juge d’instruction de l’ordonnance de renvoi, a indiqué que le maintien de Khalifa Sall en prison dans ces conditions constituera une détention arbitraire. Sous ce rapport, il a remis à nouveau au président du tribunal un dossier contenant la liste des immeubles mis à la disposition de la justice comme cautionnement. «Dès la proclamation des résultats par le Conseil constitutionnel, la détention de Khalifa Sall était devenue arbitraire».

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 Le maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, devra encore patienter pour son procès. En effet, juste après la réouverture de l’audience hier, mercredi 3 janvier, ses conseils ont fait état de failles dans la procédure qu’ils ont exploité à fond. Ces robes noires ont souligné le non respect de l'article 174 du Code de procédure pénale qui dispose que les avis doivent être mis à la disposition de toutes les parties, ce qui n'a pas été le cas, obligeant le président du tribunal, Malick Lamotte, à renvoyer l’audience jusqu’au 23 janvier prochain. Le procès en audience spéciale du maire de Dakar, suspendu après la première audience le jeudi 14 décembre dernier, est à nouveau renvoyé jusqu’au 23 janvier prochain par la Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Ce report est survenu après une demande de la défense qui, pour plusieurs raisons a demandé hier, mercredi 3 janvier, le renvoi du procès à une date ultérieure.

Publié dans La Une de la Presse

Khalifa Sall avait besoin de soutien et non d'une exclusion. Ce que le parti socialiste vient de faire derrière le dos du maire de Dakar alors qu'il est en prison n'est rien d'autre que de la trahison. Cheikh Guèye, maire de Dieuppeul/Derklé qui se prononce sur l'exclusion de Khalifa Sall, estime que c'est anti-démocratique et contraire aux valeurs cardinales qu'incarne le parti socialiste.

Publié dans POLITIQUE

Les rebelles socialistes ouvrent un nouveau front dans leur combat contre la direction du Ps.

Ils ont décidé de mettre le parti devant le fait accompli en faisant de Khalifa Sall leur candidat pour 2019.

On ne connaît pas encore l’issue de son procès qui a démarré hier, par contre on sait que le député-maire de Dakar sera candidat à l’élection présidentielle de 2019. Khalifa Sall sera investi candidat du Parti socialiste (Ps) ce samedi à Kaolack par les militants socialistes qui sont lui favorables. «Le Ps compte aller compétition en 2019, et nous souhaitons investir Khalifa Sall candidat du Ps pour la présidentielle de 2019 et ensuite nous allons discuter avec nos alliés», déclare Barthélémy Dias, ajoutant qu’ils n’accepteront jamais qu’on interdise à leur candidat de briguer le suffrage universel.

Publié dans La Une de la Presse