The president of the Republic of Sierra Leone, Dr. Ernest Bai Koroma, has written to his Gambian counterpart, H.E Sheikh Prof. Alhagie Dr. Yahya AJJ Jammeh Nasirul Deen Babili Mansa, thanking him for his donation of US$500, 000 to combat the deadly virus of Ebola in his country.
The Gambia’s Foreign Affairs minister has underscored the need for African countries to promote trade between themselves for the way forward, and hailed the first ever Egypt International Exhibition currently underway at the Paradise Suites Hotel in Kololi.
The Expo, which officially took off Wednesday is being organised by the Egypt Expo Company in collaboration with the Gambia Chamber of Commerce and Industry (GCCI). The Expo that will wrap up on the 14th of September 2014 brought Egyptian business in The Gambia.
A l’occasion du jour Béni de l’Aid-Al fitr, communément appelé Korité, la rumeur répandue dans la presse sénégalaise est en porte-à faux avec les propos tenus par S.E. Cheikh Prof. Alh. Dr, Yaya AJJ. Jammeh dans son message d’unité et de meilleur vœu adressé au peuple gambien. Par ailleurs, le Président gambien a exhorté sa population au respect de l’observation du croissant lunaire et à se conformer à la décision prise par le Conseil supérieur Islamique Suprême à savoir que la Prière d’Aid-Al Fitr doit être célébré le lundi 28 Juillet 2014, en conformité avec l’observation du croissant lunaire en Gambie et dans le reste de la sous-région.
Depuis 20 ans, il trône sur la Gambie comme un souverain absolu. Des membres de la diaspora gambienne soutenus par des organisations de la société civile sénégalaise s’organisent pour mettre fin à la violation des droits de l’Homme par le régime de Yahya Jammeh. Dans une déclaration conjointe, ils dénoncent l’impunité qui sévit depuis 20 ans en Gambie.
Il est inamovible. Dans quelques jours, l’actuel pouvoir gambien aura 20 ans qui ont résisté à toutes les pressions de la communauté des droits de l’«hommiste». Mais Jammeh tient son minuscule pays d’une main ferme. Le 22 juillet 1994, le lieutenant Yahya Jammeh, à la tête d’un groupe de militaires, renversait le Président Daouda Diawara et accédait au pouvoir. Depuis cette date, la Gambie est sous le «joug» de ce militaire «parano». Entre violation des «droits de l’Homme» et traque des hérauts de la «démocratie», Jammeh régente son régime d’une main de maître.
Ce qu'on sait aujourd'hui de cette seconde ville de la Gambie après la capitale Banjul, c'est qu'elle reçoit depuis 1995 et tous les ans, l'un des plus grands évènements culturels de la sous-région : «The Janjanbureh cultural festival» consacré essentiellement aux questions d'initiations, de cultures, et des rythmes dans l'univers mandingue. Fondée en 1832, dans la grande île du même nom, la petite cité fluviale, qu'on atteint grâce à un bac, est devenue un lieu de visite de la mémoire des cultures du Sud et également un des centres les plus actifs du tourisme en Gambie. Janjanbureh ne s'arrête pas à cela. Grâce à un député gambien, Foday Manka, la ville a renoué avec son histoire sur la circoncision et la place de l'initiation des jeunes à travers la sortie du Kankourang.
Benin-based Songhai Center, an innovative project that specialises in the areas of training, production, research and development in agricultural entrepreneurship and agribusiness, is expected to extend its operations to The Gambia.
This was confirmed Wednesday by the founder and director of the Center, Father Godfrey Nzamujo, who met behind closed-doors with the president of the Republic, His Excellency Sheikh Professor Alhaji Dr. Yahya Jammeh at State House in Banjul.
iGFM- (Dakar) Selon le journal Enquête, la diaspora gambienne est plus que jamais décidée à pourrir la vie au Président Yaya Jammeh, partout dans le monde, puisque ce n’est pas possible à Banjul du fait de la farouche répression. Lors du récent sommet Afrique/Etats-Unis, des activistes gambiens vivant au pays de l’oncle Sam se sont montrés incisifs à l’endroit de leur président. Pendant 10 tours d’horloge, Jammeh a été contraint de rester à l’intérieur de son hôtel. Ce qui l’a ainsi empêché de participer à l’ouverture du sommet du 4 août dernier. Ce sont finalement les services secrets américains qui l’ont exfiltré par une porte dérobée de l’hôtel, selon notre confrère
Au cours d’un panel au siège du Warc tenu hier, les Ong de droits de l’Homme ont mis à nu les «dérives» de Yahya Jammeh et de son régime, qui durent depuis 20 ans. Assassinats, arrestations arbitraires de journalistes, menaces de mort, actes de torture sont autant d’exemples convoqués par les panélistes pour montrer le climat obscurantiste qui prévaut en Gambie.
Au moment où le Président de Yahya Jammeh célébrait hier ses 20 années de pouvoir en Gambie, des structures de défense des droits de l’Homme comme Amnesty international, Article 19 et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho), appellent les autorités gambiennes à cesser les «dérives». Parmi elles, les arrestations arbitraires de journalistes, très fréquentes dans ce pays.
Le refus du Président Yahya Jammeh d’autoriser l’inhumation de Bouba Baldeh en terre gambienne a complètement révulsé les organisations de défense de droits de l’Homme qui se sont prononcés à travers un communiqué. Dans un texte conjoint où ils ont consigné leur indignation, la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh), Amnesty international section Sénégal (Ai/Sn), Article 19 Sénégal/Afrique de l’Ouest et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) rappellent «que le droit à une sépulture digne est un droit inébranlable et inaliénable pour toute personne humaine.»