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RAMADANESQUE - Observation du mois de Ramadan par les diabétiques : Santé... de la foi

Ils tiennent à observer le jeûne au prix de leur santé. Les diabétiques tiennent à leur foi en mettant même en péril leur équilibre sanitaire extrêmement fragile. Mais, les médecins déconseillent fortement l’observation de la diète à certains diabétiques qui peuvent sombrer dans le coma.  La plupart n’en ont cure : ils font passer Dieu avant leur vie malgré les conseils persistants des médecins. Ce qui fait que le taux de fréquentation du centre Marc Sankalé explose en cette période de l’année.

Il est aussi béni que redouté. Le Ramadan, qui emplit les cœurs de biens faits, est une période qui met à nu les fragilités sanitaires des musulmans qui tiennent à accomplir ce pilier de l’Islam. Car, il n’est donné à tous les fidèles de jeûner ses 30 jours.  A l’image des diabétiques. 

PREVENTION - Maladies chroniques et Ramadan : Pour de bons comportements alimentaires

Les diabétiques de type 1, très dépendants de l’insuline, ne doivent pas jeûner, au risque de faire une hypoglycémie, avec tout ce qu’elle peut engendrer comme conséquences. Tout comme les personnes souffrant d‘hypertension devraient ajuster leur prise de médicaments ou s’abstenir de jeûner, si le médecin le leur conseille. Voilà entre autres conseils distillés hier, par des spécialistes, au cours de Jotaayu Sneips.

Le Ramadan et la chaleur du mois de juillet : De bonnes pratiques alimentaires conseillées

Le mois de Ramadan rime souvent avec une alimentation déséquilibrée dans les familles qui observent le jeûne. Le ministère de la Santé, à travers le Service national de l’éducation et de l’information pour la santé (Sneips), a ainsi publié un communiqué dans lequel, il promeut les bonnes pratiques alimentaires, surtout durant cette période estivale.

Dans le document parvenu vendredi à la Rédaction, les services de Awa Marie Coll Seck indiquent : «Cette année, le mois béni du Ramadan coïncide encore avec la chaleur et la canicule du mois de juillet.

ALERTE - Conséquences de la malnutrition au Sénégal : 93 enfants meurent chaque jour

Les enfants de moins de cinq ans continuent de mourir. Et pourtant, ces décès pour la majeure partie sont évitables. Le ministère de la Santé qui a lancé hier, la campagne de survie de l’enfant (prévue du 19 au 22 juin), envisage d’intégrer gratuitement un Paquet de services comportant la «supplémentation» en vitamine A, le déparasitage, le dépistage de la malnutrition, et la vaccination pour les enfants âgés de 0 à 59 mois dans les prestations de soins quotidiens dans les structures de santé.

Coronavirus : le commissaire général rassuré par les mesures édictées par Riyad

Coronavirus : le commissaire général rassuré par les mesures édictées par Riyad

 2014-07-04 17:24:26 GMT

Dakar, 4 juil (APS) - Le ministère saoudien du Hajj a édicté des mesures préventives contre le coronavirus, a indiqué vendredi le commissaire général au pèlerinage, El Hadji Amadou Tidiane Dia, estimant qu'à l'image de l'année dernière, il ne devrait pas y avoir de problème pour les pèlerins sénégalais.

Premiers secours aux malades : Les Urgences aux urgences

Le ministère de la Santé et de l’action sociale a tenu hier une séance de formation pour sensibiliser le public sur les gestes qui sauvent en cas d’accident et le personnel de santé à mieux prendre en charge les cas d’urgence.

La prise en charge des urgences est une véritable pandémie. Il est connu que dans ce pays les nombreux accidents de la circulation, ajoutés à l’éloignement des hôpitaux et structures de santé, provoquent des taux de mortalité assez élevés. Premier témoin et secouriste potentiel, le public ignore évidemment les règles élémentaires pour assister les victimes. Les autorités veulent investir dans ce secteur pour davantage sauver des vies. 

Coronavirus et pèlerinage en Arabie saoudite le Sénégal active la surveillance sanitaire depuis quelques jours

A moins d’un mois de la Oumra, prévue au mois juillet prochain,  soit à deux mois du grand pèlerinage à la Mecque, des signes d’inquiétude proviennent d’Arabie Saoudite du fait du coronavirus, une maladie  dangereuse qui tue une personne atteinte sur trois. Signalé depuis quelques temps, il a  fait quelque 300 morts, selon des chiffres publiés par voie de presse. Face à cette épidémie mortelle, les autorités sanitaires sénégalaises disent avoir  activé le système de surveillance  épidémiologique sur les sujets en provenance du royaume wahhabite. Elles affirment que des dispositions de prévention générale ont été  prises depuis une dizaine de jours.  

MEDECINE TRADITIONNELLE - Manque d’organisation du secteur : L’Organisation ouest-africaine de la santé préoccupée

La médecine traditionnelle est la première ligne de soins des Africains. Des estimations donnent même à 75% le nombre d’Africains qui font recours à cette forme de médecine. Ce qui ne laisse pas indifférente l’Organisation ouest-africaine de la santé (Ooas) qui trouve qu’il est temps d’organiser le milieu et de mettre des dispositions législatives adéquates, pour l’assainir, afin de mieux répondre aux exigences de sécurité au profit des usagers.

Le directeur de la Santé à propos de la propagation du virus à Ebola en Guinée : «La fermeture de la frontière n’est pas à l’ordre du jour»

Le Sénégal ne va pas fermer ses frontières avec la Guinée Conakry malgré la persistance du virus Ebola dans ce pays. «La fermeture n’est pas à l’ordre du jour», a dit Pape Amadou Diack, directeur général de la Santé sur un ton ferme en marge de la cérémonie de lancement de la Campagne de survie de l’enfant. Pourtant récemment, l’Organisation mondiale de la santé (Oms) a attiré l’attention des pays voisins de la Guinée sur la propagation du virus Ebola dans ce pays. «Nous avons constaté que l’épidémie à virus ébola continue à se développer en Guinée en Sierra Léone et au Libéria.

Sénégal - Contre la drépanocytose néo-natale : Les acteurs pour une loi imposant le test prénuptial

L’Association de lutte contre la drépanocytose et les médecins traitant de cette pathologie ne veulent plus enregistrer de nouveau-nés drépanocytaires. Ils ont lancé ce cri de cœur hier, au cours d’une conférence de presse, en prélude à la journée mondiale de la drépanocytose. Les patients et leurs médecins ont plaidé pour l’instauration d’une loi obligeant le test prénuptial, seul moyen d’éviter la transmission de l’hémoglobine rouge, vecteur de la pandémie, dont le taux de prévalence est de 10% au Sénégal.