Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

14
Mar, Mai
0 Nouveaux Articles

Sexe, fric et célébrité: Pourquoi les danseuses sénégalaises se détestent

SOCIÉTÉ
Outils
Vos reglages
  • Plus petit Petit Moyen Grand Plus grand
  • Default Helvetica Segoe Georgia Times

Fast backlinks and Guest-post hosting

 

peopleC’est presque la routine dans le monde du spectacle où ce ne sont plus les musiciens qui font le buzz de l’actualité, mais biens des danseuses, ces nouvelles célébrités du jet set Dakaroise, adulées par un public qui se recrute à travers tous les âges et toutes catégories socio-professionnelles. Avec surtout, des Tassoukates » qui font le bonheur des habitués des nuits chaudes de Dakar du côté des Almadies où les soirées sénégalaises font courir un public nombreux et friand de sexe. Car, selon le magazine Icône, lors de ces soirées, l’on ne s’ennuie jamais.

Des filles prêtes à tout pour se faire la reine d’une soirée et faire le buzz d’une certaine presse qui leur permet, sans coup férir, de se trouver de généreux amants qu’elles plumeront avant de s’attaquer à d’autres. Ces nouvelles stars ont comme noms : Dada Pathial, Ndèye Guèye, Ounmou Sow, Katy Dièye, Mbathio Ndiaye, etc, pour ne citer que les plus célèbres.

Rendues tristement célèbres par la fameuse affaire du nom de « Guddi Town », certains de ces jeunes filles, qui auraient dû se faire oublier, ont repris du poil de la bête jusqu’à ravir la vedette à des célébrités. Selon une habituée des soirées sénégalaises, « elles ont réussi à renvoyer les hommes de ces lieux, les chorégraphies de ces messieurs n’intéressent plus le public ». Et, c’est là qu’elles tirent leurs revenus puisque certains messieurs n’ont d’yeux que pour ces filles.

La plus part d’entre elles étant issues de milieu modeste, certains mènent un train de vie digne de grands seigneurs. Et même si elles ne le disent pas, confie notre interlocutrice, elles vivent au crochet de gens bien nantis qui les courtisent de façon discrète, obnubilée qu’ils sont par leurs savantes chorégraphies en public. « A la fin de ces soirées, elles sont toujours entourées d’hommes avec qui elles échangent leurs contacts. En fait, elle demeurent les reines de ses soirées », narre une autre fille qui a dû laisser tomber la danse à cause des pressions de ses parents. 

SOURCE: LERAL