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Mar, Avr
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Afficher les éléments par tag : Russie

(rfi.fr)- Iounous-bek Bamatguireïevitch Evkourov, vice-ministre russe de la Défense, conduit une délégation militaire à Benghazi, à l’invitation de l’Armée nationale libyenne (ANL) du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’est libyen. Une occasion pour la Russie de réaffirmer ses liens avec l’ANL.

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Dans son offensive de reconquête du continent africain, la Russie n’a pas oublié le domaine des médias qui est stratégique pour promouvoir ses actions. En effet, un certain nombre d’accords de partenariats ont été signés entre la chaîne nationale russe, Russia Today et plusieurs médias africains, dont Africa24, au sommet Russie-Afrique 2023. Ceci pour partager les informations des deux côtés, mieux servir les audiences et rehausser l’image de l’Afrique et de la Russie sur la scène mondiale, selon les dirigeants de médias. 

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Un certain nombre d'observateurs soulignent l'imprudence de Volodymyr Zelensky, qui a accusé précipitamment la Russie d'avoir frappé le territoire polonais alors qu'il s'agirait d'un missile ukrainien, attisant les risques d'escalade du conflit. Les accusations précipitées contre la Russie du président ukrainien Volodymyr Zelensky après la chute d'un missile en territoire polonais interpellent un certain nombre d'observateurs, inquiets de voir le chef d'Etat pousser à une dangereuse escalade du conflit avec tant de légèreté. Quelques minutes seulement après la chute du missile qui a fait deux morts, le 15 novembre à Przewodów, Volodymyr Zelensky s'est en effet empressé d'accuser la Russie d'avoir frappé la Pologne – un membre de l'OTAN –, appelant à une réaction. «La terreur ne se limite pas à nos frontières nationales. Des missiles russes frappent la Pologne. Frapper le territoire de l'OTAN avec des missiles. [...] C'est une attaque de missiles russes contre la sécurité collective ! C'est une escalade vraiment significative. Nous devons agir», a-t-il ainsi déclaré.

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Les autorités nigériennes ont décidé de poursuivre leur coopération militaire avec la Russie. Le gouvernement justifie cette décision par le fait que cet échange est « bénéfique » au pays. Pourtant, sur le continent, la présence russe commence à poser de sérieux problèmes.

Le ministre nigérien de la Défense nationale, Alkassoum Indatou, a accordé, mardi, une audience à l’ambassadeur de Russie au Niger, Igor Gromyko. Ce dernier était accompagné du chef de la mission militaire russe dans ce pays d’Afrique de l’Ouest, relève Anadolu. « La rencontre s’est tenue en présence notamment du secrétaire général du ministère de la Défense nationale et du chef d’état-major des armées », ont précisé les autorités nigériennes.

Une coopération militaire « bénéfique » pour le Niger

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La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a fait savoir que la Russie s'était plainte de «l'incitation inacceptable à l’hystérie antirusse» auprès de l'ambassadeur de Pologne, convoqué ce 16 novembre à Moscou. Le chargé d’affaires par intérim de Pologne en Russie, Jacek Sladewski, a été convoqué au ministère russe des Affaires étrangères ce 16 novembre, au lendemain de la chute d'un missile sur le territoire polonais qui a fait deux victimes civiles.

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La diplomatie russe s'est félicitée du dépôt par Alger d'une demande d'adhésion au groupe composé du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, y voyant l'opportunité d'approfondir des relations déjà cordiales. La Russie s'est félicitée le 8 novembre, par la voix de l’adjoint au ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov, de la volonté de la partie algérienne d’adhérer au format BRICS, l'acronyme des cinq pays qui forment actuellement le groupe, à savoir le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. Alger a officiellement demandé son adhésion le 7 novembre.

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Esmaïl Khatib, le ministre iranien des Renseignements, a reproché au Royaume-Uni de vouloir déstabiliser le pays en menant des acte de «propagande», avertissant que «le Royaume-Uni paiera pour ses actions visant à déstabiliser l'Iran». Le ministre iranien des Renseignements, Esmaïl Khatib, a accusé le 9 novembre le Royaume-Uni de mener des actions visant à déstabiliser la République islamique, dans le contexte des manifestations déclenchées par la mort de Mahsa Amini. «Concernant les événements récents, l'implication des Britanniques dans la propagande et du régime saoudien dans le financement [des manifestations] est plus qu'évidente», a affirmé le ministre, cité par l'agence publique Irna.

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A quelques jours des élections de mi-mandat, le conseiller à la sécurité nationale du président américain Joe Biden a affirmé lors d'une visite surprise à Kiev qu'il n'y aurait «pas d'affaiblissement du soutien» des Etats-Unis à l'Ukraine. Proche conseiller de Joe Biden, Jake Sullivan s'est rendu le 4 novembre à Kiev pour une visite surprise. Dans la capitale ukrainienne, il a rencontré Volodymyr Zelensky et le ministre de la Défense Oleksiï Reznikov pour exprimer, selon la Maison Blanche, le «soutien inébranlable» de Washington face à l'opération militaire russe. 

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Convoqué au ministère russe des Affaires étrangères, l'ambassadeur britannique s'est vu présenter des preuves du soutien de son pays à la préparation de l'attaque ukrainienne menée contre la flotte de la Mer noire. Londres dément. Le ministère russe des Affaires étrangères, qui avait convoqué le 3 novembre Deborah Bronnert, ambassadeur du Royaume-Uni à Moscou, a exprimé une «vive protestation» auprès de la représentante britannique et lui a présenté de manière détaillée les informations collectées au sujet de sa participation dans «l’attaque terroriste» perpétrée le 29 octobre contre des navires de la flotte de la mer Noire à Sébastopol. Moscou avait indiqué, malgré de vigoureux démentis britanniques, disposer d'éléments tangibles à propos du soutien apporté par Londres à l'opération menée par les forces ukrainiennes. Selon le ministère des Affaires étrangères, des spécialistes militaires britanniques ont donc contribué «à la formation et à l’approvisionnement des unités des forces d’opérations spéciales ukrainiennes, notamment pour organiser des actes de sabotage en mer».

Ce partenariat entre les forces armées des deux pays remonte d'ailleurs, selon Moscou, à septembre 2020, lorsque Londres et Kiev ont conclu un accord sur «l’extension du programme de formation des marins-plongeurs ukrainiens par des instructeurs britanniques». Dès la fin 2020, les deux pays auraient ainsi commencé à mettre en œuvre un programme de lutte contre les menaces en mer Noire baptisé «Initiative de formation des forces navales ukrainiennes», comprenant des sessions de formation de nageurs de combat. Des exercices se seraient ainsi tenus sur la côte et dans les eaux de la mer Noire, près des villes d’Odessa, de Nikolaïev et d’Otchakov, avec la participation d'instructeurs britanniques, et incluant «un exercice de destruction d’une installation par explosif».  Plus récemment, en août et en septembre 2022, une quinzaine d'instructeurs militaires britanniques auraient formé des membres des forces armées de Kiev à «la conduite de drones sous-marins destinés à détruire des navires». Ces exercices se seraient déroulés sur l’île de Pervomaïsky, située dans les eaux de l’estuaire du Dniepr, à quelques kilomètres au sud de la ville d’Otchakov. De surcroît, Moscou évoque la livraison d'«une certaine quantité de drones sous-marins» de la marine britannique à la partie ukrainienne Moscou exige un arrêt immédiat des «provocations» britanniques «Il a été souligné que de telles provocations hostiles étaient inacceptables et il a été exigé qu'il y soit mis fin immédiatement», a indiqué le ministère des Affaires étrangères, sans préciser à ce stade si des sanctions seraient adoptées à l'encontre de Londres. Le Royaume-Uni a cependant été formellement mis en garde concernant des actions de ce type, «qui risquent de mener à une escalade de la situation» et pourraient entraîner «des conséquences imprévisibles et dangereuses». Le Kremlin avait également accusé le Royaume-Uni d'être à l'origine des explosions ayant endommagé en septembre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, construits pour acheminer du gaz russe en Europe. Londres plaide non coupable Sur les deux volets, les autorités britanniques ont rapidement rejeté les accusations de Moscou, qualifiées de «fausses affirmations d'une ampleur épique» dont le but n'était que de «détourner l'attention de sa gestion désastreuse de l'invasion illégale de l'Ukraine». Le Royaume-Uni apporte un soutien constant à Kiev depuis le début du conflit, détériorant encore plus des relations déjà mauvaises avec Moscou.


SOURCE: En savoir plus sur RT France : https://russieactuelle.fr/international/102144-royaume-uni-reprimande-par-russie-attaque-sebastopol

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D’une culture encyclopédique, Gérard Chaliand a abordé tous les sujets de fond de notre époque. À l’heure de publier ses mémoires, il éclaire les crises et conflits mondiaux du réalisme de ses valeurs. Une discussion avec Hichem Ben Yaïche et Nicolas Bouchet.

Agé aujourd’hui de 88 ans, vous avez écrit 80 livres et avez publié vos mémoires récemment aux éditions L’Archipel, Le Savoir de la peau. Pourquoi ce titre ?

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