« Politique ? Po la tiggi ! » entend-on dire parfois « La politique, c'est vraiment un amusement, un jeu. » C'est ainsi que je tenterai de traduire, laborieusement et sans la fine saveur de certaines tournures de nos langues nationales, l'expression ouolof «po la tiggi » . Elle joue en effet, et à bon escient, avec les sonorités du mot « Politique » en français pour le tourner en dérision une fois mis à la sauce du cru.
Présidentielle 2019 - Halte à la violence au Sénégal
Le président Abdoulaye Wade, un ‘’catalyseur providentiel’’ de l’incontournable dialogue politique ? oui, s’unir ou périr !!!

Le président Abdoulaye Wade, un ‘’catalyseur providentiel’’ de l’incontournable dialogue politique ? oui, s’unir ou périr !!!
Sept ans après sa chute du pouvoir, l’énigmatique Président Abdoulaye WADE revient sur la scène politique avec une étonnante vigueur, surprenant véritablement la quasi-totalité des observateurs et experts (politologues, sociologues, psychologues, etc.) ;
Sénégal, un pays vraiment à l’envers
Le 26 avril 2017, je faisais publier à ‘’Sud quotidien’’ une contribution avec pour titre : « Sénégal, le pays de tous les possibles ». Ce Sénégal-là n’a malheureusement pas évolué ou, s’il l’a été, c’est dans le mauvais sens. Il est aujourd’hui carrément à l’envers avec, en particulier, la tournure que prennent de plus en plus les événements, notamment celui ayant trait à cette Affaire de 94 milliards francs CFA.
La solution de toutes les crises passe par la mission du mahdi (retour de jésus fils de marie) - un “tsunami politico-religieux” par Docteur Mouhamadou Bamba Ndiaye
Cliquer sur le lien suivant : https://drive.google.com/file/
En vérité, le Prophète (PSL) nous a légué un message complet et éternel ; et entre autre, tout ce qui arrivera jusqu’à la fin du monde - tant les maux (crise spirituelle) que les remèdes, dans de très nombreux hadiths authentiques. Ainsi, les oulémas qui sont ses héritiers et serviteurs n’ont véritablement rien apporté de nouveau ; ils n’ont fait, en vérité, que rappeler ce message, parfois sous d’autres formes plus adaptées et plus accessibles à leurs communautés respectives.
Me Abdoulaye Wade entre la chaise vide et la chaise pulvérisée (Par Babacar Justin Ndiaye)
La déclaration du Président Abdoulaye Wade est un cocktail molotov politique qui brûle subitement tout le processus électoral. Le vocabulaire de feu soigneusement choisi et la menace sans voile rappellent que le Leader du PDS (Doyen de la classe politique sénégalaise) reste un « monstre sacré » et un animal politique très mordant. Maitre Wade ne préconise pas la politique de la chaise vide mais celle de la chaise pulvérisée. Autrement dit, il opte pour le boycott infernal « d’une élection entièrement fabriquée par Macky Sall », selon ses mots.
Ousmane Sonko : « Tous pourris » sauf lui ? (Par Oumou Wane)
On espérait enfin entrer dans le fond des sujets et des programmes, mais voilà plutôt qu’on touche le fond de la campagne avant même d’y entrer.
Il faut dire que fidèle à son credo : le radicalisme anti-système, le député Sonko, ex-inspecteur des impôts tire sur tout ce qui bouge le temps d’un meeting ou d’une interview, puis il disparaît dans sa tanière tel le sniper, sans prendre le temps t’étayer ses accusations, ni de répondre à ses accusateurs.
Un soutien décisif à Ousmane Sonko pour parachever notre démocratie et notre indépendance nationale !!! par Docteur Mouhamadou Bamba Ndiaye

Un soutien décisif à Ousmane Sonko pour parachever notre démocratie et notre indépendance nationale !!! par Docteur Mouhamadou Bamba Ndiaye
Sénégal - Grave erreur de compréhension de la parité qui ne doit pas être passe-partout
La thèse d’Aïda Mbodj relative à parité et, à l’absence de femme parmi les candidats de la présidentielle de 2019 est un amalgame dangereux et hors sujet dans le cas présent. À propos de parité, il faut savoir raison garder en faisant la part des choses pour ne pas tomber dans un excès de dérapage qui risque de ne plus respecter la valeur intrinsèque du citoyen et de l’égalité des chances de chaque citoyen indépendamment de son genre, lorsqu’il s’agit de compétition entre les citoyens.
O Sénégalais, debout! (par Pathé Gueye-Montréal)
Debout, frères, voici l'État de droit profané
Debout, sœurs, voici le Sénégal martyrisé
Le passé ne revient plus, le passé ne revient plus!
Et ces Sages-ennemis bafouent notre dignité et nos acquis
Soyons tous prêts pour un imminent et salutaire sursaut patriotique
Un peuple fier dans ses nobles croyances défiant tous les malheurs.
O Sénégalais, debout!
La gagnante de la palme d’or 2019 des transhumants, Aïssata Tall Sall
Qu’ils s’en aillent tous ! Celle qui a remporté la Palme d’or 2019 des transhumants, AISSATA TALL SALL doit impérativement nous dire combien a-t-elle empoché pour cet acte indigne, injuste et injustifié ?
-N’est ce pas AISSATA TALL SALL qui disait : « qu’il fallait combattre et interdire l’apologie de la transhumance en établissant des valeurs et principes dans l’atmosphère politique du Sénégal »?
-N’est ce pas La gagnante de la palme d’or 2019 qui disait au meeting des socialistes de la médina en juillet 2016 : « qu’elle est l’amie et la sœur de KHALIFA ABABACAR SALL et partage avec ce dernier des idées d’aller à l’assaut de la reconquête du pouvoir » ?
Macky Sall - Ce président-politicien nous en fera voir de toutes les couleurs !
« Alal bumu la jaral sa ngor, yabbi diko lekkaat, as gor duko def, dañoo wara maandoo »
J’ai utilisé ces mots de la très regrettée Ndèye Marie Ndiaye Gawlo au beau milieu de la première page de mon livre ‘’Le clan des Wade : accaparement, mépris, vanité’’, L’Harmattan, Paris, juin 2009.
La perpétuelle illusion électorale au Sénégal ( Pathé Gueye-Montréal)
«Un dispositif textuel est, si sophistiqué soit-il, insuffisant pour garantir la stabilité constitutionnelle, il faut aussi d’autres facteurs y contribuant comme la vigilance du juge. En effet, dans les pays en gestation démocratique où les lois deviennent « de moins en moins l’expression de la volonté générale» et «plutôt de circonstance et de complaisance», le juge constitutionnel doit, à certains moments critiques, par la mise en branle de son pouvoir d’interprétation inhérent à l’office de juger, faire montre de hardiesse et d’ingéniosité pour limiter le pouvoir politique lorsque ce dernier est tenté d’utiliser la Constitution pour pervertir les principes du constitutionnalisme. C’est aussi à ce prix qu’il pourra, dans ce continent, qui «oscille entre une marche chaotique vers la démocratie et les régressions chaotiques en proie aux conflits», jouer son rôle de pédagogue de la démocratie, de garde-fou des institutions et, en définitive de juge de la paix».