Nos chefs religieux ont été très certainement abusés par le pouvoir temporel - qu'ils se ressaisissent donc, car le temps de la dé- laïcisation a sonné !!!
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Le Référendum sur les réformes constitutionnelles a suscité beaucoup d’incompréhensions et d’appréhensions par rapport à l’intégrité morale de la plupart des chefs religieux qui se sont prononcés favorablement, alors que le débat sur la laïcité était entrain de faire des avancées notoires ; sans compter les suspicions à propos de l'homosexualité. Personnellement, je pense comme beaucoup d’autres qu’ils ont été abusés par le pouvoir temporel. Oui, s’ils avaient écouté cette déclaration du Président Macky SALL ‘légalisant’’ l’homosexualité au Sénégal, ils n’auraient jamais béni cette constitution inspirée de l’idéologie franc-maçonnique ; ils ont été très certainement abusés par leur entourage pour des raisons bassement matérialistes. Et certes, l’État a effectué des réalisations dans les cités religieuses, mais elles sont vraiment insignifiantes par rapport aux conséquences néfastes de laïcité que nos hommes politiques ont instaurée dans notre pays depuis notre accession à l’indépendance et perpétuée jusqu’à ce jour.
La dimension économique serait-elle plus importante que l’apport culturel pour le développement de la culture au Sénégal ? C’est la question qui est ressortie d’une rencontre réunissant divers acteurs culturels à Kër Thiossane. L’impact économique de la culture est réel, mais pas assez mis en avant. Babacar Ndiaye a appelé les organisateurs de manifestations à mesurer leur impact économique.
Son ouverture est prévue en novembre prochain, dans la capitale sénégalaise. Le musée des civilisations noires de Dakar, situé à mi-chemin entre la gare routière Dakar-Niger et le Grand théâtre national de Dakar construit sous l’ère Wade, fait partie de sept merveilles du Sénégal, initiées par l’ancien président et père de l’alternance au Sénégal. Mais Abdoulaye Wade, qui a permis la matérialisation de ce projet culturel d’envergure, ne verra pas son nom figurer dans la communication officielle du musée. C’est le nom de l’ancien chef de l’État et premier président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor, qui lui a été préféré, par les autorités de l’État dirigé par Macky Sall.(31).jpg)
Babacar Ngom, juge Tribunal d’Instance Hors classe de Dakar, Edition L’Harmattan, Décembre 2015, Paris. (52).jpg)
La journée d’études d’hier, mercredi 24 février à la Maison de la Culture Douta Seck, a surtout permis de faire le point sur toutes les dispositions légales qui entourent la pratique des arts visuels. Que ce soit le texte sur le patrimoine artistique privé de l’Etat, la loi du 1% ou le Fonds d’aide aux artistes et au développement de la Culture, qu’a-t-on fait de ces instruments ? Avec à sa tête le peintre Viyé Diba, la Plateforme des arts visuels au Sénégal (Pavs), qui se réserve le droit de porter plainte contre X, veut mettre en place une structure de contrôle, pour l’application stricte de ces dispositions-là ». (17).jpg)
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