Cheikh Anta Diop est parti avec son vœu de voir l’Afrique unie dans le cadre d’un Etat fédéral. Cependant, cet aspect peut être considéré comme la face visible de l’iceberg, car aujourd’hui l’œuvre du savant est quasi-inconnue du grand public. 30 ans après sa mort, Le Quotidien a donné la parole à certains de ceux qui l’ont pratiqué afin de donner des pistes qui pourraient transformer les rêves de l’Egyptologue en réalité.