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Dim, Mai

C’est un camouflet pour Ndjamena : La chambre d’accusation des Chambres africaines extraordinaires a déclaré irrecevable la constitution de partie civile de l’Etat tchadien. Elle confirme ainsi la décision rendue en première instance par la chambre d’instruction des CAE.

Dans un communiqué, les avocats des victimes de Hissein Habré expliquent que la chambre d’accusation fonde son rejet sur le motif que le crime de pillage n’étant visé ni dans le réquisitoire introductif ni dans l’inculpation posée par la chambre d’instruction.

Israéliens et Palestiniens sont parvenus à un accord de cessez-le-feu "illimité" dans la bande de Gaza pour mettre fin à cinquante jours de conflit entre le Hamas et l'Etat hébreu dans la bande de Gaza, annonce mardi 26 août Le Caire qui pilote depuis plusieurs jours les négociations pour une accord entre les belligérants. L'information avait déjà été annoncée plus tôt dans la journée par des responsables du Hamas, puis confirmée par Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité Palestinienne. Elle a été corroborrée par l'Etat hébreu. Le cessez-le-feu entre en vigueur à 18 heures, heure française.   

INTERNATIONAL - L'histoire se répète. Abubakar Shekau, chef des insurgés islamistes de Boko Haram qui infligent défaite sur défaite à l'armée nigériane, a proclamé à son tour, dimanche 24 août, la création d'un califat islamique à Gwoza, une ville du nord-est du Nigeria. "Allah nous a donné la victoire à Gwoza", qui fait "partie du califat islamique", déclare Shekau dans une vidéo de 52 minutes. Boko Haram s'est emparé de Gwoza en août.

Alors que Boko Haram se rapprochait ces dernières semaines de son objectif de créer un califat dans le nord du Nigeria, des experts estimaient pourtant que la situation n'était pas la même qu'en Irak, où les djihadistes de l'EIIL (devenu Etat islamique)ont proclamé la naissance d'un califat islamique fin juin, et que les islamistes de Boko Haram n'avaient pas la partie gagnée. Il existe pourtant des similitudes entre les deux groupes.

Dakar abrite depuis hier, mardi 19 août, un atelier de communication sur la biotechnologie moderne et la biosécurité agricole. Organisé par l’autorité nationale de biosécurité (Anb), en collaboration avec la fondation du Conseil international d’information sur l’alimentation (Ific) et le département américain de l’Agriculture (Usda), cette rencontre qui réunit outre des décideurs politiques et régulateurs sénégalais, des représentants de neuf autres pays africains, vise le partage des informations sur les avantages des biotechnologies dans l’accroissement de la productivité et de la compétitivité agricole. 

Pour justifier des transferts de fonds saisis, les dirigeants de la banque centrale de la République de Guinée expliquent qu’elles ont l’habitude d’opérer régulièrement ce genre de transaction. C’est leur droit. Ce n’était pas en leur pouvoir de dire qu’ils avaient contacté les douanes sénégalaises, alors qu’ils n’ont pu en apporter la preuve. Mieux, les justificatifs qu’ils présentent, les enfoncent encore plus.

 

La psychose suscitée par le virus Ebola atteint parfois des records d’absurdité. Les raccourcis, les incompréhensions et les confusions alimentent l’inquiétude à l’étranger... qui peut rapidement se transformer en afrophobie, voire en racisme pur et simple.

Les rumeurs concernant Ebola filent à toute vitesse et dépassent les frontières africaines. À l’étranger, certains n’ont visiblement pas compris que l’épidémie ne concernait que 4 pays sur les 54 du grand continent... faisant courir un autre risque, bien réel : celui d’ostraciser tous les Africains, sans exception. Tour d’horizon des décisions les plus irrationnelles prises par peur du virus.

Le Quotidien a reçu ce matin, à 1H00 du matin, alors que l’édition du jour était déjà bouclée, la note suivante, de la part des autorités de la Banque centrale de la République de Guinée (BCRG). Nous la publions sur le site Internet, avant de revenir plus largement dans l’édition papier.

«Un article aurait paru ce samedi 23 octobre dans les colonnes du « Quotidien » (un journal Sénégalais), faisant état de la saisie de 4 milliards de francs CFA qui appartiendraient au Président Alpha CONDE.

La Banque Centrale de la République de Guinée, en démentant avec la dernière énergie une telle affirmation, apporte dans ces lignes les précisions qui s’imposent.

Un Algérien de 51 ans qui devait prendre l'avion pour être expulsé de France est mort jeudi soir d'une crise cardiaque survenue au cours de son transfert vers l'aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle, a-t-on appris vendredi de source policière.

Parti à bord d'un fourgon jeudi peu avant 19 heures du Centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, escorté par des policiers, "il a fait un malaise en arrivant à l'aéroport de Roissy", a assuré cette source. "En arrivant à Roissy, les policiers se sont aperçus qu'il était en train de faire un malaise dans le fourgon, et malgré les secours prodigués, il est décédé d'une crise cardiaque", a-t-elle précisé.

Selon les premiers éléments, le voyage s'est "semble-t-il" déroulé sans incident, selon cette source. Mais l'avocat de la victime, Me Sohil Boudjellal assure lui au contraire que le contexte de cette expulsion était "extrêmement tendu". "Il ne voulait pas se faire expulser, car toutes les voies de recours n'avaient pas été épuisées", a-t-il dit. "Le chef d'escorte, que j'ai eu au téléphone le jeudi soir, n'a rien voulu entendre et voulait quoi qu'il arrive procéder à l'expulsion. Il a été pris par la force. Il a probablement dû se débattre", a-t-il estimé. 


Nous venons d'apprendre le décès de cinq (05) de nos compatriotes en Espagne dans un terrible accident de voiture. La tragédie s'est produite selon nos sources dans la province de Castellon en Espagne.

Les victimes étaient âgées de 30 à 36 ans et résidaient en Espagne plus précisément à Vinaroz, à peine à 64 kilomètres du lieu où l’accident s’est produit.