
Entretien avec Mme Jacqueline Moudeïna, Présidente de l’ATPDDH : « Des sbires de Habré ont été repris dans le système Déby… »

Omar Top,beau frère du défunt Kader M'backé lâche ses vérités: "Je suis victime d'une cabale ourdie par des gens que j'ai formellement identifiés (...) Ces gens ne supportent pas encore que je réussisse la médiation pour le richissime Aliko Dangote
Que n'a t-on dit sur l'administrateur de "Top Distributions"? En effet, Omar Top, pour ne pas le nommer, a été traîné dans la fange pour une scabreuse affaire. Mais le prétoire de Dakar l'a finalement blanchi, et le plaignant, un certain Bassirou Diop, débouté.
Accrédité au Sénégal, au Cabo Verde et en Guinée-Bissau, Son Excellence Monsieur John Marshall occupe la fonction d'Ambassadeur de Grande-Bretagne à Dakar, depuis trois ans. En mission jusqu'au mois de juillet 2015, ce diplomate chevronné dresse ici le tableau d'un observateur avisé de la politique en Afrique et dégage des perspectives optimistes pour le continent, malgré les guerres et le contexte de crise internationale. Tout en accordant une attention particulière à la vie politique locale, au Plan Sénégal émergent, il rectifie une certaine vision francophone de la politique britannique en Afrique et se livre à un round-up édifiant qui dégage quelques axes de la présence britannique sur le continent.. Entretien….
Directeur de la Réglementation et de la Coopération internationale à la Direction générale de la Douane, le colonel Guidado Sow revient ici sur la contrefaçon et la difficulté à chiffrer les pertes qu’elle engendre. Il s’est exprimé aussi sur la fraude sur les médicaments. Et c'est pour affirmer qu'il ne revient pas à la Douane d'arrêter les vendeurs de médicaments dans la rue.
Quelle valeur représente la contrefaçon dans l’économie nationale ?
On parle de 10% des importations. C’est une estimation. Ça peut être plus, ça peut être moins. Je crois plus que moins. Et ça dépend des produits. Il y a des produits sur lesquels il n’y a pas du tout de contrefaçon. Mais il y a des produits sur lesquels il y a beaucoup de contrefaçon.
Alors que les élections locales approchent à grand pas, le Cadre de recherche et d’action sur les violences politiques a pris les devants. Née il y a quelques mois, cette structure organise, depuis hier, un symposium sur cette question. L’objectif est d’identifier les ressorts de la violence politique notamment en période électorale et d’y apporter les réponses appropriées. Présidant la cérémonie d’ouverture, le Pr Amsatou Sow Sidibé a fustigé la rhétorique de plus en plus violente des acteurs.
Le symposium sur les affaires publiques militaires et les médias, organisé par le commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (Usafricom) qui est un des six commandements géographiques au sein du département de la Défense (Pentagone), s’est déroulé du 12 au 16 mai 2014 à Garmisch, en Allemagne. Une table ronde entre le commandant de l’Usafricom, depuis le 5 avril 2013, David M. Rodriguez, et la vingtaine de journalistes venue d’une dizaine de pays africains (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Ethiopie, Gabon, Guinée, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) a mis fin à ces assises très instructives. « Nous ne faisons rien en Afrique sans l’approbation de la nation et la demande du gouvernement », a confie le général David Rodriguez. Du bilan de l’Usafricom après sept ans d’existence dans la lutte contre le trafic de drogue et le terrorisme, en passant par l’immigration clandestine, le premier responsable de l’Usafricom a, au cours de ce face à face avec la presse, répondu à toutes les questions sécuritaires en Afrique. « Gérer les défis demande des approches régionales. L’Usafricom permet à ses alliés et partenaires de renforcer leurs capacités et de les rendre performants pour gérer les défis de sécurité », affirme-t il avec force.
Connu pour être un Senghoriste passionné, un helléniste hors pair, doublement agrégé en grammaire et littérature classique, le professeur Oumar Sankharé n’en est pas moins un arabisant. Dans son dernier ouvrage : «Le Coran et la culture grecque», publié aux éditions L’Harmattan, il remet en cause l’ordre établi. Il essaye de démontrer que le Prophète de l’Islam n’est pas un illettré et que le Coran est imprégné de culture grecque car renfermant plusieurs aspects que l’on retrouve dans les œuvres de Platon et Parménide. Une thèse qui a déjà suscité des réactions passionnées. Mais l’homme de culture ne cherche pas autre chose, dit-il, que susciter le débat d’idées.
La directrice du Festival du cinéma africain de Cordoue (Espagne), Mane Cisneros, a plaidé, lundi à Dakar, pour ''la reconsolidation du cinéma sénégalais'', affirmant que celui-ci ''souffre encore d’un manque de visibilité sur la scène internationale''.
''Le manque de visibilité des films sénégalais est beaucoup ressenti sur la scène internationale du festival. Et c’est un cas particulièrement triste car le Sénégal est un pays qui a produit de grands titres du cinéma’’, a t-elle dit, en marge d’un atelier d’initiation à la critique cinématographique.