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Ven, Mai

L’adoption de la loi portant modification du code électoral à l’Assemblée nationale ce lundi dernier portant augmentation du nombre de députés de 150 à 165 dont 15 représenteront les sénégalais de la diaspora a occupé une grande partie de la réunion du Secrétariat Exécutif National de l’Alliance Pour la République (SEN) de ce jeudi 15 janvier. Occasion saisie pour Seydou Guèye & Cie de féliciter le président Macky Sall tout en oubliant pas d'inviter l’opposition à la raison. 

Après avoir reconnu sa défaite à l'élection présidentielle du 1er décembre, Yahya Jammeh a finalement annoncé qu'il ne quitterait pas le pouvoir et réclamé un nouveau scrutin. Les pressions diplomatiques n'ont rien changé. Pour le moment, Yahya Jammeh reste déterminé à se maintenir à son poste. Coup de bluff ou jusqu'au-boutisme ? 
  
Depuis des semaines, la Communauté des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) le met en garde et envisage même une intervention militaire pour faire respecter le résultat de la présidentielle. Mais les menaces n'ont rien changé à la position de Yahya Jammeh, comme l'a montré son discours du Nouvel An. 

Si des accords ont été trouvés sur bon nombre de points entre le président Macky Sall et l’opposition qu’il a reçue hier au palais, on ne peut pas en dire autant sur la demande des opposants qui semblaient faire du départ du ministre de l’Intérieur, un préalable. Il n’en sera rien, car, le chef de l’État a affiché une certaine fermeté en décidant de maintenir Abdoulaye Daouda Diallo à son poste.

Installation du HCCT, le leader de l’APR doit analyser politiquement cette déclaration importante du Président de l’institution nouvellement installée.

Ousmane Tanor Dieng à Macky Sall : «L’acceptation de l’honneur que vous me faites ne doit rien à un quelconque reniement sur les valeurs auxquelles je reste fidèle »

Analysée autrement, cette déclaration enferme un message très politique. Les valeurs et la conviction socialiste présage que son parti aura un candidat socialiste en 2019.

Le chef de l'État guinéen, Alpha Condé, sera le candidat de l'Afrique de l'Ouest à la présidence en exercice de l'Union africaine (UA), lors du sommet de cette organisation qui se tiendra fin janvier 2017 à Addis-Abeba.
 
La décision a été annoncée dans le communiqué final de la 50e session ordinaire des chefs d’État et de gouvernement de la Cedeao réunis le 17 décembre à Abuja (Nigeria). Le tour de la présidence de l’UA revenant pour l’année 2107 à l’Afrique de l’Ouest, cette candidature devrait sans surprise être avalisée par l’ensemble des membres de l’organisation continentale et le Guinéen de 78 ans, au pouvoir depuis 2010, devrait donc succéder au président tchadien, Idriss Déby Itno.
 
Rassurer Alger

    La coalition Benno Bok Yaakar risque de ne compter avec la Ligue démocratique LD ou tout au moins, une frange de la formation de Mamadou Ndoye pour les législatives prochaines. C’est ce qu’a annoncé Souleymane Gueye Cissé en marge d’une rencontre des jeunes jallarbistes du département de Rufisque. Le responsable départemental de la ligue démocratique juge que le régime actuel n’a pas apporté les ruptures attendues et la gauche a une identité qui doit la pousser à marquer   de sa présence les prochaines élections législatives.  

  Le député maire socialiste de Mermoz Sacré Cœur, Barthélémy Dias avait bel et bien envoyé des correspondances à ses camarades parlementaires pour la levée de son immunité parlementaire. Ou du moins, il a envoyé un courrier au président de l’Assemblée nationale. C’est la précision du Directeur de cabinet de Moustapha Niasse, en l’occurrence Bouna Mohamed Seck qui faisait face à Mamadou Ibra Kane, dans l’émission Grand Jury du dimanche 30 octobre dernier. En effet, le responsable politique de l’Alliance des forces de progrès (Afp) à Saint Louis, a révélé que «Barthélémy Dias avait bien écrit au président de l’Assemblée nationale».  

    Le président Yahya Jammeh préfère-t-il attendre la Résolution finale du sommet des chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) en conclave ce samedi 17 décembre, à Abuja (Nigéria), sur la crise postélectorale dans son pays,  pour se prononcer ? Alors que l’on s’attendait à une importante déclaration du chef de l’Etat sortant de la République Islamique de Gambie hier, vendredi 16 décembre, 24h après son tête-à-tête avec les religieux (imams et évêques) de son pays à la suite de celui avec la délégation Cedeao qu’il a reçu trois jours avant, Jammeh a fait faux bond.

Ça n'a pas de sens que nos gouvernants continuent aujourd'hui encore d'arroser de millions les guides religieux qui sont déjà à l'abri du besoin et de laisser les citoyens, qui en ont le plus besoin, mourir de faim. C'est le coup de gueule de Serigne Baye Mamoune Niasse. Selon le descendant de Cheikh Al Ibrahima Niasse et fils du regretté Serigne Mamoune Niasse, la politique de l'État devrait mieux être orientée vers la résolution des difficultés que vivent les sénégalais et non chercher à satisfaire des religieux qui constituent une autre classe sociale.

Le Secrétaire d’Etat chargé du suivi du Programme d’urgence communautaire (PUDC), Souleymane Jules Diop, a déploré lundi le déficit de communication de la part de certains ministres sur les réalisations et actions du gouvernement. 
  
  
‘’Certains membres du gouvernement sont inaudibles’’, a déploré l’ancien conseiller en communication du chef de l’Etat, Macky Sall, sans plus de détail sur les ministres concernés. Il était l’invité de la rédaction de l’APS. 

Yaya Jammeh s’est confié à Direct Info. Dans un entretien téléphonique accordé au journal, il s’explique sur son revirement politique et parle de ses relations heurtées avec le gouvernement sénégalais. « J’aime le Sénégal et son peuple me le rend bien. J’ai surtout un problème avec le gouvernement du Sénégal. J’ai passé d’excellents moments avec le président Macky Sall. Mais, présentement, les relations ne sont plus au beau fixe. C’est regrettable », note-t-il.

L’arrivée des nouvelles cartes d’identité biométriques au Sénégal a soulevé beaucoup de controverses au sein de la classe politique. Les acteurs politiques soupçonnent le pouvoir de profiter de l’occasion pour soustraire du fichier des électeurs favorables à l’opposition. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a tenté de les rassurer en leur disant que leurs craintes ne sont pas fondées.

«Depuis l’indépendance, les Sénégalais n’ont pas élu un Président de la République», a annoncé Talla Sylla, lors de la cérémonie d’inauguration du siège du mouvement ‘’Fal Askan Wi’’ dont il est président. C’était une occasion pour lui d’exprimer une volonté de faire la politique autrement. 
  
Talla Sylla, Président du mouvement et par ailleurs maire de Thiès tente de revenir sur la nécessité de changer de paradigmes dans l’espace politique, informe le quotidien l’As du jour. « L’arrivée de Léopold Sédar Senghor se justifie par le départ des colonisateurs, comme celle d’Abdou Diouf au pouvoir est liée au départ volontaire de Léopold Sédar Senghor. 

  Alors que le débat sur le retour ou non de la peine de mort pour sanctionner les «criminels» fait rage en ces périodes de recrudescence des cas de meurtres barbares et autres crimes crapuleux, le président Macky Sall a dévoilé sa position. Le président de la République qui a présenté hier, ses condoléances à la famille de feue de Fatoumata Mactar Ndiaye, vice-présidente au Conseil économique social et environnemental (CESE) annonce une révision du Code pénal pour condamner à perpétuité tous les auteurs de meurtre au Sénégal, sans possibilité d’être élargi.  

 

Depuis l’étranger où il se trouve, l’ancien super-ministre Karim Wade mobilise, à distance. Il a invité les Sénégalais notamment ses proches à manifester le 14 octobre prochain pour dénoncer la gestion du pays par le président Macky Sall. Le fils de l’ancien chef de l’État s’est montré solidaire de l’opposition regroupée autour de la coalition Manko Wattu Sénégal qui a décidé d’investir les rues.

Dans un message envoyé à ses soutiens, il demande à ces derniers d’être aux premiers rangs, le 14 octobre.

    Le maire de la commune de Mermoz-Sacré cœur, Barthélémy Diaz a procédé hier, mercredi 30 novembre, à la diffusion des extraits audio compromettant l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade et le Pds dans l’affaire Affaire Ndiaga Diouf. Lors d’un point de presse à la veille de son procès dans le cadre de cette affaire, Dias fils a ainsi exigé la comparution du pape de Sopi.  

Alors que la reprise de son procès dans l’affaire Ndiaga Diouf, est prévue pour ce jour, le député-maire de la commune de Mermoz-Sacré cœur, Bathélémy Diaz, a fait face à la presse hier, mercredi 30 novembre, pour décliner l’identité des commanditaires de l’attaque de sa mairie qui s’est soldée par la mort du jeune Ndiaga Diouf le 22 décembre 2011.

Serigne Modou Kara est contre la peine de mort. « Serigne Touba n’a jamais recommandé qu’on tue quelqu’un parce qu’il a tué ou qu’on coupe le bras de quelqu’un parce qu’il a volé », justifie le marabout. 

Qui poursuit en remontant les époques : « Quand l’Islam prônait la peine de mort du temps du Prophète, c’était pour que cela serve d’avertissement. Le Coran ne dit pas que la peine de mort doit être instituée pour tous les temps. 

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