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07
Sam, Jui

C’est déjà acté! Aissata Tall Sall, candidate recalée, va soutenir le président sortant, Macky Sall à l’élection présidentielle de février 2019. Selon l’As qui donne l’information, la présidente du mouvement « Oser l’avenir » va annoncer officiellement son soutien au candidat de la coalition Benno Bokk Yakkar. Elle va officialiser son soutien à Macky Sall la semaine prochain.

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Arrivée le 15 janvier à Dakar, la mission d’observation électorale (MOE) a été déployée par l’Union européenne en accord avec le gouvernement du Sénégal pour observer l’élection présidentielle prévue le 24 février 2019.

En effet, c’est la deuxième mission électorale depuis celle de 2012 pour le suivi des élections présidentielles. Une équipe composée de 9 cadres analystes et experts dans le domaine électoral, politique, données de l’observation et d’une équipe logistique et sécurité.

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Aly Ngouille Ndiaye, ministre de l’Intérieur, a révélé ce vendredi lors d’une rencontre avec la presse que 05 milliards F Cfa ont été dépensés pour les cartes d’électeurs, dans l’organisation de l’élection présidentielle du 24 févier 2019.

Ainsi, 6.160.000 de cartes d’identité biométriques, faisant office de cartes d’électeurs, ont été distribuées sur l’ensemble du territoire national. Ce qui fait un taux de distribution de 95,26% contre 26% au début de la campagne électorale en 2007, indique le ministre.

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La tension politique s’invite à nouveau dans le débat politique relatif à l’élection présidentielle du 24 février prochain. Comme lors des élections présidentielles de 1988, 1993, 2000, 2007 et 2012, le Sénégal est à nouveau sous la menace d’une présidentielle teintée de violences politiques, surtout après le saccage du siège du parti politique Pastef «Les Patriotes» du candidat Ousmane Sonko, un acte encouragé par la violence verbale entre responsables du pouvoir et opposition.   

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 Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) a fixé avant-hier, samedi ­ janvier, les règles concernant les conditions de production, de programmation et de diffusion des émissions réglementées des médias audiovisuels pendant les campagnes électorales. 

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Sous la dictée du pouvoir exécutif, le Conseil constitutionnel a mis en œuvre la loi inique et monstrueuse du parrainage. La légitimité d'une Loi se fonde sur trois critères entrelacés: le critère Ethique qui fonde la motivation de la Loi; le critère Politique qui sous-tend son opportunité et le critère Technique qui détermine sa modalité d'application. La Loi sur le parrainage ne respecte que le premier. C'est pourquoi elle a enfanté un monstre. 

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L’élection présidentielle du 24 février sera l’une des plus disputées dans l’histoire politique et électorale du Sénégal. Avec des candidats « surprise » et des novices en lice, le scrutin de 2019 présente déjà un visage nettement différent des précédents aussi bien en termes de nombre de candidats que de protagonistes.

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Le temps de passage pour chacun des cinq candidats à l’élection présidentielle sur la RTS, chaîne de télévision publique, pour les besoins de la campagne électorale, est arrêté à sept minutes par jour». C’est ce qu’a annoncé samedi le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), Babacar Diagne. « Nous sommes arrivés à des consensus forts avec mandataires des candidats à l’élection et le directeur général de la RTS, Racine Talla, pour ainsi fixer le temps d’antenne quotidien à 7 minutes par candidat et par jour au lieu de 5 mn précédemment en vigueur », a-t-il notamment fait savoir.

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Les élections présidentielles au Sénégal suscitent encore des inquiétudes chez les sénégalais.  Le régime de Macky Sall sera – t-il en mesure de garantir un processus électoral transparent et pacifique ?  Outre les affaires judiciaires qui seraient orchestrées par l’Etat du Sénégal pour faire condamner des adversaires redoutables du président Macky Sall, comme   Khalifa Sall, l’ancien maire de Dakar, et Karim Wade, le fils de l’ancien président Me Abdoulaye Wade, les sénégalais redoutent un climat post-électoral peu rassurant. 

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