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05
Lun, Mai

Malgré l’adoption d’un code électoral consensuel au Sénégal en 1992 à la suite d’un long bras de fer entre le pouvoir et l’opposition, le problème du mandat présidentiel est toujours d’actualité.  

Aujourd’hui, après le long et harassant procès de l’ancien ministre Karim Wade, dont le père voulait s’offrir un troisième mandat, c’est maintenant la réduction ou non du mandat du président Macky Sall qui alimente le débat politique, voire politicien du Sénégal. Ce débat stérile pourrait avoir un impact négatif sur la vie économique du pays dans la mesure où les investisseurs qui financent une bonne partie du plan Sénégal émergent (PSE) n’aiment pas s’aventurer dans les pays ou règne l’incertitude; car personne ne peut dire quelle est la date exacte de la prochaine présidentielle au Sénégal. Le président Macky Sall aurait dû régler les problèmes institutionnels au début de son mandat.

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La transhumance d’INNOCENCE NTAP NDIAYE vers le parti au pouvoir n’est ni « par amour », ni « par gentillesse », ni « pour les beaux yeux de Macky Sall », ni « pour l’intérêt du peuple sénégalais ». C’est plutôt pour rejoindre le festin du parti cartel Benno Bokk Yakaar et retrouver ses avantages et privilèges perdus (DEUKBI GOORÉ DAFFÉ DIÉKH). Cette coalition n’est là que pour son propre intérêt et non pour l’intérêt du peuple Sénégalais. Désormais, le peuple Sénégalais ne peut plus d’une manière irénique, accepter l’inacceptable ni excuser l’inexcusable. Cette association politique est une coquille vide et n’a plus de raison d’être dans le paysage politique Sénégalais (Wade a été battu en 2012, et les autres partis ont assez soutenu Macky Sall pour le redressement du pays). Il est grand temps que Macky SALL épouse l’éthique de responsabilité pour démontrer et prouver aux Sénégalais ce dont il est capable de faire seul, avec son parti l’Alliance Pour la République, sans l’aide des autres partis politiques (GOUNGUÉBI DAFA DOOYE)

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Le leader de l’Alliance pour la République (Apr) a avoué, hier, lors d’une conférence de presse restreinte à Kaffrine, son intention d’encourager l’accueil des transhumants, même s’il récuse cette appellation.

La transhumance politique, qui sous-tend le démantèlement de l’opposition, a encore de beaux jours devant elle. Le président de la République, Macky Sall, qui a récusé cette expression du fait de sa charge « péjorative », va l’encourager davantage. 

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La coalition de la mouvance présidentielle, Benno bokk yaakaar (BBY ), reste partagée sur le référendum convoqué par le président de la République Macky Sall en 2016, pour soumettre à l'appréciation du peuple sénégalais la réduction ou non de son mandat de 7 à 5 ans.

La décision du président de la République de convoquer un référendum en 2016 pour soumettre à l'appréciation du peuple sénégalais la réduction ou non de son mandat est diversement appréciée au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).

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Zayra Iyane Thiam a déclaré que le phénomène de la transhumance politique soulève plusieurs questions complexes qu’il faudrait étudier et approfondir afin de trouver les meilleures solutions. La conseillère spéciale du chef de l’Etat a fait cette déclaration à Mogo Tafsirou Balla dans la région de Matam. Se prononçant sur le phénomène de la transhumance, en marge des journées de la convergence islamique tenues récemment à Mogo Tafsirou Balla, Zahra Iyane Thiam a appelé les politiciens à renvoyer une autre image de la politique. « Ma préoccupation principale est que les acteurs politiques puissent se réconcilier avec le peuple sénégalais, que les acteurs politiques puissent renvoyer une autre image de la politique. Pour cela, il nous faut avoir des principes, il nous faut avoir un gentleman-agreement », a-t-elle dit. 

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L'avocat n'a pas été du tout tendre avec le régime de Macky Sall. Me Mame Adama Guèye considère les dernières sorties des responsables de l'APR invitant le chef de l'Etat à faire un mandat de 7 ans comme une stratégie politicienne mûrement réfléchie. L'astuce, révèle-t-il, est certes de diminuer le mandat à 5 ans mais non applicable pour ce mandat en cours. Une forme de reniement du président de la République qui avait promis devant le peuple sénégalais de faire un mandat de 5 ans. Ce débat qui pollue l'espace politique est pour lui "la manifestation d'une culture politique qui renvoie en réalité à une seule chose: les hommes politiques se sont toujours servis du Sénégal" . 

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A travers une lettre ouverte intitulée "A Vous, Monsieur le Président de la République", l'ancien ministre Amadou Tidiane Wone lance un appel à Macky Sall "en laissant parler son cœur". Cette tribune semble être un drapeau blanc brandi par l'actuel directeur de cabinet de l'ancien président Wade pour demander un "cessez le feu".

"...Il se dit que le point de départ de ce qui vous oppose, » intimement», à Abdoulaye WADE serait la convocation de Karim WADE à l’Assemblée Nationale dans des conditions qu’il aurait jugées irrespectueuses. 

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  L’avocat et député Me El Hadji Diouf a formellement mis en garde hier, lundi 20 avril, le chef de l’Etat Macky Sall contre les transhumants qui commencent à envahir la galaxie présidentielle. Selon le parlementaire, si le président de la République accepte d’ouvrir ses portes à ces derniers, il risque de perdre le pouvoir au même titre que ces prédécesseurs Abdou Diouf et Abdoulaye Wade qui avaient vécu la même expérience.  

Le député Maitre El Hadji Diouf présent hier, lundi 20 avril 2015, à la conférence de presse des professionnels du tourisme et de l’hôtellerie a attiré sans fioritures l’attention du président de la République sur la question de la transhumance qui alimente tous les débats depuis quelques jours. Selon Me Diouf, «le président perdra inévitablement le pouvoir si jamais il travaille avec les transhumants qui rejoignent son camp, petit à petit». 
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L’arrêté portant répartition des fonds de dotation aux collectivités locales a été signé le 27 mars dernier par le ministre des Collectivités locales, Oumar Youm et collègue du Budget, Birima Mangara. C’est L’As qui donne l’information. Mais selon ce journal la répartition laisse entrevoir de nombreuses bizarreries. Au moment où les villes de Guédiawaye et Pikine ont chacune reçu 180 millions FCFA, la ville de Dakar n’a eu que 160 millions FCFA.

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L’année 2014, contrairement à ce que beaucoup de Sénégalais disaient, la circulation de l’argent a fortement augmenté. De  585 milliards en 2012 et 620 milliards en 2013, la circulation fiduciaire est passée à 685 milliards de francs Cfa en 2014, soit une augmentation de 65 milliards de francs Cfa entre 2013 et 2014.

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