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Dim, Avr
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Tourisme, libéralisation et ouverture... en Afrique


Les mouvements touristiques vers l’Afrique ont bénéficié ces dernières années de conditions internationales favorables, comme la suppression sur le marché des transports aériens de plusieurs taxes, mais aussi une croissance des voyages de groupe et l'engouement pour les destinations africaines. Toutefois, il faut souligner que la croissance du flux touristique vers les pays africains au cours des vingt dernières années coïncide, et ce n'est pas un hasard, avec les politiques d'ouverture et de libéralisation amorcées par les dirigeants du continent.

Notre pays vient de rater une belle occasion de rompre avec l'option laïque et de parachever sa décolonisation !!!

Nous ne sommes pas surpris par l’issue de ce référendum, car il était évident pour un observateur quelque peu averti que ce serait, à tous les coups, une ‘’défaite morale’’ pour le Président Macky SALL, car la Constitution d’un pays véritablement démocratique - et qui de surcroît renferme des clauses d’intangibilité - ne peut être ‘’légitime’’ que si elle est consensuelle et donc plébiscitée - et tel ne pouvait pas être le cas, faute d’une concertation avec tous les leaders d’opinion - dont les religieux. Et c’est dire que le remède apporté risque d’être pire que le mal qu’il est censé traiter - Une véritable catastrophe !!!

Il a sa constitution. Et après ?


Ils ont sauvé leurs sept ans, et c’était pour eux le plus important. Le « oui » l’a en effet remporté avec 1 357 412 voix, soit 62,70 % des suffrages exprimés. Mais la victoire est modeste, si on considère le taux d’abstention très élevé : plus de 60 %. En d’autres termes, sur un peu plus 5 500 000 inscrits, seuls 2 184 311 ont voté.

Idrissa Seck sur le referendum du 20 mars «c’est l’échec le plus retentissant de toute l’histoire référendaire du Sénégal»

  Le président de Rewmi, considéré que le référendum du 20 mars dernier est le «plus impopulaire» de l’histoire du Sénégal. Mieux, Idrissa Seck a indiqué lors d’une conférence de presse tenue dans son fief à Thiès, qu’il consacre une baisse de l’électorat de Macky Sall, élu le 25 mars 2012 avec plus de 65 %.  

«La très vieille démocratie sénégalaise, qui est le bien le plus précieux de ce pays, ne sort pas grandie de cette élection, à cause de la manière dont le Régime de Macky Sall a mené et géré ce référendum.  Malgré toutes ces manipulations et irrégularités, le Président et son clan ont connu l’échec le plus retentissant de toute l’histoire référendaire du Sénégal depuis l’indépendance. 

Nécrologie : Espagne /Almeria : Deux Sénégalais décédés.

La communauté sénégalaise établie à Almeria  a le regret et la profonde douleur de faire part des décès de leurs compatriotes Boubacar Thior, né le 15 Mai 1962 à Thialane, décès survenu le Lundi, 14 Mars 2016 des suites d'une maladie et de Mamadou Habib Kamara, né le 11 octobre 1954 à Tambacounda, décès survenu le 18 Mars 2016 des suites d'une longue maladie.

La communauté sénégalaise d’Almeria associe  l'ensemble des communautés sénégalaises de toute la Diaspora pour présenter  aux familles des disparus leurs sincères condoléances et prient pour le repos de leurs âmes.

Laser du lundi : Le vieux pachyderme devient-il un sanglier affaissé ? (Par Babacar Justin Ndiaye)

Le Pachyderme socialiste (PS) se vide-t-il du reliquat d’énergie et de vitalité qui lui confère encore une implantation respectable dans le pays et un rôle propulseur dans le trio de locomotives du Benno Bokk Yakaar ? Le futur immédiat confirmera ou infirmera. Pour l’heure, les craquements sonores et le tohu-bohu effréné présagent d’horribles lendemains d’agonie pour un Parti dont l’odyssée glorieuse (1948-2000) est intimement liée au cheminement national vers l’indépendance et à l’érection d’un Etat stable. Quelle ironie du sort ! C’est au moment où le destin institutionnel du Sénégal se joue, via un référendum, que l’avenir du PS se décline en images oscillantes et mêlées d’éléphant exténué et de sanglier affaissé. 

Nouvelle loi française sur l’immigration : Trois bonnes nouvelles pour les étudiants étrangers (Partie 1)

La marché français du travail est marqué depuis des années par un fort taux de chômage, qui risque même de compromettre les chances de réélection du président François HOLLANDE. Malgré les réticences politiques à ouvrir le marché du travail aux étrangers, la nouvelle loi française sur l’immigration atténue les innombrables difficultés auxquelles sont confrontés les étudiants  étrangers qui souhaitent travailler en France à la fin de leurs études.

Référendum : OUI depuis Moscou, pour le culte du progrès !

 

De Moscou où par la grâce divine je me retrouve au service de la République, je me projette quotidiennement sur les rampes de notre vécu national avec quelques fois des doutes et des regrets, des frissons d’angoisse et des craintes, des larmes aux yeux par excès d’émotion face à des actes bienveillants ou des agissements cruels et gratuits, mais avec toujours beaucoup d’amour et de respect pour les hommes et femmes de mon pays, toutes obédiences confondues.

Non à une constitution rapiécée, non aussi à la récupération politique, mais oui au projet de constitution alternatif de la CNRI

Ce référendum du 20 mars est non seulement tardif, mais aussi inutile pour plusieurs raisons. Parce qu’il nous propose une constitution déjà insatisfaisante et non convenable aux citoyens. Alors, c’est une telle constitution que l’on tente, après avoir supposé maintenant bien rapiécée (daab daax ou jaag jaagal), de filer discrètement, sans débat au peuple sénégalais. Jusque-là et  malgré les réformettes introduites par cette révision, les principaux  griefs et critiques, qui étaient reprochés à la constitution de 2001, n’ont pas pour l’essentiel disparu. Donc, cette tentative à vouloir  faire du neuf avec du vieux est vaine et vouée à l’échec.

" Mr Abdoul Mbaye ! Et L'éthique? " (par Elhadji Malick Mbaye)

Dans une tribune au vitrol, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye explique de bon droit pourquoi il  votera non au référendum du 20 mars 2016.  En bon démocrate, nous lui en donnons quitus au titre de la démocratie qui consacre le choc des opinions et ouvre le boulevard des ambitions politiques pour tout citoyen désireux d'avoir un destin présidentiel. A notre qu'il nous donne  l’occasion de lui dire que ses arguments offensifs sont émaillés par des  excès et des  interprétations porteurs  de conclusions inacceptables 

Un homme qui se renie est capable de ne reculer devant rien, surtout, lorsque ceci est en sa faveur!

Un homme qui se renie est capable de ne reculer devant rien, surtout, lorsque ceci est en sa faveur!

“ C’est  une belle harmonie quand le faire et le dire sont ensemble” Michel Montaigne.

Et, on peut parfaitement, affirmer dans le cas du Sénégal que, c’est tel père tel fils ou alors, c’est du pareil, tel maitre tel élève, entre Maître Wade et Macky Sall.

La gestion partisane du président Macky Sall. Pourquoi je vote non au référendum?

 

Les réformes proposées par le président de la République Macky Sall à l’exception de celle qui aurait dû ramener son mandat de sept à cinq ans, une promesse, plusieurs fois renouvelée, sont tout-à-fait différentes des conclusions les plus significatives des assises nationales que le candidat Sall avait bien paraphées et signées, sans aucune réserve, au lendemain de la création de son parti Alliance Pour la République (APR). Notre camarade feu Charles Guèye, un esprit généreux et ouvert, le représentant de l’Observatoire Républicain pour la Démocratie et la Citoyenneté ‘(ORDC), dans les différents cadres de l’opposition, a contribué à l’insertion de l’APR dans l’opposition dont beaucoup de membres étaient réticents à cause du comportement hostile  de son leader vis-à-vis des Assises Nationales.

Et si Ismaïla Madior Fall avait raison ! Par Souleymane Ndéné Ndiaye

Et si Ismaïla Madior Fall avait raison ! Par Souleymane Ndéné Ndiaye
Le débat autour de la qualification à donner à la décision du Conseil Constitutionnel fait rage depuis la déclaration du Président Macky Sall du 16/02. 
L'article 51 de la Constitution du Sénégal stipule : "Le Président de la République peut, après avoir recueilli l'avis du Président de l'Assemblée Nationale et du Conseil Constitutionnel, soumettre tout projet de loi constitutionnelle au référendum".