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Lun, Avr
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Le peuple sénégalais face au tripatouillage constitutionnel, légal et illégitime de Mack Sall

Pourquoi en Afrique la plupart des Présidents sont des « pouvoiristes » à telle enseigne de piétiner la volonté de  leur peuple en imposant la légalité au dessus de la légitimité ?

On ne corrige pas une erreur par une erreur et de Diouf à Macky c’est ce qui s’est passé  en ce qui concerne le mandat présidentiel. En effet Diouf  en changeant la constitution de 1963 pour établir le septennat, non seulement  il n’avait pas convoqué un referendum pour l’avis du peuple mais encore il s’est fait appliquer le septennat alors que cela devrait débuter avec Wade .Et c’est la raison pour laquelle ce dernier ne l’avait pas comptabilisé come premier mandat car il avait convoqué un referendum  avec la constitution de 2001 son premier mandat devait débuter en 2007 et son deuxième en 2012 autrement dit  il ne s’agissait pas légalement de 3ème mandat.

La Réforme des Institutions et la Problématique du « Parti Etat »

De nos jours le « Parti –Etat », est souvent associé au cumul des fonctions de Président de la République et de Chef de parti, alors qu’en fait, il dérive du cumul des Fonctions de Chef de Parti et de Chef de l’Etat, qui définit la Politique de la Nation et nomme dans tous les emplois civils et militaires.
En 1960, Senghor était Président de la République et non Chef de l’Etat, qui était exercé par Dia.

Tourisme et Emergence au Sénégal

En vue d’élargir les bases de sa croissance, le Sénégal a décidé de faire du tourisme une priorité dans son processus d’émergence. Ce sous-secteur des services, négligé dans le passé malgré ses avantages comparatifs, a un fort impact sur l’économie. Le Plan Sénégal Emergent (PSE) ambitionne de régénérer la destination Sénégal en optimisant ses potentialités pour faire du Sénégal un hub touristique. Dans cette perspective, des mesures pertinentes ont été prises, avec de bons résultats déjà, pour que la destination Sénégal puisse enfin profiter au mieux de l’essor du tourisme en Afrique et dans le monde.

Laser du lundi : La Décentralisation dézinguée sur l’autel du deuxième mandat (Par Babacar Justin Ndiaye)

« En politique, si l‘on n’est pas prêt à tout, on n’est prêt à rien » a-t-on coutume de dire.  Une leçon à haute teneur jusqu’au-boutiste  qui semble être le vade-mecum du Président Macky Sall, déjà debout, sur le chemin escarpé du second mandat. Pour l’obtenir, vite et bien, (la victoire au premier tour contre tous) le Président sortant souhaite visiblement être délesté de tous les impedimenta lourds, encombrants et contrariants. D’où le besoin de dézinguer la Décentralisation portée sur les fonts baptismaux, dès 1972, et méthodiquement mise sur orbite. Jusque-là feutrée, la démarche du chef de l’Etat et de  l’APR a subitement pris un tour vigoureux. Et kafkaïen.  

La Pédophilie, la face cachée de l'Homosexualité !!! [Une nouvelle approche psychosociologique (Perspective islamo chrétienne)].

La pédophilie qui se définit comme une attirance sexuelle anormale d’un adulte pour les enfants est devenue un fléau grandissant et de plus en plus et préoccupant, n’épargnant même pas les religieux. Un certain flou persiste dans la compréhension du phénomène, malgré l’implication de plus en plus de chercheurs et d’acteurs divers dans la prise en charge des victimes comme des coupables. Et le renforcement des peines pour ce délit ne semble pas avoir réduit significativement son incidence et celle des récidives - Un véritable casse-tête tant médical que judiciaire !

Industrie et Emergence au Sénégal

L’économie sénégalaise est caractérisée par l’étroitesse de sa base de production avec un fort déséquilibre entre les secteurs porteurs de sa croissance tirée à près de 60% par les télécommunications et les services financiers. Un tel déséquilibre est source de vulnérabilité en cas de chocs endogènes ou exogènes dans le secteur des services et fait du Sénégal une économie peu diversifiée.

Laser du lundi : Lamine Diack, le coordonnateur du « Parti de l’Etranger » (Par Babacar Justin Ndiaye)

Lorsqu’il s’agit des options, des décisions et des choix nationaux et souverains d’un pays, tous les Partis politiques sont les bienvenus, à l’exception du « Parti de l’Etranger ». Dans les nations où les systèmes démocratiques, à haute teneur civique, régulent électoralement la mobilité des dirigeants, tout ce qui s’apparente à un coup de pouce extérieur, est vigoureusement banni. D’emblée, les acteurs épaulés par des puissances (financières ou politiques) situées hors du territoire national, sont dédaigneusement perçus et impitoyablement stigmatisés comme les tenants du « Parti de l’Etranger ». Ce phénomène honni s’appelle le pétainisme politique (allusion au Maréchal Pétain), synonyme de trahison nationale par voie de collaboration avec de réels ou potentiels ennemis de la patrie. Dans certains pays, le « Parti de l’Etranger » figure dans le glossaire politique. Au Sénégal, il est désormais le 256e Parti. Sans récépissé, bien sûr.

La démographie, le véritable enjeu du 21ème siècle !!! ... [Et indéniablement, l'Occident est très mal parti !!!].

Les graves crises alimentaire et économique qui ont frappé le monde ont remis en selle les malthusiens – partisans de la doctrine de Malthus, célèbre économiste anglais du début du 20ème siècle, qui avait pensé que la production alimentaire d’un pays n’augmentait pas aussi vite que sa population abandonnée à elle-même et non restreinte par aucune cause, et qu’il fallait y remédier en diminuant les naissances (natalité)  ; c’est dans cette perspective qu’ils prônent, en Afrique, une réduction de la croissance démographique pour réduire la pauvreté ; par contre, ils s’inquiètent de la baisse de la natalité notée dans la presque totalité des pays occidentaux et y souhaitent un accroissement de la croissance démographique. 

Lettre ouverte au Président de la République, Macky Sall, à propos d’une discrimination entre des médaillés valides et d’autres handicapés.

 

Monsieur le président de la République, pour avoir été récemment, un témoin attristé de faits avérés de discrimination inacceptable, entre  deux types de citoyens, ayant tous deux avoir accompli un exploit de taille pour la République, tels que : des médaillés du Spécial Olympics de Los Angeles et des Jeux africains de Brazzaville, je me permets de m’adresser à vous, en votre qualité  de  président de tous les Sénégalais, sans aucune distinction, s’entend.

Chronique : La grande comédie de la Cop 21

Un nouvel ordre mondial veut se créer devant les yeux de tous, Paris veut être le maillon fort de l’initiative. Bien ou pas bien, on laissera cette question aux religieux. Ce qui m’intéresse, c’est de constater que l’on ne parle que de la planète. L’être humain a une fascination quand il s’agit d’aimer une autre chose avant d’aimer l’humain. J’ai vu un jour à la télévision, je pense, sur TF1, quelqu’un abattre de sang-froid un prétendu « braconnier » qui voulait juste se nourrir avec un peu de viande de brousse.

Hommage à Monsieur Charles Gueye

Hommage

 

A Monsieur Charles Gueye

 

Il y a quarante jours (40) Charles Gueye nous quittait. En tirant sa révérence le 07 Décembre 2015, notre compatriote refermait ainsi la dernière page du livre de sa vie ; une vie pleine, caractérisée par un engagement sans faille pour l’amélioration de la condition de ses contemporains et pour l’indépendance des pays africains.

Déchéance discriminatoire de la nationalité : la France est-elle toujours un Etat de droit ?

La délinquance constitutionnelle est l’infraction la plus grave dans un Etat de droit. Elle permet de légitimer les ségrégations les plus abominables comme l’Apartheid ; des crimes odieux comme le massacre de juifs sous le régime nazi d’Hitler ; des coups d’Etat constitutionnels comme le font des chefs d’Etat africains. La France, avec son projet d’extension discriminatoire de la déchéance de nationalité, risque d’instaurer un « Apartheid » constitutionnel contre certains de ses ressortissants, en raison de leur origine ou de leur religion.

Une loi totalitaire qui tue la démocratie française et encourage l’islamophobie.

Félicitations à tout le peuple Burkinabé !

Le Burkina Faso vient de nous administrer une belle leçon de démocratie à tous égards, à travers ses élections présidentielle et législatives, sans faute. Ils ont organisé tous seuls, comme des grands, cette double consultation en un temps record, sans tambour ni trompette, par eux-mêmes. Ils n’ont allégué aucun prétexte fallacieux relatif, soi-disant, au coût élevé des consultations, au contraire, ils se sont engagés résolument pour démontrer leur savoir-faire et prouver leur ferme détermination à réussir le pari, pris devant leur peuple et à la face du monde. Ainsi, avec l’utilisation du bulletin unique, ils ont réalisé des économies substantielles sur le plan financier, facilité la rapidité du vote aux nombreux électeurs analphabètes majoritaires, en éliminant les innombrables bulletins, sources de confusion, c’est ainsi, qu’il n’y a eu en fin de compte, aucune contestation du début à la fin du processus électoral. Ils ont démontré à la face du monde, qu’ils ont un peuple mature, responsable, apte et capable de s’autogérer sans l’aide de l’extérieur. Ils ont fait montre également d’un civisme exemplaire qui grandit davantage les citoyens burkinabé.