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PROCES H HABRE : UNE VÉRITABLE MASCARADE JUDICIAIRE !!! (HALTE A L’IMPÉRIALISME JUDICIAIRE)

Les organisations de défense des Droits de l’Homme, instrumentalisées par leurs bailleurs de fonds occidentaux ont manifestement mis la pression sur les dirigeants africains pour juger Habré, qu’ils qualifient, presque unanimement, de ‘’dictateur’’ et de ‘’tortionnaire’’, déclarant n’être mues que par l’exigence de justice et n’œuvrant que pour l’éradication de l’impunité. Personnellement, j’en doute et reste persuadé que Habré ne pourrait jamais avoir un procès équitable, qu’il soit jugé au Sénégal ou ailleurs, du fait des pressions des cyniques ‘’bailleurs de fonds’’ qui ne peuvent envisager un autre verdict que celui qu’ils ont déjà pris, pour satisfaire leurs fantasmes. Et donc à l’évidence, le procès est mal engagé. En outre, juger quelqu’un pour des faits qui remontent très loin dans le temps pose toujours problème, car le contexte psychosociologique n’est plus le même ; ainsi, pour que le procès soit véritablement équitable, il faudra impérativement restituer le contexte d’alors et établir toutes les chaînes de complicité, tant au Tchad qu’à l’Etranger ;

Les préoccupations des Sénégalais se trouvent bien ailleurs, que dans les retrouvailles de la famille libérale.

Si toutefois, les rumeurs, qui circulent avec insistance ces temps-ci dans notre pays, sont avérées, ce serait vraiment, un manque de respect total, du président Macky Sall, envers les 65% d’électeurs qui avaient voté en sa faveur en 2012, contre Me Wade. Ce serait, même également, dans une certaine mesure, une trahison sans équivoque et un détournement du choix des citoyens. Disons dans le vrai sens du terme, de son engagement solennel envers le peuple sénégalais, comme toutes les coalitions qui l’avaient soutenu à la présidentielle de 2012. Ensuite, s’il tronque aujourd’hui, son mandat présidentiel, en le réduisant à sa plus simple expression, contre des soi-disant retrouvailles de la famille libérale, ce serait assurément, une preuve incontestable de son manque d’ambition pour son pays et une absence de vision pour un homme d’Etat.

Sénégal : Vingt-cinq mars 2012, l’alternance de toutes les trahisons

Dans une contribution antérieure (« Le temps de lever le coude »), nous avons, nous appuyant sur le « Rapport public sur l’Etat de la Gouvernance et de la Reddition des Comptes » présenté par l’Inspection générale d’Etat (IGE) en juillet 2013, passé en revue certains « actes caractéristiques de mal gouvernance financière », notamment au niveau de la Société africaine de Raffinage (SAR). L’homme au cœur de ce « brigandage » organisé est connu, même si son nom n’a pas été cité dans le Rapport. Nous allons, dans ce texte, nous arrêter sur d’autres « actes caractéristiques de mal gouvernance financière », qui ont eu pour cadre le Parc automobile de l’Etat, où l’IGE a fait des investigations.

[Audio (En Wolof) Eclairage inédit sur la ''Charia'' (Droit pénal islamique) !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi)

AUDIO (En Wolof)] ÉCLAIRAGE INÉDIT SUR LA ‘’CHARIA’’ (DROIT PÉNAL ISLAMIQUE) !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi).

Suivre le lien suivant : [Audio] https://drive.google.com/file/d/0B12vvSpH-svNWVpOaVBQcGloRDg/view

[Ou Audio-Vidéo] (1ère partie) : https://youtu.be/N1q2ebff7s8 ; (Suite et fin) : https://youtu.be/m-oRP1QJ3NM

Il s’agit-là d’une causerie inédite (en Wolof), apportant un nouveau entendement de la ‘’Charia’’ (Droit pénal islamique) ; et ceci, dans une perspective de recentrage de l’Islam et de dé- radicalisation des ‘’salafistes’’ et assimilés. 

Le Franc CFA, cette devise qui plombe notre émergence !

La sortie du F CFA est-elle une nécessité pour les pays de la Zone Franc ? De l’avis de l’économiste Ndongo Samba Sylla, le défi est plutôt d’émerger du FCFA. Car les avantages qu’offre cette monnaie sont de loin inférieurs aux inconvénients.

Le 11 août 2015, dans le cadre du 55e anniversaire de l’indépendance de son pays, le Président tchadien Idriss Déby avait donné le ton. Selon lui, il y a dans le cadre de la coopération monétaire avec la France, des «clauses qui tuent les économies africaines» et qui «ne permettront jamais à l’Afrique de se développer».

Au Sénégal, les stars, célébrités, transhumants et autres prédateurs bénéficient de l’impunité, jusque-là !

Mais pourquoi cela?  Pendant tout ce temps, où se trouvait notre Justice ? Aujourd’hui, on peut se demander quelle est la valeur ou la force des lois de la République, si celles-ci ne  s’y appliquent que sélectivement et de manière discriminatoire? Le président de la République, n’est-il pas le gardien de la constitution, garant aussi, de par sa Fonction, du respect des lois et de leur application stricte, de la protection et de l’inviolabilité physique des citoyens, sans aucune discrimination ni parti pris. Cependant, il observe, comme ses prédécesseurs, toutes ces injustices, inégalités sociales et autres actes délictueux graves, se produire dans la République impunément, sans qu’il ait réagi énergiquement, afin  d’y mettre un terme. Mais, dans ces conditions, quel genre de justice avons-nous réellement au Sénégal, au regard de tout ce qui s’y passe en ce moment, comme impunité ?

Ibrahima SENE - Réponse à mes détracteurs islamistes.

Les masques commencent à tomber depuis que j'ai commencé à démontrer que l'Islamisme radical qui a enfanté le djihadisme est enterré au Sénégal depuis la bataille de Somb où périt Maaba diakhou Ba, suite à la défaite de son armée conduite par Lat Dior Ngoné Latyr Diop.  Et je rappelais que le djihadisme fut définitivement enterré au Sénégal depuis que Lat Dior, de retour à son Cayor natal d'où il s'était exilé pour chercher alliance anti coloniale chez Maaba dans le Rip, avait essuyé un refus catégorique de Khadimou Rassol, de lui confier ses taalibes pour continuer le djihâd contre les Français dans leur tentative de finaliser la conquête coloniale du Sénégal. 

Une rupture effective avec le passé décadent, des mesures radicales et concrètes contre les pratiques inciviques, une nécessité absolue pour remettre notre administration sur la bonne voie

Actuellement au Sénégal, tout le monde s’émeut, s’inquiète, se plaint et se pose quantité de questions sans réponse, c’est-à-dire pourquoi tous ces accidents mortels et drames qui se multiplient chaque jour davantage, sans qu’on ait même  aperçu un début de solution, à plus forte raison, une solution radicale et défintive? Pourtant, leurs causes sont parfaitement connues et, ne sont rien d’autre, que de l’incivisme caractérisé à tous les niveaux de notre société. Cela, aussi bien d’une part du côté des autorités par leur comportement laxiste et laisser-faire impardonnable et d’autre part, du côté de la société par celui de certains citoyens, qui, il faut bien le dire, est synonyme de vandalisme et d’irresponsabilité. Et, s’agissant de leurs solutions, elles sont, cependant, bien simples et  à portée de main des autorités. 

Alternances I et II : la continuité dans la mauvaise gestion socialiste

Le 19 mars 2000, le peuple sénégalais tournait une nouvelle page de l’histoire politique du pays. Ce jour-là, les électeurs portèrent au pouvoir le candidat Abdoulaye Wade en lui accordant 58,49 % de leurs suffrages. Le candidat sortant, Abdou Diouf, était pratiquement confiné dans son score du premier tour, passant de 41,30 % à 41,51 %. Il perdait ainsi le pouvoir après 40 ans de présence au cœur de l’Etat socialiste.

D’emblée, je me démarque des compatriotes qui affirment, qu’après 40 ans de règne sans partage, les Socialistes n’ont pratiquement rien fait au Sénégal. Le dernier Premier Ministre du président Abdou Diouf, Mamadou Lamine Loum, a fait l’état du pays dans son livre « Le Sénégal au 1er avril 2000 », publié en mars 2001. 

Chronique du lundi : Gouverner, c’est égarer…

La métaphore du paradis est une formule à la fois heureuse et indécente pour désigner les espaces d’exception fiscale enfouis dans l’enfer de la haute finance. De façon plus générale, elle est significative de tout le paradoxe de la société de consommation. Dans tous les cas, le paradis est toujours un lieu d’exception et de consécration, où ne peuvent accéder que quelques privilégiés.

En l’occurrence, il s’agit des acteurs de la haute finance mondiale et de certains gouvernants prédateurs. Les paradis fiscaux sont pour eux des zones d’accumulation, de préservation et d’accroissement de leurs richesses, mais aussi de contournement des lois et règlements qu’ils ont contribué à mettre en place uniquement pour contrôler et, le cas échéant, réprimer les autres. 

Le «radeau de la méduse» à TOUBA !

Les soufis appellent le président à ne pas s'intéresser au baratin des rescapés !

 

Le cercle des intellectuels soufis exhorte le chef de l'Etat  et appelle le président Sall, à une lecture lucide et attentive à la «révolution  copernicienne »  qui s'opère actuellement à TOUBA.

Ce qui lui  permettrait  de corriger  «ses maladresses politiques»  vis-à-vis de TOUBA,  mais aussi,  de couper les « folles herbes »  qui parasitent sans  «vivier politique» ou «bagage intellectuel», afin de pouvoir «briser le plafond de verre »  qui enserre depuis toujours sa «formation politique » à TOUBA.

Pour un front debout pour faire échec à l’enterrement programmé des conclusions des assises nationales et de l’avant-projet de constitution de la cnri

La journée du lundi 12 mars 2012 fera date dans l’histoire de notre pays. C’est ce jour que le candidat Macky SALL, arrivé au deuxième tour de l’élection présidentielle avec le score de 26,58% des suffrages valablement exprimés, s’est retrouvé face au Comité national de pilotage des Assises nationales (AN).

Son parti, l’APR était membre de l’ICR/Benno wallu Askan wi (Initiative citoyenne pour la République) et du Front Siggil Sénégaal (FSS) qui avait lancé officiellement l’idée des Assises nationales et entrepris des démarches pour en faire une réalité.

Pourquoi le vaste manteau, de TOUBA, tarde à couvrir MACKY?

Tout d’abord:

Touba  a voté massivement (NON).  Et, à  l'origine de ce  boycott de grande envergure,  se trouverait le quiproquo  du principe moral  (la pomme de discorde) et matrice des hostilités contre les propositions de Macky SALL.

Je ne voudrais pas être prolixe, mais je peux vous affirmer très nettement, que la frilosité du gouvernement  à mener  " un debat intellectuel" sur fond d'argumentaires  religieux  aux fins de dissiper les nuages, a  rendu les  atmosphères très délétères et  les incompréhensions figées.